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Wall Street ouvre sans grand élan

Wall Street ouvre sans grand élan

La Presse18-07-2025
Dans les premiers échanges, le Dow Jones prenait 0,18 %, l'indice NASDAQ gagnait 0,35 % et l'indice élargi S&P 500 avançait de 0,25 %.
(Washington) La Bourse de New York a ouvert en petite hausse vendredi, s'interrogeant sur la direction que pourrait prendre la Réserve fédérale (Fed) quant à ses taux après une salve de données économiques et de nouvelles déclarations d'un responsable de l'institution monétaire.
Agence France-Presse
Dans les premiers échanges, le Dow Jones prenait 0,18 %, l'indice NASDAQ gagnait 0,35 % et l'indice élargi S&P 500 avançait de 0,25 %.
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Trump évoque des chances à « 50-50 » de conclure un accord avec l'UE
Trump évoque des chances à « 50-50 » de conclure un accord avec l'UE

La Presse

time12 hours ago

  • La Presse

Trump évoque des chances à « 50-50 » de conclure un accord avec l'UE

Donald Trump a pris l'Union européenne de court le 12 juillet en brandissant la menace de droits de douane de 30 % sur toutes les importations en provenance de l'UE à compter du 1 er août. Trump évoque des chances à « 50-50 » de conclure un accord avec l'UE (Washington) Donald Trump a affirmé vendredi que la probabilité que les États-Unis concluent un accord commercial avec l'Union européenne était de « 50-50 », alors qu'approche la date butoir du 1er août et la menace de droits de douane américains de 30 % sur les importations européennes. Agence France-Presse « Je dirais que nous avons des chances à 50-50 – peut-être moins que ça – mais des chances à 50-50 de conclure un accord avec l'UE », a déclaré le président américain à des journalistes à son départ de Washington pour un voyage en Écosse. « Nous travaillons de manière très assidue avec l'Europe, avec l'UE », a-t-il déclaré. La veille il avait pourtant assuré : « Nous sommes en voie de faire probablement, un très bon 'deal' avec eux. » « Ils veulent vraiment trouver un accord », avait ajouté le président américain, qui a entamé un virage protectionniste depuis son retour à la Maison-Blanche. Un porte-parole de la Commission européenne avait aussi affirmé qu'un accord était à « portée de main ». Donald Trump avait pris l'Union européenne de court le 12 juillet en brandissant la menace de droits de douane de 30 % sur toutes les importations en provenance de l'UE à compter du 1er août. Des négociations ont eu lieu depuis, avec de multiples rebondissements, pour éviter ces mesures qui plongeraient ces deux géants de l'économie mondiale dans un litige commercial à l'impact conséquent. « Ébauche d'un accord » avec Pékin Avant son départ pour l'Écosse, Donald Trump a également évoqué les négociations avec d'autres partenaires commerciaux importants. « Nous avons l'ébauche d'un accord avec la Chine », a-t-il ainsi assuré. Des représentants des gouvernements chinois et américain se rencontreront la semaine prochaine à Stockholm, pour un troisième cycle de discussions sur les droits de douane, alors que le secrétaire américain au Trésor Scott Bessent – qui se rendra dans la capitale suédoise pour la réunion – a souligné mardi que la pause négociée avec Pékin prendrait fin le 12 août. Donald Trump s'est cependant montré plus dur avec le Canada, voisin du nord des États-Unis, partenaire commercial et allié majeur de Washington. « Nous n'avons pas eu beaucoup de chance jusque-là avec le Canada. Je pense que le Canada pourrait être un de ces pays qui devra juste payer les droits de douane », a-t-il déclaré, déplorant que les discussions avec Ottawa n'étaient « pas vraiment des négociations ». Le Canada encourt 35 % de surtaxe en cas d'absence d'accord commercial avec Washington avant le 1er août. « Nous n'avons pas d'accord avec le Canada. Nous ne nous sommes pas vraiment concentrés dessus », a affirmé le président américain.

Infidélité à un spectacle de Coldplay
Infidélité à un spectacle de Coldplay

La Presse

time4 days ago

  • La Presse

Infidélité à un spectacle de Coldplay

Les romances au bureau suscitent la fascination, surtout quand elles sont extraconjugales et filmées en direct. Est-ce que l'adultère consentant d'un président et d'une vice-présidente des ressources humaines filmés à un spectacle de Coldplay doit absolument être puni ? Jusqu'à coûter son emploi au grand patron ? Des spécialistes se prononcent. La responsabilité accrue d'un PDG Tous les gérants d'estrade ont leur opinion sur l'intelligence stratégique de l'ex-PDG d'Astronomer Andy Byron et le niveau de jugement de la vice-présidente des ressources humaines Kristin Cabot, qui doit faire respecter les politiques d'entreprise, notamment celles au sujet de l'amour au bureau. Alors qu'ils assistaient au spectacle de Coldplay au Gillette Stadium à Boston, le 16 juillet, la foule – puis le monde entier – a vu M. Byron enlaçant Mme Cabot. Plutôt que de rester impassible en se voyant sur grand écran, la vice-présidente s'est vite caché le visage et le PDG a quitté le cadre. Un comportement louche, qui a enflammé les réseaux sociaux. Selon les experts en gouvernance et en ressources humaines consultés par La Presse, la démission du PDG pris en flagrant délit d'adultère avec sa subalterne était inévitable. Même de vraies excuses publiques – une fausse lettre a circulé sur les réseaux sociaux – n'auraient servi à rien. « Le fait que ce soit un PDG, il a une responsabilité encore plus grande de respecter les règles de l'entreprise et de montrer l'exemple », affirme Sylvie St-Onge, chercheuse à CIRANO et professeure titulaire au département de management à HEC Montréal. « Aux États-Unis, c'est mal perçu d'avoir une relation avec un subordonné », poursuit-elle. C'est ce qu'a indiqué entre les lignes l'entreprise sur LinkedIn en annonçant la démission de son PDG. « On s'attend à ce que nos dirigeants établissent la norme en matière de conduite et de reddition de comptes, et récemment, cette norme n'a pas été respectée », a écrit Astronomer. « Le PDG avait sans doute peu d'options réalistes s'il souhaitait éviter d'entraîner l'entreprise dans une crise prolongée », soutient de son côté Amélie Dubois, consultante en ressources humaines, qui souligne que dans les circonstances, la démission peut être vue comme un geste de responsabilité. Des comptes à rendre, adultère ou non S'ils avaient tous deux été célibataires, ils auraient eu des comptes à rendre tout de même. Certaines entreprises au Canada et aux États-Unis ont des politiques claires au sujet des relations amoureuses au bureau alors que d'autres se contentent de règles informelles, mais les amoureux doivent déclarer leur liaison. Les entreprises sont plus prudentes lorsqu'un supérieur hiérarchique ou un professionnel en relation d'aide est impliqué. Car au-delà de l'abus d'autorité du PDG, qui a un pouvoir sur la rémunération et l'évaluation du rendement de sa vice-présidente des ressources humaines, il y a aussi le climat de travail teinté de favoritisme – réel ou pas – qui est à risque, de même que les dossiers confidentiels discutés sur l'oreiller. L'apparence de conflit d'intérêts est flagrante. « À des niveaux inférieurs, lorsqu'il y a une situation d'autorité, on va transférer l'un des membres en romance dans un autre département. Mais c'est quasiment impossible au niveau de la direction », soutient Sylvie St-Onge. Annie Boilard, présidente du Réseau Annie RH, est d'avis que si l'histoire s'était déroulée au Québec, le PDG aurait pu poser des actions avant l'épisode au spectacle de Coldplay pour éviter d'avoir à démissionner. « Il aurait pu dévoiler sa relation à une personne en autorité, comme au conseil d'administration, explique Annie Boilard. Impliquer une tierce personne pour évaluer la performance et gérer les aspects de la rémunération de la responsable des RH. Il aurait pu aussi s'engager à respecter les politiques de l'entreprise, notamment pour la prévention du harcèlement, et respecter son obligation de loyauté envers l'employeur afin de préserver la réputation et l'image de l'entreprise. » La vice-présidente des RH doit-elle démissionner ? La vice-présidente des RH était toujours en poste au moment où ces lignes étaient écrites. Haute responsable de l'éthique organisationnelle et du climat de travail, elle n'est pas obligée de quitter l'entreprise, mais comme elle a entravé ses propres politiques, sa crédibilité risque d'être au point mort. Pourra-t-elle la réanimer ? « Même si la romance ne sera plus au sein de l'entreprise, va-t-elle encore pouvoir assumer son rôle vis-à-vis le personnel, ses collègues, la direction et le nouveau président ?, demande Sylvie St-Onge. C'est une situation quasi impossible pour elle d'oublier tout ça et d'appliquer une politique sur la romance au bureau. » « Ce n'est pas nécessairement la relation elle-même qui pose un problème, mais bien le contexte, les fonctions occupées, et la perte potentielle de confiance », soutient Amélie Dubois, consultante en ressources humaines. Le C.A. doit jouer son rôle Le conseil d'administration ne peut pas rester les bras croisés dans une crise de la sorte, affirme Alexandra Langelier, vice-présidente exécutive de l'Institut sur la gouvernance d'organisations privées et publiques (IGOPP). Les membres doivent se rencontrer rapidement, explique-t-elle, et afficher publiquement les actions qui sont mises en place. « Le C.A. doit montrer rapidement qu'il est conscient de l'enjeu de réputation pour l'entreprise, voire de sa pérennité. « Ça peut même être dangereux pour l'entreprise, parce qu'il y a beaucoup de réactions en ce moment, il y a des moqueries, de la frustration, les employés réagissent, il en va vraiment de la réputation de l'entreprise. » Dans son rôle habituel, le C.A. doit s'assurer qu'il y ait des politiques qui encadrent les relations intimes, amoureuses ou de proximité entre différents employés ou dans une situation de hiérarchie et un plan d'action précis, explique-t-elle. « Le C.A. ne fait pas de passe-droit même s'il s'agit du PDG et de la vice-présidente des ressources humaines. »

Le gouvernement maintient la pression sur la Fed
Le gouvernement maintient la pression sur la Fed

La Presse

time5 days ago

  • La Presse

Le gouvernement maintient la pression sur la Fed

(Washington) Le gouvernement américain a maintenu lundi la pression sur la Réserve fédérale (Fed) et son président, Jerome Powell, le secrétaire au Trésor Scott Bessent estimant qu'il était nécessaire de s'assurer que l'institution « a été efficace ». Agence France-Presse « Je pense que ce que nous devons faire, c'est examiner l'institution Fed dans son ensemble et nous assurer qu'elle a été efficace », a déclaré M. Bessent sur CNBC, « ce que nous devons nous demander c'est : est-ce que l'organisation a réussi à mener sa mission ? » Comparant la Fed à d'autres agences gouvernementales, notamment la FAA, l'agence responsable de la sécurité aérienne, Scott Bessent a estimé que « si une autre agence avait fait autant d'erreurs, nous nous demanderions tous ce qui se passe ». La banque centrale américaine, dont la prochaine réunion est prévue les 29 et 30 juillet, et particulièrement son patron, Jerome Powell, sont la cible d'attaques régulières du président américain, Donald Trump, qui l'accuse de ne pas agir suffisamment et trop tard, le surnommant d'ailleurs « Trop Tard » Powell. Selon Donald Trump, la Fed devrait avoir abaissé ses taux de trois points de pourcentage d'ores et déjà, afin de soutenir l'économie américaine, estimant qu'un tel mouvement permettrait d'économiser « 1000 milliards de dollars » en intérêts sur la dette publique, sans préciser sur quelle période. Mais la Fed a jusqu'ici résisté, soutenant que l'inflation, qui avait fortement augmenté après la pandémie de COVID-19, n'était toujours pas revenue à son objectif de 2 % sur le long terme, prévu par son mandat, et que les droits de douane voulus par M. Trump avaient au contraire tiré de nouveau les prix vers le haut. L'indice CPI, sur lequel sont indexées les retraites des Américains, est en effet remonté à 2,7 % sur un an au mois de juin, contre 2,4 % en mai. La Fed préfère se baser sur l'indice PCE pour sa politique monétaire, dont la composition est sensiblement différente. Il sera publié le 31 juillet. Donald Trump a menacé la semaine dernière de licencier Jerome Powell, avant de sembler finalement y renoncer. Selon le quotidien Wall Street Journal, ce recul serait intervenu après une conversation avec M. Bessent, qui a cherché à dissuader le président américain, une information démentie lundi par le secrétaire au Trésor sur CNBC.

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