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Droits de douane: «bon échange» téléphonique dimanche entre Ursula von der Leyen et Donald Trump

Droits de douane: «bon échange» téléphonique dimanche entre Ursula von der Leyen et Donald Trump

Le Figaro12 hours ago
La présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen a eu un «bon échange» téléphonique dimanche avec le président américain Donald Trump sur la question des droits de douane, a indiqué un de ses porte-parole.
«Ils ont eu un bon échange», a affirmé Stefan de Keersmaecker lundi, assurant «que des efforts étaient toujours en cours à différents niveaux» pour parvenir à un accord commercial avec les États-Unis.
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Les États-Unis de Trump actent leur rapprochement avec la Syrie d'après Bachar al-Assad avec cette mesure
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Le HuffPost France

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  • Le HuffPost France

Les États-Unis de Trump actent leur rapprochement avec la Syrie d'après Bachar al-Assad avec cette mesure

INTERNATIONAL - Un nouvel acte de rapprochement. Les États-Unis ont annoncé ce lundi 7 juillet la révocation du statut d' « organisation terroriste étrangère » du groupe islamiste Hayat Tahrir al-Cham (HTS), autrefois lié au groupe Al-Qaïda. Washington a aussi salué « les mesures positives prises par le nouveau gouvernement syrien », dirigé par le président de transition Ahmad al-Chareh, après la chute de Bachar al-Assad. « Conformément à la promesse faite par le président Trump le 13 mai d'alléger les sanctions contre la Syrie, j'annonce mon intention de révoquer la désignation d'organisation terroriste étrangère du Front al-Nusra, également connu sous le nom de Hayat Tahrir al-Cham (HTS) », a déclaré le secrétaire d'Etat américain Marco Rubio dans un communiqué. Cette révocation prendra effet mardi après sa publication dans le registre fédéral, est-il précisé. Cela fait suite « à la dissolution du HTS et à l'engagement du gouvernement syrien à combattre le terrorisme sous toutes ses formes », a poursuivi Marco Rubio. Une « Syrie stable, unifiée et pacifique » « Cette révocation est une étape importante dans la réalisation de la vision du président Trump d'une Syrie stable, unifiée et pacifique », a-t-il encore dit. Cette décision, qui était attendue, intervient après que le président américain a signé le 30 juin un décret formalisant le démantèlement des sanctions américaines contre la Syrie. Le président Trump avait créé la surprise en annonçant lors d'une visite à Ryad le 13 mai la levée des sanctions américaines, disant vouloir « donner une chance de grandeur » aux nouvelles autorités de Damas. Il avait aussi rencontré le lendemain le président syrien par intérim, Ahmad al-Chareh, à la tête de la coalition rebelle dirigée par HTS ayant renversé en décembre le président syrien. Depuis, Washington a assoupli la plupart de ses sanctions pour faciliter le retour de la Syrie dans le système financier international et mis en œuvre des autorisations pour encourager de nouveaux investissements en Syrie. Le communiqué ne précise pas si Washington va aussi retirer la Syrie de la liste américaine des pays accusés de soutenir le terrorisme mais Marco Rubio avait dit la semaine dernière examiner la question. Washington œuvre pour un rapprochement entre Damas et Israël Le soutien à la Syrie ne passe pas sans des exigences, Washington œuvrant notamment à un rapprochement entre Damas et Israël, qui a mené des centaines de frappes aériennes contre son voisin depuis la chute d'Assad. Le HTS était connu sous le nom de Front al-Nusra, ancienne branche d'Al-Qaïda en Syrie, mais il a rompu ses liens avec le groupe jihadiste en 2016 et a cherché à adoucir son image. En 2017, le HTS a revendiqué le contrôle de pans entiers de la province d'Idleb, dans le nord-ouest de la Syrie, et a mis en place une administration civile dans la région, au milieu d'accusations d'abus à l'encontre de toute dissidence. En janvier, les nouvelles autorités syriennes ont annoncé la dissolution de toutes les factions armées, y compris le HTS, certains groupes intégrant ensuite des organes tels que la nouvelle police du pays. Le Front al-Nusra fait partie depuis 2014 des groupes inscrits sur la liste des sanctions du Conseil de sécurité de l'ONU visant les organisations État islamique, Al-Qaïda et affiliés.

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Réservé aux abonnés RÉCIT - En l'espace de cinq ans, entre 2019 et 2024, le RN est passé de 13 % à 20 % des voix chez les cadres. Une partie de cette catégorie socioprofessionnelle désormais fourre-tout et sans privilège majeur a été progressivement gagnée par l'angoisse du déclassement. En avril 2024, Julien*, 28 ans, a transféré un sondage à ses collègues, agrémenté d'un commentaire du type « vous avez vu ? ». Personne ne l'avait vu. L'étude Ifop présentait le Rassemblement national en tête des intentions de vote chez les cadres aux élections européennes, une première historique. Dans l'open space du siège parisien de cette banque où il officie au financement de projets d'énergie renouvelable, les réactions ont oscillé entre « déni mi-amusé » et « indignation ». « Ensuite, un maccarthysme potache a commencé en essayant de savoir qui au bureau votait RN. » Quelques-uns ont regardé leurs chaussures. Le verdict des urnes a scellé la tendance. En cinq ans, entre 2019 et 2024, le RN est passé de 13 % à 20 % des voix chez les cadres aux européennes, il a atteint 21 % aux élections législatives 2024 (Ipsos). À la présidentielle 2017, 10 % des cadres avaient choisi Marine Le Pen, 10,8 % son père en 2002. À découvrir PODCAST - Écoutez le club Le Club Le Figaro Idées avec Eugénie Bastié Pourquoi des cadres, qu'ils croyaient ancrés dans…

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