
Une victoire majeure : le vaste projet de loi budgétaire de Donald Trump adopté par le Congrès
Donald Trump
, lors d'un ultime vote serré à la Chambre des représentants qui octroie au président républicain la première victoire législative majeure de son second mandat.
Le texte devrait accroître la dette des États-Unis de plus de 3 000 milliards de dollars au cours de la prochaine décennie. Il comprend une extension d'importants crédits d'impôt pour la plupart des ménages, contrebalancée en partie par de larges coupes dans le programme public d'assurance santé des Américains aux revenus les plus modestes.
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Le Parisien
2 hours ago
- Le Parisien
Des photos révèlent que Jeffrey Epstein a assisté au mariage de Donald Trump en 1993
La façon dont Donald Trump et son administration gèrent l'affaire Epstein agace de l'autre côté de l'Atlantique. Et désormais, la relation qu'entretenaient les deux hommes est scrutée. Mardi soir, CNN a dévoilé des images montrant que le riche financier, qui a avoué sa responsabilité dans la mise en place d'un véritable réseau de prostitution et de viols de mineurs, était invité au mariage de l'actuel président des États-Unis en 1993. La présence de Jeffrey Epstein à la cérémonie, qui s'est déroulée au Plaza Hotel, n'était pas connue du grand public jusqu'ici. Interrogé sur le sujet, Donald Trump a simplement répondu : « vous vous foutez de moi », avant d'accuser le média américain de diffuser des « fake news ». Le directeur de la communication de la Maison-Blanche a, lui, estimé qu'il s'agissait d'images « hors contexte issues de photos et vidéos banales, prises lors d'événements publics pour en tirer d'abominables conclusions ». Selon lui, Donald Trump aurait « viré » Jeffrey Epstein de « son club parce que c'était un sale type ». La série d'images dévoilée mardi montre également que les deux hommes étaient ensemble lors d'un défilé de la marque de lingerie Victoria's Secret, en 1999. Comme le précise le média américain, ces nouvelles images datent de rencontres qui ont eu lieu avant les déboires de Jeffrey Epstein avec la justice. Avant, même, qu'il ne soit lié aux affaires judiciaires connues. Mais elles viennent, une fois de plus, poser question sur les liens que le milliardaire républicain entretenait avec celui qui est devenu un criminel sexuel. Selon le Washington Post, Donald Trump et Jeffrey Epstein se sont disputés au milieu des années 2000 à cause d'une affaire immobilière. Avant cela, en 2002, l'actuel président des États-Unis disait de lui qu'il était un homme « super ». « On dit de lui qu'il aime les belles femmes autant que moi, et beaucoup sont plutôt jeunes », commentait-il. Les premières allégations d'abus sexuels sur mineurs commis par Jeffrey Epstein ont éclaté en 2005, mais les faits auraient commencé à se produire dès 2002. Le 7 juillet dernier, le gouvernement américain a assuré ne pas avoir de preuve de l'existence d'une liste secrète de clients du riche financier, mort en cellule en 2019 avant son procès pour crimes sexuels, alors que Donald Trump a assuré l'inverse à de nombreuses reprises pendant sa campagne. Une partie des MAGA (du nom du slogan de Donald Trump) est persuadée depuis des années que les autorités protègent des personnalités de premier plan liées à Jeffrey Epstein. Et ils estiment, désormais, que le milliardaire républicain manque lui aussi de transparence dans cette affaire. Depuis, les liens qu'il entretenait avec le financier interrogent.


Le Parisien
4 hours ago
- Le Parisien
Bourse : quelles valeurs suivre sur Trade Republic ?
Quelles valeurs boursières choisir cette année ? La crise touche les marchés boursiers, qu'ils soient d'actions ou de dette : après avoir gagné plus de 20% en 2023, le S&P 500, indice-phare regroupant les 500 plus grandes entreprises américaines, a stagné : il n'a gagné 'que' 5% en 2025, avec un taux de change défavorable aux investisseurs européens de surcroît. La faute à la guerre douanière lancée par l'administration Trump, qui a mis en péril l'équilibre des marchés financiers mondiaux. Des opportunités existent donc sur des valeurs dites 'défensives' : secteur de la défense, notamment en Europe où les Etats se réarment ; santé, avec des firmes pharmaceutiques ; secteur de la grande distribution. Les indices européens ont aussi mieux performé que les marchés américains. Des secteurs plus chahutés peuvent aussi être attirants actuellement : la tech se relève après avoir été abîmée par la politique de Donald Trump, Nvidia et Apple en tête ; l'énergie, notamment l'énergie renouvelable, repart à la hausse après plusieurs années de grandes difficultés. Reste qu'il faut tenter plutôt de se diversifier : l'achat d'actions individuelles n'est pas une stratégie viable et efficace pour un investisseur peu expérimenté. L'étude SPIVA publiée par S&P indique que la plupart des gérants professionnels font moins bien que les grandes indices sur le long-terme. Il est donc moins risqué, et plus efficace, de choisir des ETF - des paniers d'actions - diversifiés et peu chers. Trade Republic permet d'investir sur ces produits à intervalle régulier sans frais, dans le cadre de plans d'investissement programmés sur un PEA . Surtout, avant de choisir vos investissements financiers, mettez de côté une épargne de précaution de l'ordre de 3 à 6 mois de dépenses. C'est une étape indispensable avant la mise en place de tout plan. Évaluez aussi votre appétence au risque, et votre horizon de placement, afin de choisir les bonnes options stratégiques. >>Cliquez ici pour ouvrir un PEA avec Trade Republic


Le Figaro
19 hours ago
- Le Figaro
Olivier Babeau : « L'insoutenable légèreté de Pierre Moscovici »
Réservé aux abonnés TRIBUNE - Lorsque le premier président de la Cour des comptes affirme que la France est très loin de la situation grecque et qu'une mise sous tutelle n'est pas à l'ordre du jour, il alimente précisément le risque qu'il se plaît à croire lointain, analyse l'essayiste. *Président fondateur de l'Institut Sapiens, Olivier Babeau est professeur à l'université de Bordeaux. Dernier livre paru : « L'Ère de la flemme » (Buchet-Chastel, 2025). À découvrir PODCAST - Écoutez le club Le Club Le Figaro Idées avec Eugénie Bastié La Cour des comptes est l'une de ces institutions dont la France peut être légitimement fière. Créée sous l'Empire, héritière de la Chambre des comptes du XIVe siècle, elle apporte d'ordinaire un regard aussi rigoureux qu'impartial sur la marche de l'État. Ses synthèses sont utiles au dirigeant comme au citoyen soucieux de comprendre. Ses avertissements sont hélas rarement suivis d'effets, mais ils balisent le débat démocratique. Pourtant, alors que la France s'engage dans l'examen périlleux du budget 2026, la Cour déçoit. Et c'est grave. Certes, on ne peut qu'approuver quand son premier président Pierre Moscovici s'inquiète du risque « d'étranglement de l'action publique par l'excès de la charge de la dette » pouvant aboutir « à un accident financier ». Cela fait longtemps que la Cour tire la sonnette d'alarme…