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Un millier de logements d'ici dix ans dans le Val-de-Marne : la RATP cherche à rapprocher les agents de leur lieu de travail

Un millier de logements d'ici dix ans dans le Val-de-Marne : la RATP cherche à rapprocher les agents de leur lieu de travail

Le Parisien18 hours ago
Le sourire se veut sincère. La poignée de main franche. « C'est l'une des plus belles conventions que l'on a signées », se félicite
Jean Castex, le patron de la RATP
. L'ancien Premier ministre a acté ce vendredi avec la ville de
Fontenay-sous-Bois
(Val-de-Marne) et la société publique locale (SPL) Marne-au-Bois un protocole pour la construction de 500 logements, réservés aux agents de la régie publique.
« La RATP va devenir l'un des bailleurs importants de la commune », se réjouit Jean-Philippe Gautrais (NFP), le maire de cette commune où 2 835 employés travaillent dans des ateliers de maintenances et autour de l'ingénierie. « C'est un parcours du combattant pour mettre ces projets en route, rappelle Jean Castex qui s'est félicité de la rapidité de la mise en place de ce projet. En un peu moins d'un an ! »
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«Je ne suis pas indispensable à ce débat» : qui est Éléonore Pattery, l'étudiante à l'origine de la pétition contre la loi Duplomb ?
«Je ne suis pas indispensable à ce débat» : qui est Éléonore Pattery, l'étudiante à l'origine de la pétition contre la loi Duplomb ?

Le Figaro

time35 minutes ago

  • Le Figaro

«Je ne suis pas indispensable à ce débat» : qui est Éléonore Pattery, l'étudiante à l'origine de la pétition contre la loi Duplomb ?

La jeune Française de 23 ans ne souhaite pas répondre aux sollicitations médiatiques, estimant que «les voix qui s'élèvent partout dans le pays» contre la réintroduction sous condition d'un pesticide la représentent «déjà très bien». La jeune plume à l'origine de la pétition contre la loi Duplomb, qui a franchi dimanche la barre du million de signatures sur le site de l'Assemblée nationale, préfère rester discrète. Du moins, pour le moment. Éléonore Pattery, 23 ans, a fait savoir dans un post épinglé sur son profil LinkedIn qu'elle ne souhaitait pas «communiquer publiquement pour l'instant», estimant sur le réseau social que «les voix qui s'élèvent partout dans le pays (la) représentent déjà très bien». Se doutait-elle que son initiative prendrait une telle ampleur ? Depuis qu'elle a déposé sur le site parlementaire cet appel à signatures le 10 juillet, deux jours après l'adoption du texte du sénateur Les Républicains (LR) Laurent Duplomb qui autorise la réintroduction sous condition d'un pesticide interdit en France mais autorisé ailleurs en Europe, celui-ci a été abondamment relayé sur les réseaux sociaux. Publicité Il a aussi été partagé par des personnalités politiques telles que l'eurodéputée LFI Manon Aubry et l'ancien premier ministre Dominique de Villepin. Résultat, ses signataires ont bondi de manière exponentielle. Quelque 500.000 personnes supplémentaires l'ont signé en 24 heures entre samedi et dimanche. À lire aussi «Des bâtons dans les roues», du «mieux être» : chez les vignerons, la loi Duplomb entraîne des divisions Un nouveau Master dans l'environnement Sous une photo d'elle les bras croisés et le sourire timide, la jeune femme affiche sur son profil LinkedIn un parcours universitaire encore en cours. Après avoir achevé une alternance comme apprenti manageur à la SNCF en août 2024 - effectuée dans le cadre d'un Master en management des risques au Conservatoire national des arts et métiers à Bordeaux - elle dit avoir rejoint aujourd'hui un Master Qualité, Sécurité, Environnement et Responsabilité Sociétale des Entreprises. Un troisième diplôme donc, en plus d'une licence à l'IUT de Bordeaux, qui témoigne d'un engagement particulier pour les questions environnementales. La légende sous sa photo de profil LinkedIn en témoigne également : «Concilions ensemble, préservation de la nature et industrialisation pour un développement humain durable, a-t-elle écrit. Son initiative citoyenne connaît un succès encore jamais vu. Il est possible de déposer des pétitions sur le site du Palais Bourbon depuis 2019 mais une seule, contre la Brav-M, brigade de policiers motorisés de répression de l'action violente, avait jusqu'ici recueilli 260.000 signatures, très loin de celle-ci. La loi ne sera pas réexaminée sur le fond Malgré ce succès inédit, Éléonore Pattery insiste pour rester discrète. Elle demande ainsi aux médias, «quel que soit leur format», de ne pas contacter sa famille, ses «ami·es», proches et collègues, mais les invite plutôt à recueillir la parole des scientifiques, ONG, juristes ou encore de simples signataires. «Je ne suis pas indispensable à ce débat : l'opinion publique, les voix qui s'élèvent partout dans le pays, et par-delà, me représentent déjà très bien», écrit-elle. À partir du seuil des 500.000 signatures, et à condition qu'elles soient issues d'au moins 30 départements ou collectivités d'outre-mer, la Conférence des présidents de l'Assemblée nationale peut décider d'organiser un débat en séance publique. Mais la loi ne sera pas réexaminée sur le fond et encore moins abrogée. La présidente de l'Assemblée Yaël Braun-Pivet s'est dite dimanche sur franceinfo «favorable» à cette hypothèse. Mais, ce débat «ne pourra en aucun cas revenir sur la loi votée» qui va, selon elle, «sauver un certain nombre de nos agriculteurs».

Nucléaire iranien : les discussions entre Téhéran et Européens vont reprendre vendredi
Nucléaire iranien : les discussions entre Téhéran et Européens vont reprendre vendredi

Le Parisien

timean hour ago

  • Le Parisien

Nucléaire iranien : les discussions entre Téhéran et Européens vont reprendre vendredi

La diplomatie fait son retour dans le dossier . Un mois après la guerre de 12 jours qui l'a opposé à Israël et aux États-Unis , l'Iran va tenir de nouvelles discussions sur son programme nucléaire avec l'Allemagne, la France et le Royaume-Uni à Istanbul vendredi. « En réponse à la demande des pays européens, l'Iran a accepté de tenir une nouvelle séance de pourparlers », a déclaré le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères Esmaïl Baghaï, cité lundi par la télévision d'État. « L'Iran a montré qu'il était capable de faire échec (aux attaques) mais a toujours été prêt à une diplomatie réelle, réciproque et de bonne foi », a écrit dimanche sur X le ministre iranien des Affaires étrangères, Abbas Araghchi. Une source diplomatique allemande avait indiqué plus tôt que Berlin, Paris et Londres continuaient « de travailler intensivement (…) pour trouver une solution diplomatique durable et vérifiable au programme nucléaire iranien » et prévoyaient une réunion dans la semaine. L'Iran est soupçonné par les pays occidentaux et par Israël de vouloir se doter de la bombe atomique, ce qu'il dément en soulignant son droit à poursuivre un programme nucléaire à des fins civiles. Le 13 juin, Israël avait lancé une attaque surprise en bombardant l'Iran et en tuant ses principaux responsables militaires et des scientifiques liés à son programme nucléaire. Les États-Unis se sont joints à l'offensive de leur allié israélien en frappant trois sites nucléaires dans la nuit du 21 au 22 juin. Depuis ces frappes ordonnées par le président américain Donald Trump, les discussions étaient suspendues. La dernière réunion entre représentants des E3 (Allemagne, France, Royaume-Uni) et de l'Iran s'était tenue à Genève le 21 juin, quelques heures avant les bombardements américains. Parallèlement, le président russe Vladimir Poutine a reçu dimanche au Kremlin Ali Larijani, proche conseiller du guide suprême iranien Ali Khamenei, pour évoquer le dossier nucléaire. Le représentant iranien « a transmis des évaluations de la situation qui s'aggrave au Moyen-Orient et concernant le programme nucléaire iranien », a déclaré le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov. Le chef du Kremlin, de son côté, a exprimé les « positions bien connues de la Russie sur la manière de stabiliser la situation dans la région et sur le règlement politique du programme nucléaire iranien », a-t-il ajouté. Cette rencontre à Moscou n'avait pas été annoncée au préalable. La Russie entretient de bonnes relations avec l'Iran, considéré comme son principal allié au Moyen-Orient, mais n'a pas soutenu avec force Téhéran lors de sa récente guerre avec Israël, ni après les frappes américaines sur des sites nucléaires. La semaine dernière, Moscou a fustigé un article du média américain Axios selon lequel Poutine aurait « encouragé » l'Iran à accepter un accord avec Washington qui empêcherait Téhéran d'enrichir de l'uranium. L'Iran, plusieurs puissances occidentales, la Chine et la Russie avaient trouvé en 2015 un accord qui prévoyait l'instauration de restrictions importantes au programme nucléaire iranien en échange de la levée de sanctions visant le pays. Mais les États-Unis étaient sortis en 2018 de cet accord longuement négocié, lors du premier mandat de Donald Trump qui avait réimposé des sanctions. Téhéran et Washington avaient tenu plusieurs séries de négociations sur le nucléaire par l'intermédiaire de médiateurs omanais avant qu'Israël ne lance sa guerre de 12 jours contre l'Iran. Récemment, des pays européens ont pour leur part menacé de déclencher le mécanisme de « snap-back » inscrit dans l'accord de 2015 et qui prévoit d'imposer des sanctions si l'Iran manque à ses engagements.

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