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Trêve à Gaza : un nouveau cycle de négociations débutera dimanche au Qatar

Trêve à Gaza : un nouveau cycle de négociations débutera dimanche au Qatar

Le Parisien16 hours ago
Un nouveau cycle de négociations indirectes
entre Israël et le Hamas
débutera dimanche au Qatar pour tenter de trouver un accord de cessez-le-feu et une libération d'otages à Gaza, a indiqué à l'AFP une source palestinienne proche des discussions.
« Les médiateurs ont informé le Hamas qu'un nouveau cycle de négociations indirectes entre le Hamas et Israël débutera ce dimanche à Doha », a dit la source en précisant que la délégation du mouvement islamiste palestinien, conduite par Khalil al-Hayya, se trouvait déjà à Doha.
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Le Figaro

timean hour ago

  • Le Figaro

Cessez-le-feu à Gaza : Trump estime qu'il y a de «bonnes chances» de parvenir à accord «cette semaine»

Les négociations indirectes entre Israël et le Hamas en vue d'un accord de cessez-le-feu et de la libération d'otages à Gaza ont commencé dimanche soir à Doha. Donald Trump a estimé dimanche qu'il existait «de bonnes chances» de parvenir à un accord avec le mouvement islamiste palestinien Hamas «cette semaine» aboutissant à la libération d'otages israéliens retenus dans la bande de Gaza. «Nous avons déjà fait sortir beaucoup d'otages, mais en ce qui concerne les otages restants, un bon nombre va sortir. Nous pensons y parvenir cette semaine», a-t-il déclaré à des journalistes depuis le New Jersey, avant d'embarquer dans son avion pour rentrer à Washington. À découvrir PODCAST - Écoutez le club Le Figaro International Les négociations indirectes entre Israël et le Hamas en vue d'un accord de cessez-le-feu et de la libération d'otages à Gaza ont commencé dimanche soir à Doha, à la veille d'une rencontre entre le président américain et le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou. Publicité Lors de cette rencontre à la Maison Blanche, ils discuteront notamment de la proposition américaine de cessez-le-feu de 60 jours dans la bande de Gaza ravagée par 21 mois de guerre entre Israël et le Hamas. «Nous travaillons sur de nombreux sujets avec Israël et l'un d'eux est probablement un accord permanent avec l'Iran», a ajouté le président américain, sans plus de détails. Un cessez-le-feu entre Israël et l'Iran est entré en vigueur le 24 juin après 12 jours de conflit. Israël avait déclenché une guerre contre l'Iran dans le but affiché d'empêcher ce pays de se doter de la bombe atomique. Le pouvoir iranien a toujours réfuté avoir de telles visées sur le plan militaire. Les États-Unis se sont joints à l'offensive de leur allié israélien et ont bombardé trois sites nucléaires iraniens dans la nuit du 21 au 22 juin.

« La menace ne nous fera pas capituler » : le chef du Hezbollah rejette le désarmement du mouvement libanais face à Israël
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Le Parisien

time3 hours ago

  • Le Parisien

« La menace ne nous fera pas capituler » : le chef du Hezbollah rejette le désarmement du mouvement libanais face à Israël

Le message est clair. Le chef du Hezbollah pro-iranien au Liban a affirmé dimanche que sa formation, sortie très affaiblie de la guerre avec Israël , n'allait pas « capituler » ou rendre les armes, alors qu'elle est sous forte pression pour désarmer . Naïm Qassem s'est exprimé à la veille d'une visite à Beyrouth de l'émissaire américain, Tom Barrack, à qui les autorités libanaises doivent transmettre leur réponse à sa demande de désarmer la formation chiite, selon une source officielle qui a requis l'anonymat. « La menace ne nous fera pas capituler (..) qu'on ne nous dise pas aujourd'hui 'assouplissez vos positions (..) rendez vos armes' », a déclaré M. Qassem dans un discours télévisé retransmis devant des milliers de partisans dans la banlieue sud de Beyrouth, bastion du Hezbollah, à l'occasion de la commémoration religieuse chiite de l'Achoura. Il a affirmé qu'Israël devait d'abord appliquer l'accord de cessez-le-feu avec le Liban , entré en vigueur le 27 novembre après plus d'un an d'hostilités dont deux mois de guerre ouverte. Israël, qui maintient toujours des positions dans le sud du Liban, doit « se retirer des territoires occupés, arrêter son agression (..), libérer les prisonniers » libanais, a-t-il dit. À ce moment-là, « nous serons prêts pour la deuxième étape, qui est de discuter de la sécurité nationale et de la stratégie de défense » du Liban, un terme qui inclut la question du désarmement du Hezbollah, a-t-il ajouté. Des milliers de partisans du Hezbollah ont défilé avant le discours dans la banlieue sud de Beyrouth, brandissant des drapeaux du mouvement ainsi que des drapeaux libanais, palestiniens et iraniens. Ils portaient également des portraits du prédécesseur de Naïm Qassem, Hassan Nasrallah , tué dans une frappe israélienne sur la banlieue sud en septembre dernier. « Les armes ne peuvent être rendues, ni maintenant ni plus tard. Ceux qui pensent que le Hezbollah va rendre ses armes sont des ignorants », affirme à l'AFP Hussein Jaber, 28 ans, originaire du sud du Liban. En dépit du cessez-le-feu, l'armée israélienne mène régulièrement des frappes au Liban , affirmant viser la formation pro-iranienne et accusant les autorités libanaises de ne pas en faire assez pour la désarmer. Dimanche encore, l'Agence de presse officielle libanaise ANI a fait état de nouveaux bombardements israéliens sur le sud et l'est du pays. L'armée israélienne a indiqué en soirée avoir frappé dans la région de la Bekaa (est) et le sud du Liban « plusieurs sites militaires du Hezbollah, des sites stratégiques de production et de stockage d'armes, et un site de lancement de roquettes ». Les forces israéliennes, qui devaient se retirer du Liban en vertu du cessez-le-feu, maintiennent cinq positions dans le sud du pays, qu'elles jugent stratégiques, et détiennent des prisonniers libanais. Le chef du Hezbollah a aussi affirmé que son parti « n'accepterait pas une normalisation (…) avec l'ennemi israélien ». Le ministre israélien des Affaires étrangères, Gideon Saar, a récemment affirmé qu'Israël était intéressé par une normalisation de ses relations avec la Syrie et le Liban, avec lesquels il est toujours en état de guerre. Le Liban n'a pas commenté et la Syrie a jugé « prématurées » les discussions à ce sujet.

Trêve à Gaza : coup d'envoi au Qatar des négociations indirectes entre Israël et le Hamas
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time4 hours ago

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Trêve à Gaza : coup d'envoi au Qatar des négociations indirectes entre Israël et le Hamas

Les pourparlers vont-ils enfin porter leurs fruits ? Les négociations indirectes entre Israël et le mouvement islamiste palestinien Hamas en vue d'un accord de cessez-le-feu et de libération d'otages à Gaza ont commencé dimanche à Doha, au Qatar, a indiqué une source palestinienne proche des échanges. « Les discussions portent sur les mécanismes de mise en œuvre » de l'accord et un « échange » d'otages retenus à Gaza contre des Palestiniens détenus en Israël , a fait savoir cette source, précisant que les négociations avaient débuté à 18h30 GMT « par l'intermédiaire de médiateurs ». Benjamin Netanyahou, qui a estimé dimanche que sa rencontre avec Donald Trump lundi à Washington pouvait « contribuer » à conclure un accord, a indiqué avoir donné à ses négociateurs des « instructions claires » : parvenir à un accord « aux conditions que nous avons acceptées ». Le Premier ministre avait jugé « inacceptables » samedi les « changements que le Hamas cherche à apporter à la proposition » initiale. Selon des sources palestiniennes proches des discussions, la proposition comprend une trêve de 60 jours, pendant laquelle le Hamas relâcherait 10 otages encore en vie, ainsi que des corps de captifs morts, en échange de la libération de Palestiniens détenus par Israël. Les changements réclamés par le mouvement islamiste, d'après ces sources, portent sur les modalités du retrait des troupes israéliennes de Gaza, des garanties qu'il souhaite obtenir sur l'arrêt des hostilités après les 60 jours, et sur une reprise en main de la distribution de l'aide humanitaire par l'ONU et des organisations internationales reconnues . Benyamin Netanyahou a une « mission importante » à Washington, a déclaré le président israélien Isaac Herzog après l'avoir rencontré dimanche matin : « faire avancer un accord pour ramener tous nos otages à la maison ». Sur les 251 personnes enlevées lors de l'attaque du Hamas en Israël le 7 octobre 2023, à l'origine de la guerre, 49 sont toujours retenues à Gaza, dont 27 déclarées mortes par l'armée israélienne. Une première trêve d'une semaine en novembre 2023, puis une deuxième de deux mois début 2025, ont permis le retour de nombreux otages en échange de la libération de Palestiniens. Le 18 mars, faute d'accord sur la suite du cessez-le-feu , Israël a repris son offensive meurtrière à Gaza.

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