
Mort d'Ozzy Osbourne, l'affaire Epstein et rapport d'autopsie pour la petite Melina
Meurtre de Melina Frattolin
« Elle s'est fait voler sa vie »
La famille de la Montréalaise de 9 ans est « sous le choc » et vit un « stress immense ». Le drame a aussi bouleversé Ticonderoga, une petite communauté de l'État de New York où le corps de la fillette a été retrouvé. Le père de la victime a été accusé lundi de meurtre au deuxième degré et d'avoir dissimulé un cadavre.

Essayez nos fonctionnalités IA
Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :
Commentaires
Aucun commentaire pour le moment...
Articles connexes


La Presse
15 hours ago
- La Presse
Les victimes se sentent épuisées et angoissées par les querelles
(Los Angeles) Les femmes qui affirment avoir été agressées par Jeffrey Epstein sont sceptiques et inquiètes quant à la gestion par le département de la Justice des dossiers relatifs à ce délinquant sexuel condamné. Certaines plaident en faveur d'une plus grande divulgation publique, une mesure de transparence attendue depuis longtemps, tandis que d'autres expriment des inquiétudes quant à leur vie privée et aux motivations de l'administration Trump. Jake Offenhartz et Jaimie Ding Associated Press Dans des lettres adressées cette semaine aux juges fédéraux de New York, plusieurs victimes ou leurs avocats ont déclaré qu'ils soutiendraient la publication des témoignages devant le grand jury ayant conduit à l'inculpation d'Epstein et de son ex-compagne, Ghislaine Maxwell, si le gouvernement acceptait de les autoriser à examiner ces documents et à expurger des informations sensibles. PHOTO DÉPOSÉE EN COUR, AGENCE FRANCE-PRESSE Ghislaine Maxwell et Jeffrey Epstein Le département de la Justice a demandé au tribunal de prendre la mesure rare de rendre publiques les transcriptions de ce témoignage secret, notamment pour apaiser ceux qui pensent que le gouvernement a dissimulé certaines informations sur les méfaits d'Epstein. D'autres victimes, quant à elles, ont accusé le président Donald Trump de marginaliser les victimes afin de détourner l'attention d'Epstein, qui s'est suicidé en 2019 alors qu'il attendait son procès pour abus sexuels sur mineures. Certaines craignaient que l'administration, soucieuse d'éteindre le scandale, n'accorde à Maxwell la clémence, l'immunité contre de futures poursuites ou de meilleures conditions de détention dans le cadre d'un accord visant à la contraindre à témoigner devant le Congrès. Je ne suis pas un pion dans votre guerre politique. Ce que vous avez fait et continuez de faire me ronge jour après jour, contribuant ainsi à perpétuer cette histoire. Extrait d'une lettre d'une victime présumée remise au tribunal par son avocat cette semaine Une autre victime a ajouté, dans une lettre anonyme soumise mercredi : « Tout cela est très épuisant. » Maxwell a été reconnu coupable en 2021 d'avoir aidé Epstein à abuser sexuellement de mineures et purge actuellement une peine de 20 ans de prison. Un haut fonctionnaire du département de la Justice, le procureur général adjoint Todd Blanche, a interrogé Maxwell pendant neuf heures à la fin du mois dernier, affirmant vouloir entendre tout ce qu'elle avait à dire sur les méfaits commis par Epstein ou d'autres personnes. Après cet entretien, Maxwell a été transférée d'une prison fédérale de Floride vers un camp de détention de faible sécurité au Texas. Alicia Arden, qui a déclaré avoir été agressée sexuellement par Epstein à la fin des années 1990, a tenu une conférence de presse mercredi à Los Angeles. Elle a indiqué qu'elle soutiendrait la publication de documents supplémentaires liés à l'affaire, notamment une transcription de l'entretien de Maxwell avec Todd Blanche. Elle a également exprimé son indignation face à la possibilité que Maxwell puisse bénéficier d'une grâce ou d'un autre traitement de faveur dans le cadre de cette procédure, ajoutant que l'approche du département de la Justice avait été « très perturbante » jusqu'à présent. Des dossiers au cœur des rumeurs L'administration Trump a dû faire face pendant des semaines à la fureur de certains segments de la base politique du président, qui ont exigé la divulgation publique des dossiers liés à Epstein. Epstein fait depuis longtemps l'objet de théories du complot en raison de ses liens avec des personnalités riches et puissantes, dont Donald Trump lui-même, le prince Andrew et l'ancien président Bill Clinton. Le mois dernier, le département de la Justice a annoncé qu'il ne publierait pas d'autres dossiers liés à l'enquête sur le trafic sexuel impliquant Epstein. Les procureurs ont ensuite demandé la publication des transcriptions du grand jury, bien qu'ils aient indiqué au tribunal qu'elles contenaient peu d'informations qui n'avaient pas déjà été rendues publiques. Deux juges, qui décideront de la publication des transcriptions, ont ensuite demandé aux victimes de donner leur avis sur la question. Dans une lettre remise au tribunal mardi, les avocats Brad Edwards et Paul Cassell, qui représentent de nombreuses victimes d'Epstein, ont écrit : « Pour les survivants qui ont courageusement témoigné, le sentiment que Mme Maxwell est légitimée dans le discours public a déjà entraîné un nouveau traumatisme. » L'avocat de Mme Maxwell, David Oscar Markus, a déclaré cette semaine s'opposer à la publication des transcriptions du grand jury. « Jeffrey Epstein est mort. Ghislaine Maxwell ne l'est pas, a-t-il écrit. Quel que soit l'intérêt du public pour Epstein, cet intérêt ne saurait justifier une atteinte généralisée au secret du grand jury dans une affaire où l'accusé est en vie, ses recours juridiques sont valables et ses droits à une procédure régulière sont préservés. » Le département de la Justice n'a pas répondu à une demande de commentaires sur les déclarations des victimes.


La Presse
17 hours ago
- La Presse
Des républicains critiquent le Canada pour la gestion des incendies de forêt
« Si le Canada ne parvient pas à maîtriser ces incendies, il devra en assumer les conséquences », a déclaré le représentant du Wisconsin, Calvin Callahan, dans un communiqué de presse publié mercredi. Des républicains critiquent le Canada pour la gestion des incendies de forêt (Washington) De plus en plus de législateurs républicains interpellent le Canada en raison des incendies de forêt qui projettent de la fumée au-delà de la frontière internationale, jusque dans leurs États. Kelly Geraldine Malone La Presse Canadienne « Si le Canada ne parvient pas à maîtriser ces incendies, il devra en assumer les conséquences, a déclaré le représentant du Wisconsin, Calvin Callahan, dans un communiqué de presse publié mercredi. Nous ne resterons pas les bras croisés pendant que notre air devient un danger pour la santé. » Calvin Callahan s'est joint à d'autres législateurs républicains de l'Iowa, du Minnesota et du Dakota du Nord pour déposer une plainte officielle contre le Canada auprès de Lee Zeldin, administrateur de l'Agence américaine de protection de l'environnement, et de la Commission mixte internationale, une organisation binationale qui résout les différends relatifs à la qualité de l'eau et de l'air. Les législateurs républicains ont demandé une enquête sur les pratiques canadiennes de gestion des incendies de forêt et des recours potentiels en vertu du droit international. Calvin Callahan rejoint un groupe de politiciens républicains d'autres ordres de gouvernement qui ont exprimé leurs inquiétudes concernant les incendies de forêt au Canada. Le représentant du Michigan, Jack Bergman, a envoyé lundi une lettre au sénateur canadien Michael MacDonald pour réclamer des politiques de gestion forestière plus strictes et une plus grande responsabilisation des responsables canadiens. Tous deux sont membres du Groupe interparlementaire Canada–États-Unis. « Il est essentiel que la gestion des forêts et l'atténuation des incendies de forêt soient traitées comme une priorité bilatérale en matière d'environnement et de santé publique », indique la lettre. Le représentant du Michigan, John James, a envoyé une lettre au premier ministre Mark Carney la semaine dernière, affirmant que ses électeurs s'étouffent sous la fumée toxique des incendies de forêt. Citant une lettre envoyée en juillet par d'autres membres républicains du Congrès à l'ambassadrice du Canada aux États-Unis, Kirsten Hillman, M. James a affirmé que « depuis lors, plutôt que des progrès, nous avons assisté à une escalade ». M. James a indiqué que la déclaration d'un deuxième état d'urgence dans le Manitoba par le premier ministre, Wab Kinew, « a confirmé ce que de nombreux Américains craignaient : que le Canada ne fasse pas assez pour arrêter ces incendies avant qu'ils ne se déclarent ». Le législateur américain a également critiqué les commentaires de M. Kinew en réponse à la lettre initiale. « C'est ce qui détourne les gens de la politique », avait répondu M. Kinew en juillet. « Lorsqu'un groupe de membres du Congrès tente de banaliser et de tirer profit d'une saison des incendies de forêt qui a coûté la vie à notre province, cela n'a pas sa place en politique », avait ajouté le premier ministre. Escalade de tensions Un couple a été tué par un incendie de forêt rapide au nord-est de Winnipeg en mai, et des milliers de personnes ont été évacuées de leurs communautés. Selon M. James, les commentaires du premier ministre Kinew minimisent les effets sanitaires de la fumée des incendies de forêt sur les États voisins. Le républicain a soutenu que la fumée constitue une urgence de santé publique « et qu'elle nuit activement aux relations entre les États-Unis et le Canada ». La pression croissante des républicains survient alors que les relations bilatérales entre les deux pays restent tendues. Le 1er août, le président américain, Donald Trump, a augmenté les droits de douane sur les produits canadiens à 35 %, après qu'un nouvel accord de sécurité et d'économie n'a pas été conclu avant la date limite fixée par le président. Les droits de douane ne s'appliquent pas aux marchandises conformes à l'Accord commercial Canada–États-Unis–Mexique. Le Canada est également touché par les droits de douane imposés par M. Trump sur l'acier, l'aluminium, le cuivre et les automobiles. Ressources naturelles Canada a rappelé en juillet que les incendies de forêt étaient un problème mondial causé par les effets du changement climatique, notamment les sécheresses prolongées. Le président a qualifié les changements climatiques de « canular » et son administration a congédié tous les scientifiques travaillant sur un rapport phare sur le climat. De nombreux républicains évoquent la saison des incendies de forêt de 2023 au Canada, la pire jamais enregistrée. Les incendies qui ont ravagé le pays cette année-là ont envoyé une épaisse fumée aux États-Unis et même au-delà de l'océan Atlantique, jusqu'en Europe du Nord. Les responsables canadiens ont averti que la saison des incendies de forêt de cette année pourrait être la deuxième pire jamais enregistrée. Le Centre interservices des incendies de forêt du Canada, un organisme sans but lucratif détenu et exploité par les organismes fédéraux, provinciaux et territoriaux de gestion des incendies de forêt, a indiqué sur son site web que 744 incendies de forêt actifs brûlaient au Canada mercredi. L'ambassadeur des États-Unis au Canada, Pete Hoekstra, a affirmé mardi que les récents incendies de forêt au Canada constituent un « rappel brutal » des défis communs aux deux pays. Dans une déclaration partagée par l'ambassade des États-Unis, M. Hoekstra a écrit que les États-Unis et le Canada se soutiennent mutuellement depuis longtemps en temps de crise. « Les Canadiens nous ont soutenus lors des tragiques incendies de forêt en Californie plus tôt cette année, et nous sommes déterminés à soutenir le Canada maintenant », a-t-il déclaré. Les incendies de forêt qui ravagent plusieurs États américains, dont la Californie, ont envoyé de la fumée dans les communautés avoisinantes.


La Presse
a day ago
- La Presse
Opération à la suite d'un appel menaçant
L'appel est entré aux environs de 8 h 40, selon le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM). Une opération a eu lieu au palais de justice de Montréal mercredi matin à la suite d'un appel menaçant. Plusieurs personnes se sont massées autour de l'édifice, alors que l'accès y était interdit. L'appel est entré aux environs de 8 h 40, selon le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM). On ignore la nature des menaces proférées. « Présentement, nous sommes en mode validation d'informations. Les constables spéciaux font des vérifications. Le SPVM est sur place en support », avait expliqué l'agente Jeanne Drouin, porte-parole du corps policier. L'agente Drouin avait précisé que le palais de justice n'a pas été évacué, mais qu'il n'était pas impossible d'y entrer, le temps que l'opération suive son cours. Ainsi, des dizaines de personnes se sont retrouvées à l'extérieur autour de l'édifice, alors que des constables spéciaux surveillaient les divers accès.