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Julian Cash et Lloyd Glasspool deviennent la première paire britannique sacrée à Wimbledon depuis 89 ans

Julian Cash et Lloyd Glasspool deviennent la première paire britannique sacrée à Wimbledon depuis 89 ans

L'Équipe3 days ago
En maîtrisant Rinky Hijikata et David Pel ce samedi après-midi en finale de Wimbledon, la paire composée de Julian Cash et Lloyd Glasspool a mis fin à près d'un siècle sans succès d'un tandem 100 % britannique à Wimbledon.
Lors des deux dernières éditions, un Britannique s'est toujours imposé en double à Wimbledon (Neal Skupski en 2023, Henry Patten en 2024). Pour autant, aucune paire composée de deux joueurs britanniques n'avait soulevé ce prestigieux trophée depuis... 1936, soit 89 ans plus tôt, lorsque la paire composée de Patrick Hugues et Raymond Tuckey s'était imposée face à deux compatriotes, 32 ans avant d'entrer dans l'Ère Open.
Mais ce samedi après-midi, Julian Cash (28 ans) et Lloyd Glaspool (31 ans), vainqueurs des tournois sur gazon du Queen's et d'Eastbourne avant le Grand Chelem londonien, ont éteint les espoirs de Rinky Hijikata (24 ans) et David Pel (34 ans) en 1h24 (6-2, 7-6 [3]), pour conclure leur délicieuse saison sur herbe et conjurer le sort.
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Visma, un feu d'artifice sans bouquet final : offensifs toute la journée, les Frelons ont remporté l'étape mais Jonas Vingegaard n'a pas fait vaciller Tadej Pogacar
Visma, un feu d'artifice sans bouquet final : offensifs toute la journée, les Frelons ont remporté l'étape mais Jonas Vingegaard n'a pas fait vaciller Tadej Pogacar

L'Équipe

time29 minutes ago

  • L'Équipe

Visma, un feu d'artifice sans bouquet final : offensifs toute la journée, les Frelons ont remporté l'étape mais Jonas Vingegaard n'a pas fait vaciller Tadej Pogacar

Très offensifs tout au long de la journée, les Visma-Lease a bike ont remporté l'étape avec Simon Yates et secoué le peloton. Mais Jonas Vingegaard, lui, n'a rien pu faire d'autre que suivre Tadej Pogacar. Grischa Niermann a enfilé son casque, enfourché le vélo de rechange de Jonas Vingegaard et a redescendu le Mont-Dore le sourire aux lèvres. Le directeur sportif de Visma-Lease a bike s'attendait « à un feu d'artifice » au départ de l'étape, déjà concentré pendant que Wout Van Aert, derrière lui, rigolait avec ses enfants, et il n'a pas été déçu, puisque ce sont ses coureurs qui ont joué les pyrotechniciens, actifs toute la journée au coeur des puys auvergnats, et récompensés, en partie, par la victoire d'étape de Simon Yates. Du beau monde à l'avant Ce n'est d'ailleurs pas une surprise de voir le Britannique s'imposer au pied des remontées mécaniques du Mont-Dore. « On voulait des gars à l'avant pour disposer de différentes options, jouer l'étape moi-même ou servir de soutien si cela revenait de l'arrière », expliquait le dernier vainqueur du Giro. Victor Campenaerts était ainsi tout proche de gratter le pare-chocs de la voiture de Christian Prudhomme, directeur de course, à l'affût du départ réel, dont il fut le premier attaquant. Le coup mit du temps à partir, après la très raide côte de Loubeyrat, mais ils étaient bien deux Frelons dans le groupe de 29 qui s'est fait la belle. Campenaerts, toujours lui, était accompagné de Yates. Le duo parfait. « Tout de suite, on s'est dit qu'il se concentrait sur la victoire d'étape pendant que je devais survivre le plus longtemps possible pour aider Jonas et les autres en cas d'attaque », affirmait le moustachu belge. Aucun des deux ne dut fournir trop d'efforts, du fait de la consistance de l'échappée et du gros travail des EF Education-EasyPost, cherchant à faire gonfler l'écart pour offrir le maillot jaune à Ben Healy. Les pions étaient donc placés idéalement. Campenaerts donna un coup d'accélérateur dans le col de la Croix, à 42 kilomètres de l'arrivée, sans succès. Avant de laisser filer, sur l'attaque de Healy aux 30 kilomètres. Yates, lui, put suivre, et partit seul au pied de l'ascension finale. « C'est très dur de gagner sur le Tour, donc c'est super, super beau, pour Simon et pour toute l'équipe », appréciait son DS. Pogacar harcelé Derrière, une autre course se jouait entre les favoris. Et Visma lança les hostilités, à 25 kilomètres de l'arrivée, sur une petite route piégeuse à la sortie de Chambon-sur-Lac. « C'était le plan, lancer Sepp », confiait Tiesj Benoot, qui se mit alors en tête de peloton. Kuss, puisque c'est de lui qu'il s'agit, prit une poignée de secondes d'avance, jamais trop. L'Américain fut repris au train par les UAE et son compatriote et équipier Matteo Jorgenson posa une première banderille en attaquant aussitôt. Pris en chasse par Tadej Pogacar, dans la roue du double vainqueur de Paris-Nice. Kuss en remit une, un kilomètre plus loin, puis Jorgenson parvint cette fois à le rejoindre. Mais Adam Yates, équipier du Maillot Jaune, fit cette fois l'effort pour ramener tout le monde. Pour le champion du monde et ses équipiers, la consigne était simple : aucun souci pour que Kuss (à 20 minutes au général), comme Simon Yates plus tôt, puisse filer, mais pas question de laisser un centimètre à Jorgenson. « On essayait quelque chose, d'être offensifs, de mettre Matteo devant, détaillait Niermann. Mais UAE a été très vigilant. Je pense aussi que le parcours n'était pas assez dur pour ça, et puis Tadej a été super fort, comme toujours. » « Et il y avait trop de vent de face, il était donc impossible de s'échapper », ajoutait Arthur Van Dongen, l'autre directeur sportif de l'équipe néerlandaise. « Ils se sont très bien défendus aujourd'hui (ce lundi), chapeau à eux, ils ont eu une équipe très forte et Pogacar a parfois travaillé lui-même », abondait Vingegaard. Le Danois, en revanche, balayait une idée : « Non, ce n'est pas pour laisser le maillot jaune à Tadej qu'on a roulé. Bien sûr, s'il conservait le maillot, c'était de l'énergie dépensée avec le podium tous les soirs, mais on ne pense pas à ça. On collait juste à notre plan qui était de mettre la pression à UAE. » Vingegaard impuissant Visma a mis la pression, oui ; Vingegaard, non. La dernière montée aurait pu s'y prêter, après le travail de Campenaerts au pied puis le relais de Jorgenson (toujours collé par Pogacar). Mais il ne bougea pas, toujours dans la roue du Slovène, sans doute craintif sur ce final explosif et donc plus favorable à son rival. Il est néanmoins parvenu à suivre l'attaque en deux temps du Maillot Jaune, à 1 500 mètres environ de la ligne, et cela le réjouissait. « Je suis heureux de mes jambes, de comment je me suis senti. Jusqu'ici, j'ai été en mesure de suivre toutes ses attaques, ce que je ne pouvais pas faire au Dauphiné (début juin), cela prouve que mon niveau est plus élevé. » Mais le problème demeure, cette 1'17'' à reprendre au leader d'UAE. « Chaque jour, il est au top, il suit, il attaque..., soufflait Niermann. On espère que des courses dures comme aujourd'hui (lundi) vont le fatiguer. On continue le combat jusqu'à Paris et j'espère qu'un jour on y arrivera. » Pas lundi, malgré un plan suivi à la lettre. À lire aussi L'entraînement sur mesure de Vingegaard pour s'adapter au parcours et à Pogacar Une étape «sous contrôle» pour UAE Emirates Healy, un nouveau Maillot Jaune qui suscite l'admiration du peloton Au milieu des frelons de la Visma, Pogacar imperturbable

Wimbledon 2025 : les coups de cœur et les coups de griffe de notre envoyé spécial
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Le Figaro

timean hour ago

  • Le Figaro

Wimbledon 2025 : les coups de cœur et les coups de griffe de notre envoyé spécial

ANALYSE - Après une quinzaine riche en émotions, découvrez ce qui a retenu l'attention de l'envoyé spécial à Londres. Coups de cœur Les larmes d'Anisimova Humiliée 6-0, 6-0 samedi en finale par une impitoyable Iga Swiatek, l'Américaine de 23 ans qui disputait sa première finale de Grand Chelem a été rattrapée par l'enjeu. Plus lucide dans son discours d'après match que sur le court, ele a aussi beaucoup pleuré et ému l'assistance. La jeune fille, demi-finaliste de Roland-Garros 2019 à 17 ans, annoncée comme une future grande, a fait par la suite une dépression, après le décès brutal de son père avant l'US Open 2019. Les yeux encore rougis de larmes, après avoir été réconfortée tant bien que mal par la Princesse de Galles Kate Middleton, Amanda Anisimova a eu du mal à ne pas être rattrapée par les émotions quand elle s'est adressée à sa mère Olga, qui avait fait le voyage jusqu'à Londres pour assister cette finale. « Ma mère est la personne la plus importante et elle a tout fait pour m'emmener jusqu'à ce niveau. Merci d'avoir mis fin à ta superstition de ne pas venir me voir jouer. Ce n'est pas à cause de ça que j'ai perdu. Je t'aime tellement, tu as fait tellement pour ma sœur et moi. ». Derrière ses lunettes de soleil, sa maman essuyant ses larmes. Un sacré moment d'émotion également pour l'ensemble des spectateurs du Centre Court. Publicité La lucidité de Novak Djokovic Comme à Roland-Garros, le vétéran de 38 ans Novak Djokovic, diminué physiquement, il est vrai, a subi la loi de Jannik Sinner pour la cinquième fois consécutive. L'homme aux 24 titres du Grand Chelem a fait preuve de beaucoup d'honnêteté en conférence de presse avec des aveux qu'il n'avait jamais lâchés auparavant publiquement. «Je ne pense pas que ce soit de la malchance. C'est juste l'âge, l'usure du corps. J'ai beau prendre soin de mon corps, la réalité me frappe depuis un an et demi, comme jamais auparavant. C'est difficile pour moi de l'accepter parce que j'ai l'impression que lorsque je suis frais, en forme, je peux encore jouer à un très bon niveau.» Problème : sur les six derniers Majeurs, depuis Roland-Garros l'an passé, il s'est blessé lors de la moitié d'entre eux… « Je pense que jouer au meilleur des cinq manches, devient difficile plus le tournoi avance plus ma condition physique se dégrade». Le constat est limpide. Les mots sont forts. Les légendes ne sont pas éternelles mais le Serbe a promis de revenir au moins une fois à Wimbledon pour peut-être boucler la boucle d'une carrière hors norme. Dimitrov, l'abandon déchirant Trop costaud pour Alcaraz en finale, Jannik Sinner revient de loin. De très loin. Un impressionnant Grigor Dimitrov a mené deux manches à rien contre le numéro 1 mondial en 8es de finale. Le futur lauréat ne trouvant pas de solutions contre un Dimitrov des grands jours. Mais le Bulgare a été contraint d'abandonner à 2-2 dans la troisième manche, victime d'une blessure au muscle pectoral. Grimaçant de douleur et se palpant le torse près de son épaule droite, après avoir servi. Venu à son chevet, Jannik Sinner, était forcément gêné et mal à l'aise de ce coup du sort, alors qu'il subissait la loi de son adversaire. Un crève-cœur pour celui qui a abandonné pour la cinquième consécutive en Grand Chelem. « Parfois, le cœur veut continuer, mais le destin en décide autrement », a posté depuis un lit d'hôpital, le malheureux Dimitrov. En blessé magnifique. Monfils fait le show en conf' A 22 h30, après quatre heures de jeu et une victoire en cinq sets au premier tour contre Ugo Humbert, Gaël Monfils, bientôt 39 ans, a régalé la mince assistance, en livrant une étonnante anecdote sur un contrôle anti-dopage dans la foulée d'une grosse fête, il y a quelques années. Après une question d'un journaliste du Guardian, le vétéran bleu est revenu sur un contrôle anti-dopage vieux de plus de quinze ans. «Je devais avoir 21 ans, je revenais d'une fête et on frappe à la porte à 6h45. J'étais un peu dans les vapes et j'ouvre à l'inspecteur mais je venais de passer aux toilettes et j'étais franchement incapable d'uriner. Je lui ai proposé de s'installer dans mon salon. Je suis allé me coucher et je me suis réveillé à 15 heures! Le mec était toujours là, en train de scroller sur son portable. Il aurait pu tout voler dans la maison, non, non je plaisante. J'ai pu satisfaire au contrôle et il est reparti.» Mi-gêné, mi-amusé, la Monf' a conclu. «J'étais plus jeune. Ce sont de bonnes anecdotes à 21 ans». Les témoins de la conférence de presse, tous hilares, peuvent confirmer. Coups de griffe De l'arbitrage électronique... et des arbitres sans assistance vidéo L'erreur est humaine mais la machine n'est pas parfaite non plus. Pour la première de sa riche et longue histoire, Wimbledon a décidé de se passer de ses juges de ligne en faisant confiance à l'arbitrage vidéo Dans le match entre la Russe Anastasia Pavlyuchenkova et la Britannique Kartal, le système électronique d'arbitrage vidéo a été désactivé pendant un jeu entier, seulement du côté de la Russe, entraînant trois erreurs d'arbitrage au profit de la Britannique, lui permettant de réaliser le break à un moment crucial (Pavlyuchenkova a fini par remporter le match). «Vous m'avez volé le jeu», a d'ailleurs réagi la Russe au changement de côté. L'arbitre refusant de prendre une décision a refait jouer le point. Après une enquête approfondie, il s'est avéré que la technologie avait été «désactivée par erreur du côté du serveur sur une moitié du court pendant un jeu». En conférence de presse, la Russe a regretté qu'à Wimbledon, l'arbitre ne puisse pas faire appel à la vidéo, réclamant une assistance vidéo comme en football. À lire aussi Wimbledon: en perte de vitesse, le gazon se rapproche de la terre battue Publicité Du gazon ou de la terre battue ? Ce n'est pas nouveau. Le jeu sur herbe est moins rapide que dans les années 80-90. Et cette année beaucoup de joueurs et de joueuses ont particulièrement déploré la lenteur du gazon à Wimbledon. Avec la sécheresse et la chaleur, le rebond de la balle a moins fusé que d'ordinaire. Idéal pour la terrienne Iga Swiatek qui était allée chercher don premier sacre à Londres. Plusieurs joueurs ont également déploré l'allongement des rencontres. Des matchs ont ainsi dépassé les quatre heures de jeu : le premier tour laborieux du double tenant du titre Carlos Alcaraz contre le vétéran Fabio Fognini a duré 4 h 37, celui entre Arthur Rinderknech et Alexander Zverev, 4 h 40. Au 3e tour, Lorenzo Sonego a mis 5 h 04 pour vaincre Brandon Nakashima. La « next Gen » au point mort Il y a le duo Sinner – Alcaraz… et les autres. Notamment la fameuse Next Gen, la génération des Tsitsipas, Zverev, et Medvedev, aujourd'hui âgés entre 26 et 28 ans et qui étaient censée prendre le pouvoir quand le « Big 3 » ne serait plus là. Sauf que l'Espagnol et l'Italien les ont ringardisés. Tous sortis dès le premier tour, ils vivent un moment particulièrement délicat. Si le Russe, parvenu à se hisser à la première place mondiale en 2022, s'est imposé à l'US Open 2021, le Moscovite semble dans une situation moins désespérée que Stefanos Tsitsipas, double finaliste en Grand Chelem, mais en panne de résultats depuis plusieurs mois, qui a dû abandonner lundi dès le 1er tour à Wimbledon, alors qu'il était mené deux sets à rien par le Français Valentin Royer (6-3, 6-2). Toujours 3e mondial Alexander Zverev, mais peu inspiré depuis sa finale perdue de l'Open d'Australie, a lui laissé entendre qu'il avait traversé une petite dépression après sa défaite au premier tour contre Rinderknech. À lire aussi Wimbledon : Monfils, Parry, Mannarino, Rinderknech... Le tennis français retombe sur herbe Le vendredi noir des Bleus Après Monfils et Humbert en huitièmes de finale à Melbourne en janvier, l'incroyable demi-finale de Loïs Boisson, à Roland-Garros, les Bleus n'ont pas dépassé la semaine à Wimbledon. Jusqu'au vendredi 4 juillet, tout allait pourtant bien. Des exploits (Bonzi, 64e mondial qui sort Medvedev, 9e, Rinderknech, 72e qui terrasse Zverev, 3e). Des qualifiés qui déjouent les pronostics (Parry et Jacquemot qui ont le dernier mot contre des têtes de série, Royer qui profite de l'abandon de Tsitsipas). Dans cette édition sens dessus dessous, où les têtes de série tombent comme des mouches (36 têtes de série ont été éliminées sur les 64, hommes et femmes confondus après 2 tours), les Bleus ont su être des acteurs importants du grand chambardement. Il fallait ensuite enchaîner et confirmer. Et, là, le tennis français a coincé en ce vendredi où les quatre derniers représentants sont tombés contre des joueurs pourtant à leur portée sur le papier. Opposé en fin de journée à Kamil Majchrzak, Arthur Rinderknech, dernier tricolore en lice, n'a pu éviter la gueule de bois totale (3-6 6-7 6-7).

Trente ans après, Ben Healy a pris exemple sur la victoire de Laurent Jalabert à Mende lors du Tour de France 1995
Trente ans après, Ben Healy a pris exemple sur la victoire de Laurent Jalabert à Mende lors du Tour de France 1995

L'Équipe

time10 hours ago

  • L'Équipe

Trente ans après, Ben Healy a pris exemple sur la victoire de Laurent Jalabert à Mende lors du Tour de France 1995

Jonathan Vaughters, le patron d'EF Education-EasyPost, a montré à ses coureurs une vidéo de la victoire mythique de Laurent Jalabert à Mende en 1995 avant la 10e étape de ce lundi 14 juillet, à l'issue de laquelle Ben Healy a récupéré le maillot jaune. Le 14 juillet 1995, jour de fête nationale, Laurent Jalabert s'imposait sur la 12e étape du Tour de France entre Saint-Étienne et Mende, au terme de 198 km d'échappée et après avoir lâché ses compagnons de route dans la côte de la Croix Neuve, renommée depuis en son honneur. Trente ans jour pour jour après cette victoire mythique, la performance du Français continue de servir d'exemple aux coureurs de la Grande Boucle, comme l'a révélé Jonathan Vaughters, le patron d'EF Education-EasyPost. « Pour ceux d'entre vous qui aiment les courses à l'ancienne... nous avons montré à l'équipe une vidéo de la victoire de Jalabert à Mende en 1995 ce (lundi) matin. Et nous avons dit : "Voilà ce que nous voulons faire" », a dévoilé l'Américain dans un post sur son compte X. Si son poulain Ben Healy a bien pris part à l'échappée, ce lundi lors de la 10e étape, il n'a pas réussi à imiter Jalabert, devancé à l'arrivée par Simon Yates, mais sa troisième place au Mont-Dore lui a permis de ravir le maillot jaune à Tadej Pogacar. Encore un 14 juillet dont Vaughters pourra se rappeler.

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