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Les agents de bord d'Air Canada déclencheront une grève samedi

Les agents de bord d'Air Canada déclencheront une grève samedi

La Pressea day ago
Les agents de bord d'Air Canada lors d'une manifestation silencieuse à l'aéroport international Pierre-Elliott-Trudeau de Montréal, le 11 août 2025.
Les agents de bord d'Air Canada déclencheront une grève samedi
(Montréal) Les agents de bord d'Air Canada ont fait savoir à la direction de l'entreprise qu'ils déclencheront une grève à 0 h 58 samedi.
La Presse Canadienne
Air Canada a répliqué en transmettant un avis de lock-out au syndicat.
Plus de détails à venir.
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Le Syndicat canadien de la fonction publique, qui représente les quelque 10 000 agents de bord, compte déclencher une grève samedi, peu avant 1 heure. Le transporteur aérien imposera quant à lui un lock-out. La direction fera le point sur les annulations à l'approche de la grève Des membres de la haute direction d'Air Canada feront le point jeudi matin sur les annulations de vols qui sont à venir à l'approche du déclenchement d'une grève des agents de bord. La Presse Canadienne La vice-présidente générale et chef des ressources humaines et des affaires publiques d'Air Canada, Arielle Meloul-Wechsler, et le vice-président général et chef des opérations, Mark Nasr, tiendront un point de presse à 10 h 30 à Toronto. Ils doivent aborder la grève imminente du Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP), qui représente les quelque 10 000 agents de bord, et les annulations de vols. Air Canada a prévenu mercredi que certains vols qui devaient décoller jeudi seront annulés, car la compagnie aérienne se prépare à la grève de ses agents de bord qui doit commencer samedi. Le SCFP compte déclencher une grève samedi, peu avant 1 heure. Le transporteur aérien imposera quant à lui un lock-out. Dans ce contexte, Air Canada commencera à annuler des vols dès jeudi. D'autres annulations auront lieu vendredi, puis le service sera complètement interrompu samedi si un accord n'est pas conclu d'ici là. L'entreprise précise que les clients dont les vols sont annulés auront droit à un remboursement complet. Les plus chanceux se verront offrir une place sur un vol d'une autre compagnie. Les points en litige portent notamment sur le salaire des agents de bord et le travail non rémunéré lorsque les avions ne sont pas en vol. Estimant qu'il « ne semble pas qu'une résolution soit envisageable dans un avenir proche », la compagnie aérienne demande à Ottawa d'ordonner un arbitrage exécutoire. Le fédéral n'a pas indiqué s'il interviendrait dans le conflit. Mardi, la ministre fédérale de l'Emploi, Patty Hajdu, a appelé les deux parties « à rester à la table des négociations jusqu'à ce qu'un accord soit conclu ».

L'avenir des grands magasins, Simons y croit
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L'avenir des grands magasins, Simons y croit

Alors que Simons s'installe au centre-ville de Toronto, une première pour le détaillant de Québec, le grand patron, Bernard Leblanc, croit toujours en la pertinence des grands magasins, quelques mois à peine après la fermeture définitive de La Baie. L'avenir des grands magasins, le président et chef de la direction de Simons y croit. « La facilité en ligne, la découverte en magasin », a lancé Bernard Leblanc au cours d'une entrevue accordée à La Presse en visioconférence alors qu'il se trouvait à Toronto pour l'ouverture ce jeudi d'un emplacement de 118 000 pieds carrés au Yorkdale Shopping Centre. Un deuxième ouvrira à 14 kilomètres de là à l'automne, au CF Toronto Eaton Centre. Coût du projet : près de 100 millions de dollars. « Oui, ce sont de grands magasins, ce sont de beaux magasins », ajoute fièrement M. Leblanc. Or, à la suite de la fermeture le 1er juin des 80 magasins La Baie à travers le pays, dont 13 au Québec, le modèle des grands magasins a été remis en question. « C'est sûr que la sortie d'un concurrent majeur vient bouleverser l'industrie, reconnaît le principal intéressé. Il faut être quand même très conscient que ça nous indique que l'histoire et la durée ne sont pas nécessairement garants du succès futur. » Il a toutefois tenu à différencier ses magasins de ceux de La Baie, qui offraient à la fois des robes de soirée, des parfums et des casseroles. Il rappelle aussi que les deux tiers de son chiffre d'affaires proviennent des ventes faites sur place. « Je ne nous qualifierais pas de grand magasin, de department store proprement dit. On a une unicité qui est bien à nous. Près de 70 % de notre assortiment, ce sont nos marques privées. Ce sont des produits qu'on développe avec notre équipe de design à Québec. On a une offre qui n'est pas répliquée ailleurs. » PHOTO ROBERT SKINNER, ARCHIVES LA PRESSE Le grand patron de Simons, Bernard Leblanc La grande surface nous permet d'avoir une offre qui est complète pour un large spectre de clients. Ce n'est pas rare qu'on voie trois générations qui magasinent ensemble. Bernard Leblanc, PDG de Simons S'il n'a pas répondu directement à la question lorsque La Presse lui a demandé s'il avait observé une migration des fidèles de La Baie vers ses magasins, M. Leblanc s'est dit prêt à les accueillir. « Ils sont un peu orphelins de leur magasin préféré. On sera présent. On va essayer de les épater et de faire en sorte qu'ils deviennent de loyaux clients avec les années. » Et tous ces locaux vacants pourraient représenter un intérêt pour Simons ? « Exact. On sent qu'il y a encore de l'opportunité de densification. On reste orienté sur le Canada pour le moment. » Détaillant pancanadien Par ailleurs, l'arrivée de Simons au centre-ville de Toronto renforce en quelque sorte son image de détaillant « pancanadien ». « Toronto, c'est le marché le plus dynamique et le plus grand au Canada. On voit ça comme un nouveau chapitre dans notre histoire. Ça nous établit comme joueur pancanadien. Beaucoup de gens transitent par Toronto à un moment dans leur année. De nous voir ici à Yorkdale, le meilleur centre d'achats en termes de performance à travers le Canada, ça vient nous établir comme une marque qui est forte. » Après la Ville Reine, il a été impossible de savoir exactement à quel endroit Simons avait l'intention de s'installer, mais Vancouver serait dans la ligne de mire.

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La grève affecte les sites de Boeing à St. Louis et St. Charles dans le Missouri, et de Mascoutah dans l'Illinois, En grève, les ouvriers de Boeing se tournent vers le Congrès américain (New York) Des représentants d'ouvriers qui assemblent les avions de chasse de Boeing, actuellement en grève, ont sollicité mercredi le soutien d'élus américains, dans l'espoir d'augmenter la pression sur le géant de l'aéronautique, alors que les négociations sont au point mort. Agence France-Presse « Nous vous demandons respectueusement de nous rejoindre pour soutenir cette main-d'œuvre hautement qualifiée, dont le rôle est d'une importance vitale », a écrit le syndicat des machinistes dans des lettres adressées aux représentants et sénateurs du Missouri, qualifiant la dernière offre de Boeing de « médiocre ». Quelque 3200 membres du District 837 du syndicat IAM (International Association of Machinists and Aerospace Workers) sont en grève depuis le 4 août, après avoir rejeté la proposition de nouveau contrat d'entreprise de l'avionneur américain. Les deux parties n'ont pas repris les discussions depuis le début du débrayage. La grève affecte les sites de Boeing à St. Louis et St. Charles dans le Missouri, et de Mascoutah dans l'Illinois, où sont notamment fabriqués les avions de combat F-15 et F-18, le système de formation pour les pilotes T-7 Red Hawk, ainsi que le drone MQ-25. « Nous vous demandons d'inciter l'entreprise à revenir rapidement à la table des négociations avec de nouvelles idées et propositions, afin de parvenir à un règlement équitable et juste de ce différend », a écrit Brian Bryant, président international d'IAM. Le syndicat réclame une rémunération équitable, avec des salaires correspondant au coût de la vie, ainsi qu'un « contrat qui respecte l'ancienneté et l'expérience », selon IAM. Boeing affirme que son offre prévoit une augmentation moyenne des salaires de 40 %, ainsi que davantage de congés payés et de jours de maladie. « Nous sommes surpris que la direction internationale d'IAM qualifie notre offre de 'médiocre', alors qu'elle l'avait saluée comme un accord 'historique' qu'elle a approuvé il y a seulement trois semaines », a déclaré Dan Gillian, vice-président de la division Air Dominance chez Boeing. « Nous restons prêts à écouter toute proposition constructive de la part du syndicat », a-t-il ajouté. Le mouvement local de St. Louis intervient après une autre grève qui a paralysé les usines de production des avions commerciaux de Boeing à l'automne dernier dans le nord-ouest des États-Unis, impliquant environ 33 000 travailleurs. Les dirigeants du groupe ont qualifié la grève de St. Louis de « gérable », soulignant qu'ils s'y étaient préparés avant même que les salariés ne rejoignent les piquets de grève.

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