
Evenepoel, Pogacar, Vingegaard, Vauquelin... L'horaire de départ des principaux concurrents sur le premier contre-la-montre du Tour de France 2025
Caen et ses alentours sont le théâtre de la 5e étape du Tour de France, ce mercredi. Il s'agira d'un contre-la-montre de 33 km sur des routes larges propices aux purs spécialistes. Champion olympique, du monde et de Belgique du contre-la-montre, Remco Evenepoel (Soudal-QuickStep) sera l'immense favori. Deux spécialistes devaient initialement en être mais manqueront à l'appel après avoir abandonné lors de la première étape, l'Italien Filippo Ganna (Ineos Grenadiers) et le Suisse Stefan Bissegger (Decathlon AG2R La Mondiale).
En leur absence, Jonas Vingegaard (Visma-Lease a Bike) et Tadej Pogacar (UAE-Emirates-XRG) seront ses principaux rivaux, le Danois s'étant montré le plus à l'aise dans l'exercice lors du Critérium du Dauphiné (4e étape), 2e à 20'' du Belge. Mathieu Van der Poel (Alpecin-Deceuninck) pourrait aussi décider de le faire à fond pour tenter de conserver son maillot jaune, mais ses chances sont faibles.
Le champion de France Bruno Armirail (Decathlon-AG2R La Mondiale) et son dauphin Kévin Vauquelin (Arkéa-B & B Hotels), 5e du général, seront les principales cartes des Bleus. Côté outsiders, attention à l'Italien Edoardo Affini (Visma-Lease a Bike), l'Américain Matteo Jorgenson (Visma-Lease a Bike) et le Portugais Joao Almeida (UAE-Emirates-XRG).
Hashtags

Essayez nos fonctionnalités IA
Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :
Commentaires
Aucun commentaire pour le moment...
Articles connexes


L'Équipe
an hour ago
- L'Équipe
Du repos pour certains et un besoin de booster la concurrence : vers un quinze des All Blacks remanié pour le troisième test face à la France
Avec la nécessité de faire tourner son effectif, de nouveaux visages sont attendus dans la sélection néo-zélandaise pour l'ultime match de la série face au quinze de France, samedi (9h05, heure française). C'est sans conteste la composition d'équipe la plus compliquée à dresser pour Scott Robertson (il devait la livrer dans la nuit de mercredi à jeudi). Pour ses deux premières feuilles de match, homogènes en termes d'effectif, le sélectionneur des All Blacks avait choisi la constance afin de « peaufiner les automatismes ». Pour le dernier test face au quinze de France, au FMG Stadium samedi (9h05, heure française), il garde sur les épaules l'injonction comminatoire de victoire - « continuer à performer au plus haut niveau et montrer à quel point nous tenons à ce maillot » - mais il ne peut pas occulter qu'une dimension « RH » s'est invitée dans sa fonction de manager : mettre au repos certains, en plonger d'autres dans le bain. D'autant que dans son esprit, cette série de trois matches face aux Bleus n'est pas une fin mais une « mise en jambes » pour les semaines à venir. Besoin de monter en puissance avant les chocs de l'automne Mardi, l'ailier Sevu Reece (28 ans, 33 sélections), bien remis d'une commotion, expliquait que Nic Gill, le directeur de la performance, leur concoctait de lourdes séances de foncier en guise d'investissement à moyen terme. Les All Blacks disputeront 13 matches en 2025, avec deux pics d'intensité : les Springboks à l'Eden Park (le 6 septembre), et la Bledisloe Cup face à l'Australie (le 4 octobre). Le tout avant une tournée d'automne en Europe avec deux chocs : face à l'Irlande à Dublin (le 2 novembre) et l'Angleterre (le 16). « On a besoin de créer de la profondeur », a admis le coach, qui voit d'un bon oeil le retour du centre Anton Lienert-Brown (30 ans, 85 sélections), dont l'habileté balle en main pourrait être associée à la puissance de Quin Tupaea (26 ans, 15 sélections). Luke Jacobson, le numéro 8 des Chiefs (28 ans, 25 sélections), est apte lui aussi, tout comme le pilier Tyrell Lomax (29 ans, 44 sélections). « Il y a de la concurrence à tous les postes et c'est ce que nous recherchons » Scott Robertson, sélectionneur des All Blacks Il ne serait pas étonnant que Beauden Barrett (34 ans, 137 sélections) soit laissé au repos pour titulariser Damian McKenzie (30 ans, 63 sélections) à l'ouverture, et de voir apparaître sur le banc Ruben Love (24 ans, 1 sélection), trois-quarts polyvalent qui pourrait être testé à ce poste que les All Blacks ont besoin d'ensemencer en vue de la Coupe du monde 2027. « Il y a de la concurrence à tous les postes et c'est ce que nous recherchons », a assuré le Robertson, qui souhaite plus d'exigence en fin de match. « Nous avons produit du bon rugby, mais quelques erreurs nous ont mis un peu sous pression. On doit continuer à créer du jeu et être plus pragmatiques en fin de rencontre. »


L'Équipe
an hour ago
- L'Équipe
Rayan Rupert grand artisan de la victoire de Portland face à New Orleans en Summer League
Auteur de 24 points, le Français Rayan Rupert a réussi une rencontre remarquée dans la nuit de mardi à mercredi en Summer League lors de la victoire de son équipe de Portland face à New Orleans (93-87). Ces matches sont là pour ça. Dans la nuit de mardi à mercredi, Rayan Rupert a pu montrer de quoi il était capable. Le Français a en effet crevé l'écran lors de la rencontre de Summer League entre son équipe de Portland et New Orleans. En 28 minutes de jeu, l'arrière a cumulé 24 points, 3 rebonds, 1 passe et 2 interceptions pour permettre à son équipe de s'imposer 93-87. Seul bémol à sa fiche de statistiques, son nombre de fautes puisque le Français en a cumulé 8 (on peut aller jusqu'à 10 en Summer League), ce qui l'aurait sorti du terrain en match de NBA (5 fautes). Néanmoins, Rupert a montré qu'il pouvait rebondir après une rencontre bien compliquée samedi contre Memphis où il n'avait inscrit que trois petits points. Dans la même rencontre, le rookie Yang Hansen a inscrit 15 points alors que l'autre Français des Blazers, Sidy Cissoko a terminé la rencontre avec 4 points et 5 passes.


Le Figaro
an hour ago
- Le Figaro
«Les joueurs s'entraînaient avec la peur au ventre» : pourquoi Dunkerque a vu son «sulfureux» entraîneur partir au bout de trois semaines
Nommé le 20 juin par le club nordiste, l'entraîneur portugais Gonçalo Feio a rapidement claqué la porte. Son management rigide aurait surpris voire effrayé les joueurs. Trois petites semaines et puis s'en va. Successeur désigné de Luis Castro (parti au FC Nantes), l'entraîneur portugais Gonçalo Feio (35 ans), nommé le 20 juin, a claqué la porte de l'USL Dunkerque dimanche dernier suite à une lourde défaite en match amical face à Boulogne (1-5). «Vous m'avez menti», aurait lancé l'ancien coach du Legia Varsovie à son directeur du football, Demba Ba. Et d'ajouter : «Je sors d'une saison de coupe d'Europe, je ne vais pas entraîner à ce niveau-là.» «La décision venait de Gonçalo. Lui considérait que le niveau Ligue 2 ne lui correspondait pas», a réagi le dirigeant Demba Ba, interrogé mardi par La Voix du Nord. Mais au-delà des ambitions sportives, c'est le tempérament du Portugais et son management humain, dit très rigide et toxique, qui ont rapidement entraîné une rupture avec les joueurs. Publicité «Il y avait des choses un peu sulfureuses dans son profil» Demba Ba, pourtant, «savait que par le passé, il y avait des choses un peu sulfureuses dans son profil. Mais je crois au changement. N'importe quel être humain peut évoluer. Mais en discutant un peu avec lui et en interne, c'est vrai qu'il y a vite eu quelques problèmes liés son management et à sa manière de communiquer.» Un témoin travaillant au club a révélé quelques coulisses au quotidien L'Équipe. «Les joueurs avaient l'habitude d'un Luis Castro dans un management bienveillant, très précis dans ses consignes, mais dans une approche presque familiale. Là, c'était l'opposé , a-t-il indiqué. Les joueurs s'entraînaient avec la peur au ventre.» Un climat, pesant et anxiogène, qui n'aura pas duré longtemps au sein du récent 4e de Ligue 2. « Nous étions convaincus que Gonçalo avait la capacité de faire grandir l'équipe. J'ai voulu croire en lui. Cela m'a donné tort», a concédé l'ex-international sénégalais Demba Ba, qui doit désormais trouver un nouvel entraîneur d'ici la reprise du championnat, le 8 août prochain. En attendant, Benjamin Rytlewski a repris les commandes par intérim d'un groupe qui serait «libéré» selon plusieurs témoins.