
Russie : un ministre se suicide juste après avoir été démis de ses fonctions par Vladimir Poutine
Roman Starovoït, le ministre russe des Transports démis de ses fonctions lundi 7 juillet par le président Vladimir Poutine, s'est suicidé quelques heures plus tard, a annoncé le Comité d'enquête russe dans un communiqué. «Le corps de l'ancien ministre des Transports de la Fédération de Russie, Roman Vladimirovitch Starovoït, a été retrouvé dans sa voiture, présentant une blessure par balle», a indiqué le Comité d'enquête, assurant que «la thèse principale (de sa mort, ndlr) est celle d'un suicide».
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Donald Trump et Vladimir Poutine se rencontreront en Alaska, cette base militaire se prépare au sommet
ÉTATS-UNIS - Le lieu du rendez-vous est fixé. Alors que Donald Trump et Vladimir Poutine doivent se rencontrer en Alaska le vendredi 15 août pour évoquer comment mettre fin au conflit en Ukraine, des sources à la Maison Blanche ont indiqué plus précisément mardi où doivent se dérouler ces pourparlers très attendus. Selon plusieurs médias anglophones, c'est dans la base d'Elmendorf-Richardson que les présidents américain et russe vont se retrouver. Ce site militaire est situé près d'Anchorage, la plus grande ville d'Alaska. Il regroupe la base de l'US Air Force d'Elmendorf et le Fort Richardson, qui dépend de l'US Army, détaille la chaîne britannique Sky News, selon qui ces sites représentent à eux deux la plus grande base militaire de l'État. Avec plus de 32 000 personnes habitant sur place, Elmendorf-Richardson représente près de 10 % de la population d'Anchorage. Selon CNN, d'autres villes de cet État avaient été évoquées pour organiser la rencontre, comme la capitale Juneau, ou encore Fairbanks, la deuxième agglomération la plus peuplée après Anchorage. Le choix des organisateurs s'est finalement porté sur la base d'Elmendorf-Richardson car elle répond pleinement aux exigences de sécurité requises pour le sommet, dont la Maison Blanche aurait pourtant préféré qu'il ait lieu ailleurs que dans une installation militaire. Le choix de l'Alaska a suscité la controverse Ce n'est pas la première fois qu'Anchorage accueille d'importantes négociations, rappelle la BBC. En mars 2021, le président Joe Biden, alors au début de son mandat, y avait reçu une délégation chinoise pour évoquer entre autres les tensions autour de Taïwan. Les discussions avaient tourné au vinaigre, rappelle le média britannique, les Chinois ayant accusé les Américains de « condescendance et d'hypocrisie ». Avant même l'annonce du lieu précis de la rencontre, le choix de l'Alaska pour accueillir Vladimir Poutine a suscité la controverse outre-Atlantique (voir la vidéo en tête d'article), plusieurs spécialistes et commentateurs soulignant que le 49e État étasunien a longtemps été surnommé « l'Amérique russe » après avoir été racheté par Washington à la Russie en 1867. Organiser le sommet sur place est donc un choix éminemment symbolique… et pas forcément pour les meilleures raisons. « Trump a choisi de recevoir Poutine dans une partie de l'ancien empire russe, a réagi sur X l'ex ambassadeur américain en Russie Michael McFaul, je me demande s'il sait que les nationalistes russes affirment que la perte de l'Alaska, comme celle de l'Ukraine, a été une mauvaise affaire pour Moscou, qu'il faut corriger ». La rencontre est « déjà assez écœurante », mais le choix de l'Alaska « est inadmissible », a renchéri la journaliste américaine Julia Davis dans un message sur la même plateforme, repéré par Le Parisien. Du côté du Kremlin, l'organisation du sommet en Alaska a semblé plutôt bien reçue. « La Russie et les États-Unis sont de proches voisins, partageant une frontière », a commenté Iouri Ouchakov, conseiller diplomatique de Vladimir Poutine. « Il semble tout à fait logique que notre délégation survole simplement le détroit de Béring et qu'un sommet aussi important et tant attendu entre les dirigeants de nos deux pays se tienne précisément en Alaska », a-t-il poursuivi.


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Poutine et Kim Jong souhaitent « renforcer » leur coopération dans le futur
Le président russe Vladimir Poutine et le dirigeant nord-coréen Kim Jong Un se sont engagés à « renforcer la coopération » entre leurs deux pays, lors d'un appel téléphonique mardi. Se félicitant de leur partenariat stratégique « dans tous les domaines » signé en 2024, impliquant notamment un pacte de défense mutuelle, les deux leaders ont « confirmé leur volonté de renforcer la coopération dans le futur », selon l'agence de presse officielle nord-coréenne KCNA. Cet appel intervient à quelques jours d'un sommet prévu vendredi entre Vladimir Poutine et le président américain Donald Trump en Alaska, pour y évoquer une solution à la guerre en Ukraine. Vladimir Poutine a d'ailleurs « partagé des informations avec Kim Jong Un dans le contexte des discussions à venir » avec M. Trump, selon un communiqué du Kremlin. « Le président russe a une nouvelle fois grandement loué le soutien apporté par la République démocratique populaire de Corée ainsi que la bravoure, l'héroïsme et l'esprit de sacrifice démontrés » par les troupes nord-coréennes « dans la libération de Koursk », région russe qui avait été partiellement occupée par l'Ukraine, a ajouté KCNA. Renforcement du soutien depuis la guerre Les relations entre Moscou et Pyongyang se sont considérablement développées depuis l'invasion russe de l'Ukraine en février 2022. La Corée du Nord a activement participé au conflit en fournissant des milliers de soldats à son allié, en plus d'armes et de munitions. Mi-juillet, Kim Jong Un avait assuré Moscou du soutien « inconditionnel » de Pyongyang contre l'Ukraine, à l'occasion d'une visite du chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov. VidéoLa Corée du Nord rend officiellement hommage à ses soldats morts au combat en Russie