
Polémique autour d'une publicité, les Clinton assignés à comparaître et fiasco SAAQclic
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La journée passe vite. Voici les trois nouvelles qui ont marqué l'actualité jusqu'ici.
La Presse
Campagne jugée raciste : American Eagle et Sydney Sweeney suscitent une controverse
Jeu de mots inoffensif ou message à connotation raciste ? Une campagne publicitaire du fabricant de jeans American Eagle mettant en vedette Sydney Sweeney continue de faire réagir aux États-Unis, jusqu'à la Maison-Blanche.
PHOTO DAVID « DEE » DELGADO, ARCHIVES REUTERS
Des piétons passent devant des affiches publicitaires d'American Eagle mettant en vedette Sydney Sweeney à New York.
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Affaire Epstein : Bill et Hillary Clinton assignés à comparaître au Congrès
Une puissante commission du Congrès américain, à majorité républicaine, a annoncé avoir assigné à comparaître l'ex-président démocrate Bill Clinton et son épouse, l'ancienne cheffe de la diplomatie Hillary Clinton, dans le cadre de son enquête parlementaire sur l'affaire du délinquant sexuel Jeffrey Epstein.
PHOTO SHAWN THEW, ARCHIVES AGENCE FRANCE-PRESSE
Bill et Hillary Clinton
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6 hours ago
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La Presse
8 hours ago
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En terrasse avec Martine Delvaux
Cet été, nos journalistes passent chaque semaine un moment en terrasse avec une personnalité pour une discussion conviviale. Alexandre Vigneault a parlé de militantisme et d'espoir avec l'écrivaine, professeure et essayiste féministe Martine Delvaux. Juin a été marqué par deux publications pour Martine Delvaux. Il y a d'abord eu cette édition augmentée du Boys club, essai primé où elle dénonce l'entre-soi masculin et ses accointances nocives avec le pouvoir. Peu après, elle faisait la une du magazine littéraire Lettres québécoises, qui consacrait un dossier élogieux à son écriture et à sa parole publique qui, selon l'un des auteurs invités, « mérite toute notre admiration et notre amour ». Cette déclaration enflammée va en faire sursauter plus d'un, car Martine Delvaux, figure majeure du féminisme contemporain, n'a pas que des amis. Les idées et les valeurs que Martine Delvaux défend avec pugnacité lui valent des réactions virulentes, pouvant aller jusqu'aux menaces de viol ou de mort. Jour après jour, elle continue néanmoins à faire sa revue de presse sur Instagram et Facebook. Elle souligne des déclarations et encercle des passages d'articles qui parlent entre autres de Trump, de Gaza, de Rozon, des « broligarques » de la techno, de la crise climatique, des avancées de la droite en général. Elle pointe aussi des choses positives, comme ce speculum réinventé par des ingénieures néerlandaises dévoilé à la mi-juillet. Parfois, elle se défend et contre-attaque. PHOTO FRANÇOIS ROY, LA PRESSE Pour Martine Delvaux, le militantisme est un mode de vie. Elle est « une bouche refusant de se taire », pour reprendre une formule utilisée dans le dossier publié par Lettres québécoises. « Ce n'est pas comme si, tous les matins, j'avais envie de le faire, mais je me rends compte que je ne peux pas faire autrement », convient-elle, attablée à l'abri du soleil sur une terrasse du boulevard Saint-Laurent. C'est un geste militant, mais c'est ma manière d'être au monde. Martine Delvaux Son engagement constitue une sorte d'héritage familial. Née d'une mère célibataire à une époque où avoir un enfant hors mariage jetait la honte sur toute la famille, Martine Delvaux a toujours eu conscience que sa maman n'était pas dans la norme. « Ça m'a construite, dit-elle. S'il faut que mon militantisme ait une généalogie, je pense qu'il part de cette réalité-là. » Militante assumée Son écriture est militante et son enseignement aussi, acquiesce l'autrice féministe. « Je sais que mes détracteurs de droite disent que les profs ne devraient pas être militants, mais je ne connais pas de prof qui ne soit pas engagé », dit Martine Delvaux, qui donne des cours sur la littérature des femmes et les théories féministes. L'étiquette de « militante », elle la revendique. Il y a quelques semaines, dans la foulée de l'arraisonnement du navire voguant vers Gaza avec Greta Thunberg à son bord, elle en a néanmoins interrogé la résonance sur Instagram. En résumé, elle demandait à son auditoire si de décrire quelqu'un comme un activiste ou un militant, sans autre explication, est une façon de mettre en valeur ou plutôt de dévaluer cette personne. J'ai l'impression que, dans l'état actuel des choses et de manière générale, utiliser le mot 'militant' pour parler d'une personne est un moyen de la discréditer dans l'espace public. Comme si être militant signifiait manquer de réflexion et agir sous le coup de l'émotion. Martine Delvaux Discréditer le lien entre émotion et raison est un combat qui dure depuis des siècles, souligne Martine Delvaux, qui voit derrière cette stratégie une dévaluation de choses associées au féminin. « Je m'oppose évidemment à ça. Militer, c'est réfléchir, c'est évaluer la situation dans laquelle on se trouve, c'est faire preuve de raison, pas seulement d'émotion, poursuit la femme de lettres. Greta Thunberg est l'exemple par excellence d'une personne qui est discréditée en tant que militante, alors qu'on sait à quel point elle est informée et défend le discours scientifique. Martine Delvaux Cette stratégie de dépréciation, relève-t-on, semble viser principalement les gens qui défendent des idées et des valeurs de gauche. Les gens à droite du spectre politique ne sont-ils pas militants ? Ceux du « convoi de la liberté » à Ottawa n'étaient-ils pas activistes, eux aussi ? Les bénévoles du Parti conservateur ne sont-ils pas militants au même titre que ceux de Québec solidaire ? PHOTO FRANÇOIS ROY, LA PRESSE Martine Delvaux en entrevue avec notre journaliste « Ça, c'est vraiment la tache aveugle. Comme si le discours de droite n'était pas militant ! Oui, le mot 'militant', on le colle à la peau de ceux et celles qui se battent pour les minorités, qui dénoncent les manques et les privilèges, qui sont dans l'intersection des oppressions. Ça, c'est militant. Mais tous ceux qui se [sont battus] pour le beau gros bill aux États-Unis pour les droits des plus riches, évidemment, ce n'est pas du militantisme ! », ironise-t-elle. Ce deux poids, deux mesures lui pose évidemment problème. De l'espoir malgré le ressac « Il y a une atmosphère générale qui est plutôt de droite, plutôt conservatrice, plutôt néolibérale, plutôt capitaliste, et face à ça, la gauche sera toujours militante, tranche-t-elle. On est devant une destruction du tissu social qui est vraiment, vraiment importante. » Ce climat général marqué notamment par une « guerre des sexes et des genres », elle en parle comme d'un ressac. Ce retour de balancier ne la surprend guère : les féministes s'y attendent toujours, assure-t-elle. Ce qui l'étonne, c'est la « violence » de ce ressac. Une violence qu'elle voit dans les propos de gens qui réagissent à ses prises de position et ses écrits. Des messages haineux, des insultes, des menaces. « Dès qu'on est féministe dans l'espace public, ça risque de nous arriver », dit Martine Delvaux. Parfois, elle a eu peur. Mais elle refuse « d'être mise sous silence ». Sa santé ne lui permet pas de participer régulièrement à des manifestations, mais elle continuera à défendre des idées à l'université, dans des comités de femmes ou des rencontres avec des étudiants. Et sur la place publique. Je crois beaucoup à l'idée de passer le bâton de relais. Je ne fais pas grand-chose. Je lis les journaux, j'encercle, je pointe un certain nombre de trucs. Puis, j'ai des coups de gueule parce que j'ai un rapport à l'écriture. Ce n'est pas énorme, mais je passe le relais. Martine Delvaux « On ne peut pas faire abstraction de l'état du monde, dira aussi Martine Delvaux au cours de cet échange. Pour moi, ça n'a jamais été une solution. Je n'ai jamais trouvé de bien-être à fermer les yeux. Ça ne me rassure pas, ça ne me soigne pas. Ce qui me soigne, c'est de regarder les choses en face. » Militer reste pour elle un geste d'espoir. « Ces publications sur Instagram, c'est un geste d'espoir, convient-elle. S'informer, c'est un geste d'espoir. Je ne suis pas désespérée, mais je suis vraiment inquiète. » Qu'en pensez-vous ? Participez au dialogue Questionnaire estival À quoi ressemble votre été idéal ? Avoir le temps et l'espace pour écrire. […] Pour moi, l'été, c'est l'écriture. Avoir le temps et l'espace pour écrire. […] Pour moi, l'été, c'est l'écriture. Un rêve de bonheur ? Je n'ai pas de rêve de bonheur, je n'ai pas ce rapport à la vie et au monde. Je peux juste dire que je touche à ce qu'on décrit comme le bonheur quand je suis avec ma fille. Et quand je suis sur le X de l'écriture et que ça se passe bien. Je n'ai pas de rêve de bonheur, je n'ai pas ce rapport à la vie et au monde. Je peux juste dire que je touche à ce qu'on décrit comme le bonheur quand je suis avec ma fille. Et quand je suis sur le X de l'écriture et que ça se passe bien. Ce qui vous fait rire à tout coup ? Des comédies américaines. Friends me fait rire, malgré tout ce qu'on peut reprocher à cette série, parce qu'elle a mal vieilli. Je suis bon public : j'aime les jeux de mots, j'aime le comique de situation. Ça me fait rire. Ça, et ma fille. Des comédies américaines. Friends me fait rire, malgré tout ce qu'on peut reprocher à cette série, parce qu'elle a mal vieilli. Je suis bon public : j'aime les jeux de mots, j'aime le comique de situation. Ça me fait rire. Ça, et ma fille. Une action militante qui vous inspire ? Les grandes marches me font pleurer. Cette collectivité de corps qui se mobilisent et qui marchent côte à côte, ça continue de m'émouvoir profondément. Il y a une fragilité là-dedans, une mise en péril de soi, une vraie prise de risque et ça, ça me donne des frissons.


La Presse
12 hours ago
- La Presse
Bill et Hillary Clinton assignés à comparaître au Congrès
(Washington) Une puissante commission du Congrès américain, à majorité républicaine, a annoncé mardi avoir assigné à comparaître l'ex-président démocrate Bill Clinton, et son épouse, l'ancienne cheffe de la diplomatie Hillary Clinton, dans le cadre de son enquête parlementaire sur l'affaire du délinquant sexuel Jeffrey Epstein. Agence France-Presse Alors que Donald Trump se trouve accusé depuis plusieurs semaines, jusque dans sa base, de manque de transparence dans le dossier de ce financier mort en prison avant son procès pour crimes sexuels, le responsable républicain James Comer a déclaré avoir convoqué l'ancien président le 14 octobre, et l'ancienne cheffe de la diplomatie américaine le 9 octobre, pour répondre de leurs liens avec Jeffrey Epstein. Plus de détails à venir.