Nouvelle-Zélande: un ex-policier mis en examen pour détention de contenus pédocriminels et zoophiles
Un ancien chef adjoint de la police néo-zélandaise a été mis en examen pour possession de contenus pédocriminels et zoophiles, a-t-on appris lundi après la levée de son anonymat.
Jevon McSkimming a été arrêté en juin puis visé par huit chefs d'inculpation, mais la justice avait jusque-là interdit aux médias de divulguer son nom.
Publicité
M. McSkimming s'est présenté devant un tribunal de Wellington lundi et a choisi de ne pas solliciter une extension de la mesure d'anonymat.
Interrogé par la presse à la sortie du tribunal, l'ancien responsable policier âgé de 52 ans n'a pas souhaité s'exprimer.
Jevon McSkimming a été suspendu de ses fonctions en décembre 2024 lors de l'ouverture d'une enquête à son encontre. Il a ensuite démissionné en mai. Placé en liberté sous caution, Jevon McSkimming doit revenir devant la cour en novembre. La loi néo-zélandaise interdit à la presse de communiquer les détails du dossier.
Hashtags
Essayez nos fonctionnalités IA
Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :
Commentaires
Aucun commentaire pour le moment...
Articles connexes
Le Parisien
an hour ago
- Le Parisien
Poissy : trois blessés dans un accident de la route impliquant une voiture de police
Plus de peur que de mal, semble-t-il, pour trois policiers du commissariat de Poissy et six membres d'une même famille. Ce samedi 9 août, à 11h15, un véhicule de police et une voiture de particuliers sont entrés en collision, boulevard Gambetta, au niveau de la D 190, à hauteur de Poissy (Yvelines). Le premier transportait trois fonctionnaires de police et le second, un gros SUV noir, était conduit par une mère accompagnée de ses cinq enfants. Légèrement blessés, l'un d'eux, un garçon de dix ans, et deux policières ont été transportés au centre hospitalier de Poissy, en urgence relative. « Quelques contusions mais rien de cassé », indique ce dimanche midi une source policière. En tout, 19 sapeurs-pompiers ont été mobilisés sur l'accident. La conductrice pensait que la voiture était derrière elle Selon les premiers éléments de l'enquête, en cette fin de matinée, une unité de police se rend en intervention avec le gyrophare allumé. Arrivé à une intersection, son véhicule grille un feu rouge, comme la loi l'y autorise en cas d'opération urgente. Selon la même source, la mère de famille aurait cru entendre le véhicule des fonctionnaires arriver derrière elle et pas devant. C'est pourquoi, elle se serait engagée dans l'intersection, où les deux véhicules se sont percutés.
Le Parisien
4 hours ago
- Le Parisien
Seine-Saint-Denis : un adolescent trouve la mort lors d'un accident de buggy, un suspect en garde à vue
Un adolescent, âgé de 15 ans, a trouvé la mort durant la nuit de samedi à dimanche, à la limite de Noisy-le-Sec et de Bondy (Seine-Saint-Denis), lors d'un accident survenu alors qu'il circulait avec d'autres jeunes à bord d'un buggy. Vers 2h30, les forces de l'ordre et les secours sont appelés à hauteur de l'intersection entre l'avenue de Rosny et la rue Baudin. À leur arrivée, les pompiers découvrent le véhicule accidenté et un adolescent gisant un peu plus loin sur le trottoir en arrêt cardiorespiratoire. L'équipe médicale du Samu tente de relancer son cœur en lui prodiguant un massage. Son état est désespéré et quarante minutes plus tard, le médecin le déclare officiellement décédé. Selon les premiers éléments recueillis par les policiers, le conducteur du buggy aurait perdu le contrôle de son engin alors que plusieurs autres personnes se trouvaient à bord. La victime a été éjectée lors du choc. [3/4] Cécile Vallin, les secrets d'une disparition Crime story raconte chaque semaine les grandes affaires criminelles. Écouter « Pour l'heure, les circonstances réelles de l'accident restent à établir », précise une source proche de l'affaire. Des témoins auraient vu un suspect s'échapper à bord d'un véhicule. L'exploitation des enregistrements des caméras de vidéosurveillance présentes dans le secteur permettra sans doute d'en savoir davantage sur le déroulé des faits et sur les conditions de départ du conducteur de la zone de l'accident. Un suspect retrouvé dans la cité Jean-Mermoz À 3h30, selon les tout premiers éléments connus, les policiers sont appelés sur un parking de la cité Jean-Mermoz à Noisy-le-Sec. Ils y rencontrent un jeune homme qui dit qu'il était au volant du tout-terrain quand il s'est renversé. Lors de ses premières déclarations, selon une source policière, il aurait affirmé qu'il aurait été victime d'un enlèvement et aurait pris la fuite par peur d'être retrouvé par ses ravisseurs. Il souffre de légères blessures au visage, a été examiné par les sapeurs-pompiers et transporté, sous escorte policière à l'hôpital Avicenne, à Bobigny, pour y recevoir des soins.
Le Figaro
20 hours ago
- Le Figaro
Un parachutiste en garde à vue après avoir sauté de la tour Eiffel
Trois hommes ont été aperçus ce samedi en train d'escalader le monument. Seul l'un d'eux a déployé son parachute pour en descendre. Tous ont été interpellés par la police. Ce samedi matin, vers 5h20, trois hommes ont été repérés par la sécurité de la tour Eiffel en train d'escalader le monument. Face à cette infraction, et au danger encouru, la police ainsi que les pompiers du Grimp (Groupe d'intervention en milieu périlleux) ont été appelés, racontent nos confrères de RTL, pour ordonner aux trois hommes de redescendre immédiatement du monument. Une heure plus tard, deux d'entre eux ont finalement coopéré et ont été raccompagnés à pied par les policiers, quand le dernier a préféré ouvrir son parachute pour descendre au pied de l'édifice, sur le Champ-de-Mars. À son arrivée sur le sol, il a été accueilli par les forces de l'ordre, qui l'ont interpellé et placé en garde à vue, comme ses deux autres compères, indique le parquet de Paris au Figaro. Ils seront déférés ce dimanche au parquet pour une mesure de composition pénale, qui permet de sanctionner rapidement l'auteur d'une infraction reconnaissant sa culpabilité. Publicité Le 10 juillet dernier, une situation similaire s'était produite en haut de la Dame de fer. Deux hommes avaient également été interpellés et placés en garde à vue vers 4h30 après avoir sauté en parachute du haut de l'édifice. Pour l'heure, on ne sait pas si ces hommes étaient les mêmes que ceux interpellés ce 9 août.
