« La fraude sociale est une trahison » : Catherine Vautrin présente les mesures du futur projet de loi

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Le Figaro

14 hours ago

• Le Figaro

Comment George Soros a perdu un milliard de dollars à cause de Donald Trump

Réservé aux abonnés LES ILLUSIONS PERDUES DE GEORGE SOROS - Le milliardaire et philanthrope a fait fortune dans les hedge funds et connu l'âge d'or de la spéculation financière. Mais la justesse de ses paris s'est érodée à force de spéculer sur ses propres convictions politiques. Dire que George Soros est devenu milliardaire en un seul jour est exagéré... il a suffi de quelques heures. L'histoire économique mondiale se souvient de ce jour-là (c'était un mercredi) comme du «Black Wednesday» de la Banque d'Angleterre, la banque centrale du Royaume-Uni. Le 16 septembre 1992 au soir, la livre sterling avait perdu 15 % de sa valeur du matin. Et les actifs détenus par le Quantum Fund, cofondé par le désormais richissime George Soros, avaient quant à eux gagné 1,1 milliard de dollars de valeur supplémentaire. À 62 ans, cet exilé hongrois qui a appris l'économie à Londres en finançant ses études par des petits boulots (maître-nageur ou vendeur de pacotille) venait de faire tapis, en misant sur la faillite d'une autorité monétaire nationale. Installé à New York dans une petite agence de courtage au mitan des années 1950, Soros s'était peu à peu fait un nom en échangeant des stocks de pétrole puis en misant sur des fusions-acquisitions profitables dans l'industrie. Cette fois, cet autre «loup de Wall Street» a remporté le jackpot et inscrit son nom en lettres dorées dans les manuels de finance - devenant, pour la presse internationale, «The man who broke the Bank of England», l'homme qui a fait sauter la Banque d'Angleterre. À lire aussi Londres planche sur un plan européen concurrent pour financer les achats de défense Sa réussite financière l'a rendu au moins aussi respecté…

Le Figaro

15 hours ago

• Le Figaro

Climatisation : cette technique permet d'économiser jusqu'à 30% sur votre facture

En plein été, le recours récurrent à la climatisation peut peser sur vos finances. Pour réduire au maximum cet impact, il convient de vérifier attentivement les caractéristiques de l'appareil. Un critère peut faire varier nettement la consommation. La canicule est de retour en France, avec de nombreux départements placés sous vigilance. C'est le moment pour beaucoup de particuliers de faire tourner à nouveau leurs dispositifs de climatisation. Un système pratique pour diminuer la température intérieure, mais qui se fait ressentir sur la facture d'électricité. À découvrir 10 astuces pour empêcher les moustiques d'entrer dans la maison cet été Quel est l'impact de la climatisation sur la facture ? Une climatisation ajoute en effet, selon EDF, 15% par mois sur la facture d'électricité, pour une utilisation moyenne de 4 heures par jour. Ce qui n'est pas négligeable, et qui peut même attendre +25% dans certains cas. Parmi les critères faisant varier le coût, notons - au-delà de la durée et de la température choisie - la puissance de l'appareil, sa classe énergétique et la qualité de l'isolation du logement. Publicité Nul doute que vous ayez envie de réduire le montant final de cette facture. C'est pourquoi différents organismes d'intérêt public, tels que l'Ademe (Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie), ont publié des conseils aux particuliers. Sur son site Internet, l'agence rattachée au ministère de la Transition écologique révèle un critère qui permet d'économiser jusqu'à 30% sur sa facture d'électricité. À lire aussi Quels sont les principaux systèmes de climatisation pour votre maison ? Une technique pour réduire la consommation Un nombre croissant de climatiseurs dispose déjà de cette technologie, mais c'est loin d'être le cas pour tous ceux qui sont vendus. L'Ademe révèle : «La technique Inverter est de plus en plus proposée, car elle permet au climatiseur d'adapter sa vitesse en fonction de la température ambiante. Cela évite la succession de démarrages et d'arrêts du compresseur comme avec un climatiseur classique.» Grâce à cette technique, l'économie d'électricité peut aller jusqu'à 30%, mais uniquement si vous disposez d'un climatiseur Inverter de classe A. Plus concrètement, une climatisation classique va fonctionner sur le système «on/off», tandis que celui disposant de cette option régule de lui-même la vitesse et diminue globalement la puissance de 75%. L'Ademe ajoute un argument : «La fluctuation autour de la température programmée peut atteindre +/- 2 °C pour un climatiseur classique, elle est d'environ +/- 0,5 °C pour un climatiseur Inverter, ce qui procure une meilleure sensation de confort.» Il faut néanmoins savoir que ce dispositif entraîne un surcoût de 10 à 20% par rapport aux autres technologies... mais ce surcoût est très facilement amorti à l'usage.

Le Parisien

15 hours ago

• Le Parisien

Peut-on vous refuser un paiement par chèque ?

« Les chèques ne sont pas acceptés ». Voici un panneau que vous avez déjà pu apercevoir à l'entrée d'un restaurant, ou d'une boutique. Si la pratique s'est répandue avec la généralisation du paiement par carte bancaire, est-ce vraiment légal ? On fait le point. « Tous les professionnels peuvent refuser le paiement par chèque dès lors que c'est affiché explicitement dans le magasin, ou indiqué dans les conditions générales de vente pour le commerce à distance », explique Julien Lasalle, directeur adjoint de la Direction des Études et de la surveillance des paiements à la Banque de France. De la même manière, les commerçants peuvent exiger un montant minimum ou maximum si c'est explicitement indiqué et réclamer la présentation d'une pièce d'identité pour accepter le chèque. Sans cette mention, la réglementation ne fixe pas de somme limite. Vous pouvez faire un chèque d'un montant de 1 centime jusqu'à l'infini. Contrairement aux espèces, ce mode de règlement « n'a pas de cours légal. Il n'y a pas d'obligation à l'accepter », précise Julien Lasalle. La même réglementation s'applique aux administrations. À voir aussi L'exception des centres de gestion agréés Cependant, il peut y avoir des subtilités comme pour les entreprises ou les professions libérales, membres de centres ou d'associations de gestion agréés. Ces organismes sont chargés d'apporter une aide technique en termes de gestion et de prévention des difficultés économiques et financières à leurs adhérents.