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« Horrible de les voir souffrir » : Melania Trump, l'alliée secrète de Kiev à la Maison-Blanche ?

« Horrible de les voir souffrir » : Melania Trump, l'alliée secrète de Kiev à la Maison-Blanche ?

Le Parisien5 days ago
Ses airs impassibles ont nourri toutes les légendes. Les réseaux sociaux ont appelé à la « libérer » des griffes de son goujat de mari. Une aura nouvelle entoure Melania Trump, cette semaine. Donald Trump a opéré un
revirement spectaculaire à l'égard du Kremlin
. Les médias américains s'interrogent. Une ombre froide semble étirer son influence jusqu'au cœur du pouvoir américain.
Lundi, Donald Trump a confié être « déçu » par Vladimir Poutine. L'Américain
a tenté de se rapprocher
de Moscou depuis son investiture, en janvier, pour mettre un terme à la guerre en Ukraine. Le septuagénaire raconte être parfois rentré chez lui plein d'espoir, se targuant d'avoir eu « une merveilleuse conversation » avec le président russe. « Oh, vraiment ? », le coupe alors son épouse. « Une autre ville vient d'être frappée. »
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« J'ai été surpris » : un pilote s'excuse pour une manœuvre « brusque » visant à éviter un B-52 de l'US Air Force
« J'ai été surpris » : un pilote s'excuse pour une manœuvre « brusque » visant à éviter un B-52 de l'US Air Force

Le Parisien

time32 minutes ago

  • Le Parisien

« J'ai été surpris » : un pilote s'excuse pour une manœuvre « brusque » visant à éviter un B-52 de l'US Air Force

Une collision aérienne a été évitée de peu le 18 juillet dernier. Le pilote d'un avion régional de Delta Air Lines a été contraint d'effectuer un virage brutal pour éviter une collision avec un bombardier B-52 de l'US Air Force, selon un enregistrement audio de l'incident rapporté par plusieurs médias américains. D'après un communiqué de la compagnie SkyWest Airlines, l'avion qui avait décollé de Minneapolis, aux États-Unis, arrivait à Minot. Il avait été « autorisé à approcher par la tour, mais a effectué une remise des gaz lorsqu'un autre avion est devenu visible sur sa trajectoire de vol », précise-t-elle. Au sol, le pilote a expliqué la situation aux passagers en toute transparence : « Vu sa vitesse… je ne sais pas à quelle vitesse ils allaient, mais ils étaient bien plus rapides que nous. J'ai estimé que la chose la plus sûre à faire était de virer derrière lui ». « Désolé pour la manœuvre agressive, j'ai été surpris, ce n'est pas du tout normal, a ajouté le pilote dans un audio partagé par une passagère sur TikTok. Je ne comprends pas pourquoi on n'a pas été prévenus, car la base de l'Air Force dispose bien d'un radar… bref, ce n'était pas drôle du tout, je m'en excuse et merci pour votre compréhension. Ce n'était pas une journée agréable au travail. » Contactée par CNN , Monica Green, qui était sur ce vol dans le cadre d'un déplacement professionnel, a salué le message du pilote. « Je suis tout simplement satisfaite de la transparence du pilote. Ça m'a rassurée qu'il ait parlé de ce qu'il s'était passé et qu'il ait informé les passagers », a-t-elle expliqué. On ignore à quelle distance les deux avions se trouvaient l'un de l'autre, ni si une alarme du cockpit a été déclenchée pour avertir les pilotes d'une collision potentielle. Un porte-parole de l'armée de l'air a confirmé à ABC News qu'un B-52 affecté à la base aérienne de Minot a survolé l'État du Dakota du Nord vendredi soir. Une enquête est en cours.

Nucléaire iranien : les discussions entre Téhéran et Européens vont reprendre vendredi
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Le Parisien

time2 hours ago

  • Le Parisien

Nucléaire iranien : les discussions entre Téhéran et Européens vont reprendre vendredi

La diplomatie fait son retour dans le dossier . Un mois après la guerre de 12 jours qui l'a opposé à Israël et aux États-Unis , l'Iran va tenir de nouvelles discussions sur son programme nucléaire avec l'Allemagne, la France et le Royaume-Uni à Istanbul vendredi. « En réponse à la demande des pays européens, l'Iran a accepté de tenir une nouvelle séance de pourparlers », a déclaré le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères Esmaïl Baghaï, cité lundi par la télévision d'État. « L'Iran a montré qu'il était capable de faire échec (aux attaques) mais a toujours été prêt à une diplomatie réelle, réciproque et de bonne foi », a écrit dimanche sur X le ministre iranien des Affaires étrangères, Abbas Araghchi. Une source diplomatique allemande avait indiqué plus tôt que Berlin, Paris et Londres continuaient « de travailler intensivement (…) pour trouver une solution diplomatique durable et vérifiable au programme nucléaire iranien » et prévoyaient une réunion dans la semaine. L'Iran est soupçonné par les pays occidentaux et par Israël de vouloir se doter de la bombe atomique, ce qu'il dément en soulignant son droit à poursuivre un programme nucléaire à des fins civiles. Le 13 juin, Israël avait lancé une attaque surprise en bombardant l'Iran et en tuant ses principaux responsables militaires et des scientifiques liés à son programme nucléaire. Les États-Unis se sont joints à l'offensive de leur allié israélien en frappant trois sites nucléaires dans la nuit du 21 au 22 juin. Depuis ces frappes ordonnées par le président américain Donald Trump, les discussions étaient suspendues. La dernière réunion entre représentants des E3 (Allemagne, France, Royaume-Uni) et de l'Iran s'était tenue à Genève le 21 juin, quelques heures avant les bombardements américains. Parallèlement, le président russe Vladimir Poutine a reçu dimanche au Kremlin Ali Larijani, proche conseiller du guide suprême iranien Ali Khamenei, pour évoquer le dossier nucléaire. Le représentant iranien « a transmis des évaluations de la situation qui s'aggrave au Moyen-Orient et concernant le programme nucléaire iranien », a déclaré le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov. Le chef du Kremlin, de son côté, a exprimé les « positions bien connues de la Russie sur la manière de stabiliser la situation dans la région et sur le règlement politique du programme nucléaire iranien », a-t-il ajouté. Cette rencontre à Moscou n'avait pas été annoncée au préalable. La Russie entretient de bonnes relations avec l'Iran, considéré comme son principal allié au Moyen-Orient, mais n'a pas soutenu avec force Téhéran lors de sa récente guerre avec Israël, ni après les frappes américaines sur des sites nucléaires. La semaine dernière, Moscou a fustigé un article du média américain Axios selon lequel Poutine aurait « encouragé » l'Iran à accepter un accord avec Washington qui empêcherait Téhéran d'enrichir de l'uranium. L'Iran, plusieurs puissances occidentales, la Chine et la Russie avaient trouvé en 2015 un accord qui prévoyait l'instauration de restrictions importantes au programme nucléaire iranien en échange de la levée de sanctions visant le pays. Mais les États-Unis étaient sortis en 2018 de cet accord longuement négocié, lors du premier mandat de Donald Trump qui avait réimposé des sanctions. Téhéran et Washington avaient tenu plusieurs séries de négociations sur le nucléaire par l'intermédiaire de médiateurs omanais avant qu'Israël ne lance sa guerre de 12 jours contre l'Iran. Récemment, des pays européens ont pour leur part menacé de déclencher le mécanisme de « snap-back » inscrit dans l'accord de 2015 et qui prévoit d'imposer des sanctions si l'Iran manque à ses engagements.

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Réservé aux abonnés CHRONIQUE - Outre ses faiblesses économiques, le projet du Premier ministre est mort-né en raison de l'absence de soutien politique, des virulentes oppositions sociales et de l'hostilité des citoyens envers un premier ministre qui bat tous les records d'impopularité. François Bayrou ne s'est pas dérobé. Après six mois d'atermoiements et d'immobilisme, avec pour seul bilan un budget pour 2025 ruineux pour les finances publiques et dévastateur pour l'économie, il s'est enfin lancé à l'assaut de l'Himalaya dont il parlait d'autant plus doctement qu'il restait assis pour le contempler de loin. Il est sorti du déni entretenu par Emmanuel Macron pour faire la vérité sur la crise financière de la France. À découvrir PODCAST - Écoutez le club Le Club Le Figaro Idées avec Eugénie Bastié Notre pays se trouve à un tournant historique, confronté simultanément à l'accélération de son déclassement après quarante-cinq ans d'un long déclin, à l'implosion du commerce et des échanges mondiaux sous la pression des États-Unis de Donald Trump, à la menace des empires autoritaires au premier rang desquels la Russie de Vladimir Poutine, enfin à l'impuissance de l'Union européenne, prise à contre-pied dans un monde où la force prime le droit et où il n'est plus de pouvoir de négociation sans capacité à recourir à la force armée. Dans ce moment critique…

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