
En plein direct, un journaliste brésilien tombe sur le corps d'une jeune fille disparue
Le 30 juin dernier, le reporter brésilien Lenildo Frazão a malencontreusement marché, en plein duplex, sur le corps d'une jeune fille disparue. Publié aujourd'hui à 18h29
Le corps de l'adolescente a été retrouvé dans le fleuve Mearim, au Brésil.
AFP
Alors qu'il couvrait la disparition inquiétante d'une adolescente de 13 ans, le journaliste brésilien Lenildo Frazão a fait une découverte macabre en plein direct le 30 juin dernier. «Le Figaro », citant «The Sun» , rapporte que le reporter, micro en main, a trébuché sur un cadavre, qui s'est avéré être celui de la jeune fille disparue la veille.
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Selon les médias, le journaliste souhaitait montrer l'endroit où l'adolescente avait été vue pour la dernière fois. Lenildo Frazão se trouvait au milieu du fleuve Mearim, de l'eau jusqu'à la poitrine, lorsqu'il a senti quelque chose sous ses pieds. Après s'être écarté, il a signalé en direct la présence possible d'un bras. Les pompiers, appelés à la rescousse, ont par la suite confirmé avoir retrouvé le corps de l'adolescente disparue.
Les résultats de l'autopsie du corps de la jeune fille ont écarté toute violence physique, concluant à une noyade accidentelle. La victime a été inhumée dans la soirée du 30 juin.
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a day ago
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Face aux risques de noyade, parents, surveillez votre progéniture!
Accueil | Opinion | Éditorial | Opinion Les responsables de lieux de baignade s'inquiètent de la désinvolture de certains parents face aux dangers de l'eau. Éditorial Publié aujourd'hui à 16h16 La plage des Eaux-Vives à Genève. Photo Pierre Albouy/Tribune de Genève Pierre Albouy Selon la Société suisse de sauvetage , la noyade est la deuxième cause la plus fréquente de décès accidentel chez les enfants. Même une très faible profondeur d'eau peut mettre leur vie en danger. Plusieurs responsables de lieux de baignade de l'arc lémanique se disent préoccupés par l'attitude des parents, leur insouciance et leur manque d'attention les inquiètent. Certains ne prennent pas conscience du danger que constitue une eau même peu profonde pour un tout-petit, d'autres ont les yeux rivés sur leur smartphone. Pour prévenir toute noyade, la surveillance des bains a dû être renforcée. Une donnée qui s'avère cruciale lorsque l'on sait que les plages du lac Léman ne sont pas surveillées, sauf si elles s'accompagnent de piscines ou si elles sont payantes. Même les plages avec une capacité d'accueil importante n'emploient pas de garde-bains, d'où la nécessité pour les parents de redoubler de vigilance. Avant 3 ans, les enfants n'ont pas la force de garder la tête hors de l'eau, elle est trop lourde, rappelle la SSS. Et avant 18 mois, le bébé ne comprend pas qu'il ne peut pas respirer sous l'eau, il ne retient pas son souffle. De leur côté, les professionnels de santé rappellent que la noyade est silencieuse: seul le petit bruit que fera l'enfant en tombant à l'eau va s'entendre, ensuite il coule à pic. On connaît la force d'absorption des réseaux sociaux, ils font oublier le monde réel. Si les parents sont distraits, ils risquent de s'occuper moins bien de leur progéniture. Avec des conséquences fatales. Près de l'eau, quelques minutes d'inattention suffisent… malheureusement! Attention à la noyade Judith Monfrini est journaliste à la rubrique locale. De formation juridique, elle a obtenu son diplôme au Centre de formation au Journalisme et aux Médias (CFJM) en 2015. Elle a travaillé plus de dix ans pour le groupe Médiaone. (Radio Lac, One fm) Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.


24 Heures
a day ago
- 24 Heures
Les lieux de baignade du Léman sont-ils à la hauteur en termes de sécurité ?
Le manque de vigilance de certains parents a été relevé par les sauveteurs d'une piscine dans le canton de Vaud. Quelle est la situation sur les bords du Léman? Publié aujourd'hui à 06h31 Zone de baignade le long du quai d'Ouchy. Marino Trotta – Ville de Lausanne En bref: Ils ont évité la noyade à douze enfants de moins de 8 ans depuis le début de l'été. Les maîtres nageurs de la piscine de Prilly ont tiré la sonnette d'alarme mi-juillet et pointé du doigt l'absence de surveillance des parents, trop absorbés par leur téléphone portable. Ils ont aussi relevé leur insouciance: ils ne prendraient pas suffisamment conscience du danger. Qu'en est-il au bord du Léman? Les plages et les bains publics sont-ils surveillés? Les parents peuvent-ils se reposer sur la vigilance des gardes-bains? Tour d'horizon des lieux de baignade de l'arc lémanique. Surveillance augmentée À la plage des Eaux-Vives à Genève, le site de la Ville annonce d'emblée la couleur: «la baignade est non surveillée et placée sous la responsabilité de chacun», et ce malgré ses 400 mètres d'accès à l'eau et une capacité d'accueil qui affiche entre 6000 et 8000 baigneurs par jour. En face, aux Bains des Pâquis, dont l'entrée est payante, ils sont cinq à six maîtres nageurs à surveiller chaque jour le public durant les heures d'ouverture. En tout, 17 sauveteurs travaillent aux Bains. Un chiffre en augmentation selon Philippe Constantin, coordinateur de l'Association des usagers des bains des Pâquis (AUBP). «La surveillance est vraiment importante, le téléphone portable est l'un des problèmes mais l'insouciance aussi. Nos maîtres nageurs interviennent très fréquemment.» Selon le coordinateur, le site comporte plusieurs zones qui requièrent toute l'attention des sauveteurs comme le plongeoir, la tyrolienne, la zone qui fait face au lac ou le waterpolo. Il précise que les gardes-bains bénéficient d'une formation spéciale supplémentaire, axée sur le lac. Responsabilité parentale À la plage d'Hermance, Ariana Sefiu, la gérante de la buvette, assure que les baigneurs sont surveillés par quatre personnes, le maître nageur, son personnel et elle-même. La plage n'accepte d'ailleurs pas d'enfants de moins de 15 ans, s'ils sont seuls. «La responsabilité incombe aux parents et ils le savent. Nous leur expliquons que les bords du lac sont plus dangereux qu'une piscine.» La gérante estime que le problème des iPhone est moins prégnant qu'à une certaine époque. En revanche, le garde-bain de la plage n'a pas de signe distinctif, «pour éviter que certains ne se reposent trop sur sa présence». Des habitués du lieu feraient même la discipline auprès de certains parents, selon elle. «En trente ans, nous n'avons jamais eu de noyade, nous ne voulons pas d'un mort sur la conscience.» Dangerosité du Léman À Genève-Plage, dont l'entrée est aussi payante, le directeur Christian Marchi explique que le lieu emploie quatorze surveillants au total. «Entre lac et piscine, il n'existe pas de grande différence au niveau de l'attention. Toutes les vingt minutes, ils tournent pour ne pas rester figés.» Il ajoute que certains parents ne sont pas toujours conscients que leurs enfants se débrouillent dans l'eau mais pas au plongeoir du lac. Il relève qu'en raison de la configuration du lac, il est plus compliqué de retrouver un nageur en détresse. L'État de Genève, propriétaire de plusieurs plages autour de la rade, indique par la voix de Guillaume Marsac, directeur général adjoint de la Direction générale de l'eau, qu'il n'existe aucune obligation de surveillance découlant de la loi. «Certaines zones comme Genève-Plage ou les Bains des Pâquis sont surveillées, mais cela dépend de l'organisation du site. Elles disposent d'aménagements et offrent des services à la population.» Avec l'augmentation des points d'accès à l'eau, le Canton envisage néanmoins de renforcer la surveillance, à l'instar des piscines municipales. Des discussions sont menées actuellement avec les communes. «Elles prennent en compte la dangerosité du site et la délimitation du plan d'eau», détaille le directeur, qui relève que «restreindre la zone de baignade n'est pas forcément du goût des baigneurs». L'État compte sur la responsabilité de chacun. Il va prochainement uniformiser les panneaux indiquant que la baignade n'est pas surveillée. Piscines avec plages gardées Dans le canton de Vaud, à Nyon, la piscine de Colovray, qui dispose d'un accès au lac délimité, emploie six gardes-bains par jour, qui se répartissent entre le bassin Olympique, le bassin des non-nageurs et le lac. «Les jours de grande affluence, les week-ends et les mercredis, nous ajoutons une à deux personnes en renfort, notamment pour le coin des petits», détaille Rute Botica, cheffe d'équipe des piscines de Nyon. Un poste «surveillance» qui a été renforcé ces dernières années, tout comme celui de la sécurité. En revanche, la plage des Trois-Jetées, malgré des aménagements tels que vestiaires, douches extérieures, toilettes et places de jeux, n'assure aucune surveillance. Plus d'incivilités À Vevey, la plage de la piscine de Corseaux est délimitée par des bouées et des drapeaux indiquent la dangerosité de la baignade. Vert, la surveillance est assurée, orange, elle se fait mais en complément de celle des parents et rouge, la baignade est interdite aux enfants. La piscine de Corseaux-Plage compte treize gardes-bains qui se répartissent autour du bassin olympique, autour du bassin non nageur et de la pataugeoire. Un tournus est organisé toutes les quinze minutes. Un des surveillants se consacre uniquement au lac. «Assurer la sécurité devient de plus en plus compliqué, notamment à cause des incivilités et du phénomène des enfants laissés sans surveillance, regrette Orsolya Bardocz, la responsable de la piscine de Vevey. J'ai dû moi-même sauter dans l'eau pour récupérer un père, une mère et un enfant de 2 ans qui ne savaient pas nager. Parfois, les petits se retrouvent seuls au lac et les parents sont au restaurant, tout habillés.» Elle déplore l'inconscience de certains qui pensent que les enfants ne peuvent pas se noyer dans 30 centimètres d'eau, alors que 3 centimètres suffisent . Des problèmes que rencontrerait tout l'arc lémanique, selon l'Association des piscines romandes et tessinoises, dont fait partie Orsolya Bardocz. La nouvelle zone de baignade le long du quai d'Ouchy. Marino Trotta – Ville de Lausanne À la piscine de Bellerive-Plage à Lausanne, la même règle des drapeaux de couleur s'applique. L'ensemble du site compte 18 surveillants sauveteurs. Pour le lac, neuf à dix d'entre eux assurent un tournus sur les sept grèves d'environ 50 mètres de long. Une d'elles est dédiée à un parc aquatique, également surveillé. Pour les quelque 5 kilomètres de rives lausannoises, entre la plage de Vuachère, à côté de Pully, et la plage de la Chamberonne, avant Saint-Sulpice, «il n'existe aucune obligation légale de surveiller, indique la Ville de Lausanne. Il en va de la responsabilité individuelle de chacune et chacun.» Des panneaux installés par la Ville sont visibles le long des rives pour informer le public des zones de baignade autorisées. Elles couvrent l'ensemble des rives, à l'exception de celles réglementées en raison d'activités portuaires. Ces panneaux fournissent également des conseils de sécurité ainsi que les numéros d'urgence. Quelle attitude adopter en eaux vives? En cas de problème, appelez les secours, les numéros d'urgence, 117 pour la police, 118 pour les pompiers et le 144 pour les urgences médicales. Aux familles, la Société suisse de sauvetage adresse plusieurs recommandations. Elle rappelle que la noyade est la deuxième cause la plus fréquente de décès accidentel chez les enfants. Ils sont particulièrement exposés, parce que leur centre de gravité est plus haut que celui des adultes. Leur tête lourde les entraîne automatiquement vers l'avant et vers le bas. Même une très faible profondeur peut mettre leur vie en danger. Ils se noient en silence. Avant 3 ans, ils n'ont pas la force de garder la tête hors de l'eau. La SSS insiste sur la nécessité de garder l'enfant sous surveillance et de ne pas se laisser distraire par son smartphone ou une conversation. Enfin, les aides à la natation, brassards ou bouées, ne remplacent pas le regard attentif des adultes. Selon un récent rapport de la SSS, 53 personnes se sont noyées dans le Léman en douze ans, entre 2012 et 2024. Baignade dans le Léman Newsletter «La semaine vaudoise» Retrouvez l'essentiel de l'actualité du canton de Vaud, chaque vendredi dans votre boîte mail. Autres newsletters Judith Monfrini est journaliste à la rubrique locale. De formation juridique, elle a obtenu son diplôme au Centre de formation au Journalisme et aux Médias (CFJM) en 2015. Elle a travaillé plus de dix ans pour le groupe Médiaone. (Radio Lac, One fm) Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.


24 Heures
2 days ago
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Guerre commerciale: Pour sauver Bolsonaro, Trump maintient la pression sur le Brésil
Washington impose des droits de douane de 50% sur les produits brésiliens et sanctionne le juge Alexandre de Moraes. Publié aujourd'hui à 01h59 Mis à jour il y a 3 minutes Manifestants portant des masques de Donald Trump et Jair Bolsonaro lors d'une protestation à Sao Paulo le 18 juillet 2025. AFP Le gouvernement américain a renforcé mercredi sa pression sur le Brésil, en soutien à l'ex-président Jair Bolsonaro, en annonçant de nouvelles sanctions contre le juge de la Cour suprême Alexandre de Moraes, avant de rendre effectifs les 50% de droits de douane annoncés sur les produits brésiliens. Le premier coup est venu du département du Trésor, avec des sanctions visant Alexandre de Moraes, que Washington accuse de «détentions arbitraires» et de non-respect de «la liberté d'expression». Le Trésor estime que le juge a profité de sa position pour «cibler des opposants politiques, notamment l'ex-président Jair Bolsonaro, des journalistes, des réseaux sociaux américains et d'autres entreprises américaines et internationales». Le président américain, Donald Trump, a par ailleurs signé mercredi un décret imposant 50% de surtaxes douanières à Brasilia. Selon le décret, publié sur le site de la Maison Blanche, la surtaxe, qui entrera en vigueur à partir du 6 août, se justifie par «la menace inhabituelle et extraordinaire que constitue le Brésil pour la sécurité nationale, l'économie et la politique étrangère des Etats-Unis». Lula riposte Le président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva a riposté, s'engageant mercredi à défendre la souveraineté de son pays contre la décision du président américain. Ce jour est un «jour sacré de la souveraineté», a-t-il déclaré lors d'une cérémonie officielle à Brasilia, promettant de «défendre (…) la souveraineté du peuple brésilien face aux mesures annoncées par le président des Etats-Unis». Mercredi, Juanita Goebertus, la directrice pour les Amériques de Human Rights Watch, organisation internationale de défense des droits humains, a déclaré que les droits de douane et sanctions imposés par les Etats-Unis au Brésil constituaient une «violation flagrante de l'indépendance judiciaire» du pays. «Alexandre de Moraes s'est octroyé le droit d'être juge et jury pour orchestrer une chasse aux sorcières illégale contre des citoyens et entreprises américaines et brésiliennes. Les sanctions de ce jour rappellent que le Trésor tiendra pour responsables ceux qui menacent les intérêts américains et la liberté de nos citoyens», a déclaré le secrétaire au Trésor, Scott Bessent, cité dans un communiqué. Ces sanctions entraînent le gel de l'ensemble des avoirs détenus par Alexandre de Moraes aux Etats-Unis ainsi que l'interdiction pour des citoyens ou entreprises américaines de faire affaire avec le juge brésilien, sous peine de poursuites. Elles viennent compléter celles annoncées par le département d'Etat le 18 juillet, qui visaient tous les juges de la Cour suprême ainsi que leurs proches parents, qui sont tous désormais interdits d'entrer aux Etats-Unis. «Avertissement» «Que cela serve d'avertissement à ceux qui voudraient bafouer les droits de leurs concitoyens. Une robe de juge ne peut pas vous protéger», a réagi sur X le secrétaire d'Etat américain, Marco Rubio. Le gouvernement brésilien a qualifié ces sanctions d'»arbitraires» et d'»injustifiables», et y voit «une attaque grave et inacceptable contre la souveraineté» du Brésil, d'après un communiqué de l'Agence brésilienne pour la défense légale de l'Etat (AGU). Fort de ce soutien américain, le fils de l'ancien président, Eduardo Bolsonaro, s'est dit «très reconnaissant», appelant «les autres leaders du monde libre à s'unir aux Etats-Unis». Jair Bolsonaro, allié de Donald Trump, est poursuivi dans son pays pour une tentative présumée de coup d'Etat après sa défaite lors de l'élection de 2022. Son procès doit s'achever dans les prochaines semaines et l'ex-chef d'Etat (2019-2022), âgé de 70 ans, risque plus de 40 ans de prison. Outre le port d'un bracelet électronique, Jair Bolsonaro est contraint de rester chez lui soirs et week-ends, et interdit de recourir aux réseaux sociaux et de contacter ambassades et autorités étrangères. Les autorités brésiliennes ont également adopté une posture très ferme concernant la lutte contre la désinformation, la Cour suprême ayant durci en juin 2024 la régulation des réseaux sociaux. Le juge Moraes avait bloqué durant 40 jours X au Brésil, jusqu'à ce que le réseau du multimilliardaire Elon Musk se conforme aux ordres de supprimer des comptes accusés de diffuser des infox. Pour les mêmes raisons, il a ordonné en février le blocage de la plateforme vidéo Rumble, prisée des conservateurs américains. Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters AFP Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.