
Gérald Darmanin annonce le transfert de «17 premiers narcotrafiquants» vers la prison de Vendin-le-Vieil
Le ministre de la Justice Gérald Darmanin a annoncé mardi sur X que «17 premiers narcotrafiquants» venaient d'être transférés vers la prison de haute sécurité de Vendin-le-Vieil (Pas-de-Calais).
Ce centre pénitentiaire est le premier à avoir été choisi pour accueillir les narcotrafiquants «les plus dangereux» du pays. Un deuxième quartier de haute sécurité doit entrer en fonctions à la mi-octobre à la prison de Condé-sur-Sarthe (Orne).
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POLITIQUE - Vous reprendrez bien un peu de « fermeté »? Dans une lettre adressée au Premier ministre François Bayrou et qu'a obtenue Le Figaro ce mercredi 6 août, Emmanuel Macron exhorte le gouvernement de « prendre des décisions supplémentaires » afin d' « agir avec plus de fermeté et de détermination » vis-à-vis de l'Algérie. Auprès du quotidien, le chef de l'État pointe « les autorités algériennes » qui « ont fait le choix délibéré de ne pas répondre à nos appels répétés au cours des derniers mois à travailler ensemble dans l'intérêt de nos deux nations ». D'après lui, « nous n'avons pas d'autre choix que d'adopter une approche de plus grande fermeté ». Lire aussi Face à l'Algérie, la France passe un cran supplémentaire dans sa « riposte graduée » Au cœur de la brouille entre les deux pays, les sorts de l'écrivain Boualem Sansal et du journaliste Christophe Gleizes. Le premier a été condamné en appel à cinq ans de prison pour ses prises de position critiques à l'égard du pouvoir, et l' espoir d'une grâce du président Abdelmadjid Tebboune s'amenuise peu à peu. Le second a été condamné à sept ans de prison notamment pour « apologie du terrorisme » et « possession de publications dans un but de propagande nuisant à l'intérêt national ». L'accord de 2013 sur les visas diplomatiques suspendu Parmi les mesures évoquées dans la lettre à François Bayrou, le chef de l'État appelle ainsi notamment à suspendre « formellement » l'accord de 2013 avec Alger « concernant les exemptions de visa sur les passeports officiels et diplomatiques ». La procédure était jusque-là gelée, faisant suite à des renvois de diplomates de part et d'autre de la Méditerranée. Emmanuel Macron veut aussi « refuser les visas de court séjour aux détenteurs de passeports de service et diplomatiques » et l'alignement de l'Union européenne sur la fermeté envers l'Algérie. « Lorsque vous estimerez que les conditions sont réunies s'agissant de notre dispositif diplomatique, vous pourrez autoriser les trois consuls algériens déjà présents sur notre territoire à exercer leur mandat, en exigeant toutefois une reprise de la coopération migratoire ». « Seule cette reprise nous permettra d'admettre cinq autres consuls en attente d'autorisation », écrit encore le président français dans sa lettre. Enfin, « j'attends du ministre de l'Intérieur (Bruno Retailleau) qu'il (...) trouve les moyens d'expulser de notre territoire les individus algériens en situation irrégulière », a confié le président au Figaro, justifiant sa décision en évoquant « la délinquance (de ces) individus ». S'il affirme que l'objectif de Paris est de « retrouver des relations efficaces et ambitieuses avec l'Algérie », il souligne « avoir toujours agi avec une seule boussole : l'efficacité au service de la sécurité des Français ». Son souhait d'un retour aux « relations fraternelles » avec Alger ne devrait pas s'exaucer de sitôt.


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