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Accord commercial avec le Japon

Accord commercial avec le Japon

La Presse23-07-2025
Dans les premiers échanges, le Dow Jones prenait 0,48 %, l'indice NASDAQ gagnait 0,35 % et l'indice élargi S&P 500 progressait de 0,36 %.
(Washington) La Bourse de New York a ouvert en hausse mercredi, satisfaite de la conclusion d'un accord commercial entre le Japon et les États-Unis, et dans l'attente des publications trimestrielles de Tesla et d'Alphabet (Google) après la clôture.
Agence France-Presse
Dans les premiers échanges, le Dow Jones prenait 0,48 %, l'indice NASDAQ gagnait 0,35 % et l'indice élargi S&P 500 progressait de 0,36 %.
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Boeing profite des guerres commerciales de Trump
Boeing profite des guerres commerciales de Trump

La Presse

time5 days ago

  • La Presse

Boeing profite des guerres commerciales de Trump

Un avion 737 Max en fin d'assemblage à l'usine Boeing de Renton, dans l'État de Washington Il n'y a pas beaucoup de gagnants dans une guerre commerciale, mais Boeing semble tirer avantage de celle de Donald Trump. Niraj Chokshi The New York Times L'avionneur a reçu de nombreuses commandes dans le cadre d'accords commerciaux entre les États-Unis et d'autres pays. Ces ventes pourraient être la planche de salut de Boeing, qui sort d'une crise longue et profonde. Elles permettent aussi à M. Trump d'affirmer que sa politique commerciale hors norme aide l'industrie manufacturière américaine. Des centaines d'avions Boeing ont été commandés cette année dans le cadre d'accords avec l'Indonésie et le Japon, Bahreïn, les Émirats arabes unis, l'Arabie saoudite et le Qatar. « Dès son premier mandat, ses accords comportaient souvent ce type de contrats d'achat », souligne Bruce Hirsh, expert en politique commerciale chez Capitol Counsel, un cabinet de lobbying de Washington qui représente des entreprises aérospatiales. « Nos partenaires commerciaux le savent, alors ils ont un œil sur ce type de produits chers qu'ils peuvent proposer d'acheter. » Certains analystes pensent que les négociateurs américains n'ont pas eu à faire beaucoup de pression pour que ces pays achètent des avions Boeing. Les compagnies aériennes, y compris celles contrôlées par des gouvernements étrangers, planifient soigneusement ces achats coûteux, parfois pendant des mois, voire des années. De plus, les compagnies aériennes ont peu de choix, puisque Boeing et Airbus, en France, sont les deux seuls fournisseurs de gros avions commerciaux. Néanmoins, selon ces experts, il n'est pas surprenant que M. Trump et ses collaborateurs aient tenu à mettre en avant les nouvelles commandes de Boeing dans le cadre de leurs accords commerciaux. L'entreprise emploie des dizaines de milliers d'Américains et est l'un des principaux exportateurs du pays. L'action décolle Wall Street a également pris note de l'annonce de ces nouvelles commandes, et le cours de l'action Boeing est en hausse constante depuis début avril, moment auquel M. Trump a annoncé ses droits de douane à l'endroit de nombreux pays. Les analystes soulignent que d'autres accords commerciaux pourraient générer encore plus de commandes. Les clients qui n'ont pas encore commandé pourraient se sentir poussés à le faire maintenant : les délais de livraison sont de plusieurs années. PHOTO RANDALL HILL, ARCHIVES REUTERS Des employés inspectent un Boeing 787-10 Dreamliner à Charleston, en Caroline du Sud, où Boeing a une grande usine. Sollicité pour cet article, Boeing n'a pas répondu. Mais il semble apprécier l'intérêt que porte M. Trump à ses affaires. Le PDG de Boeing, Kelly Ortberg, accompagnait M. Trump lors de sa visite au Moyen-Orient en mai, au cours de laquelle l'accord avec le Qatar a été annoncé. « Si le président vous dit : 'Viens avec moi et sois certain qu'on va signer un gros accord qui créera de nombreux emplois aux États-Unis, vous faites quoi ?' », illustre Adam Pilarski, président d'Avitas, un cabinet-conseil en aviation. Mais attention, dit M. Pilarski, les commandes pourraient ne pas être aussi importantes qu'elles le semblent. Des ententes, pas nécessairement des contrats L'administration, d'autres pays et Boeing ont fourni peu de détails sur ces contrats. On peut penser que certains d'entre eux font encore l'objet de négociations complexes entre Boeing et les compagnies aériennes. Ainsi, M. Trump a déclaré ce mois-ci que l'Indonésie allait acheter 50 avions Boeing. Or, un responsable indonésien a déclaré plus tard que le contrat était encore en cours de négociation entre Garuda, le transporteur d'État, et Boeing. Richard Aboulafia, directeur général du cabinet-conseil AeroDynamic Advisory, dit soupçonner que ces « commandes » ne soient guère plus que ce qu'il appelle à la blague des « protocoles d'entente pour aller luncher ensemble ». « Le gros ouvrage de négocier les détails et les conditions financières commence après le départ de l'avion présidentiel », dit-il. Même s'il y a des contrats dûment signés, bien des commandes auraient probablement été passées même sans M. Trump, selon les experts. En mai, Qatar Airways, qui exploite de nombreux long-courriers, a commandé 150 gros-porteurs à Boeing. L'annonce a été particulièrement détaillée. « Il y a eu des conférences de presse, des poignées de main, c'est tout juste s'ils n'ont pas embrassé des bébés comme en campagne électorale », note Courtney Miller, qui dirige le cabinet-conseil Visual Approach Analytics. Selon lui, cet accord aurait été conclu de toute façon, mais ça s'est fait plus vite pour coïncider avec la visite de M. Trump. Que M. Trump ait aidé ou pas, bien des choses peuvent changer d'ici à la date de livraison. Boeing et Airbus ont tous deux des carnets de commandes de milliers d'appareils, ce qui représente des années de production. Durant ce temps, les compagnies aériennes peuvent se retirer des accords, même si elles doivent renoncer à leurs acomptes. Les clients peuvent reporter les dates de livraison ou réduire leurs commandes. Un constructeur peut être ouvert à de tels changements, surtout si cela lui permet de vendre ces avions à un autre acheteur ayant des besoins urgents. Les droits de douane de M. Trump pourraient nuire à la santé financière des fournisseurs de Boeing, et les mesures de rétorsion envisagées par les partenaires commerciaux des États-Unis, notamment l'Union européenne, pourraient nuire aux ventes de Boeing. Cette semaine, la compagnie aérienne à bas coût Ryanair a déclaré qu'elle pourrait reporter les livraisons d'avions Boeing si les autorités européennes imposent des droits de douane sur les avions américains. Les dirigeants européens pourraient prendre d'autres mesures nuisibles à Boeing. Si les accords commerciaux conclus par les États-Unis avec d'autres pays confèrent un avantage trop important à Boeing, l'Europe pourrait tenter d'inciter d'autres pays à commander davantage d'avions à Airbus, selon les experts. « Si on joue à ce jeu, la question, à long terme, est qui sera le meilleur, estime M. Miller. Ça relance une dynamique très ancienne consistant à aligner l'économie de l'aviation sur les intérêts géopolitiques. » Cet article a été publié dans le New York Times. Lisez la version originale (en anglais ; abonnement requis)

Séance boursière houleuse pour Colabor
Séance boursière houleuse pour Colabor

La Presse

time6 days ago

  • La Presse

Séance boursière houleuse pour Colabor

Le titre de Colabor a perdu le quart de sa valeur dès le début de la dernière séance de la semaine à la Bourse de Toronto avant de clôturer la journée en baisse de 14 % L'action du Groupe Colabor a passé la dernière séance boursière de la semaine sous pression après la publication de résultats décevants et de commentaires du PDG sur l'incident de cybersécurité ayant affecté toute la semaine les activités du grossiste alimentaire de Saint-Bruno-de-Montarville. Le titre de Colabor a perdu le quart de sa valeur dès le début de séance de vendredi à la Bourse de Toronto avant de clôturer la journée en repli de 14 %. « Nous travaillons jour et nuit pour maîtriser la situation et restaurer pleinement les systèmes », a dit le PDG de Colabor, Louis Frenette, en conférence téléphonique vendredi. « Il ne fait aucun doute qu'il s'agit d'une distraction regrettable », a-t-il ajouté à propos de la brèche de sécurité informatique dévoilée en début de semaine. « La bonne nouvelle est que la plupart de nos systèmes sont désormais opérationnels. À l'heure actuelle, l'impact total de cet évènement n'est pas encore totalement connu et notre travail est continu pour y voir plus clair », précise Louis Frenette. « Nous sommes tous mobilisés pour que cette situation soit de courte durée et que nous minimisions l'impact de cet incident de cybersécurité. » Le PDG a expliqué que les activités de Colabor ont été touchées par l'incident informatique, mais pas celles d'Alimplus et de sa filiale Tout-Prêt, deux entités dont les acquisitions ont été complétées le mois dernier par Colabor. Alimplus a ainsi pu assurer la continuité de ses activités et ainsi couvrir une partie de la clientèle de Colabor cette semaine, a dit Louis Frenette. « Il a fallu 24 heures pour remettre le logiciel en état de marche et redémarrer progressivement l'activité depuis mardi. D'ici lundi ou mardi prochain, nous devrions couvrir 100 % de nos activités », a dit Louis Frenette. Dans l'intervalle, certaines commandes ont pu être traitées manuellement, a-t-il souligné sans cacher que la semaine a été difficile. La Presse rapportait vendredi que des restaurateurs n'ont pas reçu de livraison de la part de Colabor cette semaine en raison de l'incident de cybersécurité, ce qui les a forcés à se tourner vers d'autres fournisseurs afin de pouvoir continuer de servir leurs clients en cette période achalandée des vacances estivales. Lisez « Une brèche de sécurité dommageable pour Colabor » Résultats printaniers inférieurs aux attentes Colabor a par ailleurs révélé vendredi que ses ventes des mois printaniers ont augmenté de 5 % sur un an à 169,5 millions. Ce résultat s'avère inférieur aux 176 millions attendus par les analystes. Le bénéfice ajusté avant frais financiers, amortissements et impôts sur les profits du trimestre a atteint 5,4 millions, alors que le marché anticipait 7,9 millions. Une perte nette a été enregistrée pour le trimestre tandis que des profits avaient été dégagés à la même période l'an passé. Les quatre analystes assurant une couverture officielle des activités de Colabor recommandaient toujours tous l'achat du titre avant la conférence téléphonique de vendredi.

Colabor sous pression en Bourse
Colabor sous pression en Bourse

La Presse

time6 days ago

  • La Presse

Colabor sous pression en Bourse

Le titre de Colabor a perdu le quart de sa valeur dès le début de la dernière séance de la semaine à la Bourse de Toronto et affichait un repli de 16 % en fin de matinée. L'action du Groupe Colabor est sous pression vendredi après la publication de résultats décevants et de commentaires du PDG sur l'incident de cybersécurité affectant depuis le début de la semaine les activités du grossiste alimentaire de Saint-Bruno-de-Montarville. Le titre de Colabor a perdu le quart de sa valeur dès le début de la dernière séance de la semaine à la Bourse de Toronto et affichait un repli de 16 % en fin de matinée. « Nous travaillons jour et nuit pour maîtriser la situation et restaurer pleinement les systèmes », a dit le PDG de Colabor, Louis Frenette, en conférence téléphonique vendredi. « Il ne fait aucun doute qu'il s'agit d'une distraction regrettable », a-t-il ajouté à propos de la brèche de sécurité informatique dévoilée en début de semaine. « La bonne nouvelle est que la plupart de nos systèmes sont désormais opérationnels. À l'heure actuelle, l'impact total de cet évènement n'est pas encore totalement connu et notre travail est continu pour y voir plus clair », précise Louis Frenette. « Nous sommes tous mobilisés pour que cette situation soit de courte durée et que nous minimisions l'impact de cet incident de cybersécurité. » Le PDG a expliqué que les activités de Colabor ont été touchées par l'incident informatique, mais pas celles d'Alimplus et de sa filiale Tout-Prêt, deux entités dont les acquisitions ont été complétées le mois dernier par Colabor. Alimplus a ainsi pu assurer la continuité de ses activités et ainsi couvrir une partie de la clientèle de Colabor cette semaine, a dit Louis Frenette. « Il a fallu 24 heures pour remettre le logiciel en état de marche et redémarrer progressivement l'activité depuis mardi. D'ici lundi ou mardi prochain, nous devrions couvrir 100 % de nos activités », a dit Louis Frenette. Dans l'intervalle, certaines commandes ont pu être traitées manuellement, a-t-il souligné sans cacher que la semaine a été difficile. La Presse rapportait vendredi que des restaurateurs n'ont pas reçu de livraison de la part de Colabor cette semaine en raison de l'incident de cybersécurité, ce qui les a forcés à se tourner vers d'autres fournisseurs afin de pouvoir continuer de servir leurs clients en cette période achalandée des vacances estivales. Lisez « Une brèche de sécurité dommageable pour Colabor » Résultats printaniers inférieurs aux attentes Colabor a par ailleurs révélé vendredi que ses ventes des mois printaniers ont augmenté de 5 % sur un an à 169,5 millions. Ce résultat s'avère inférieur aux 176 millions attendus par les analystes. Le bénéfice ajusté avant frais financiers, amortissements et impôts sur les profits du trimestre a atteint 5,4 millions, alors que le marché anticipait 7,9 millions. Une perte nette a été enregistrée pour le trimestre tandis que des profits avaient été dégagés à la même période l'an passé. Les quatre analystes assurant une couverture officielle des activités de Colabor recommandaient toujours tous l'achat du titre avant la conférence téléphonique de vendredi.

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