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L'Australienne poursuivie pour avoir servi des champignons vénéneux connaît son verdict

L'Australienne poursuivie pour avoir servi des champignons vénéneux connaît son verdict

INTERNATIONAL - Une décision nette. L'Australienne Erin Patterson, qui avait été jugée au printemps dernier pour avoir servi des champignons vénéneux à la famille de son ex-conjoint, a été jugée coupable de triple meurtre et de tentative de meurtre ce lundi 7 juillet par le tribunal de Morwell, dans l'État de Victoria.
En juillet 2023, Erin Patterson avait convié les parents de son ancien compagnon, ainsi que sa tante et son oncle. Seul ce dernier a survécu à la dégustation du bœuf Wellington aux amanites phalloïdes. Son époux dont elle était séparée avait décliné l'invitation.
Pendant son procès de plus de deux mois, l'accusée a maintenu que l'empoisonnement était accidentel. Sans convaincre les jurés qui se sont accordés sur cette condamnation au terme de sept jours de délibération. La peine à laquelle elle sera condamnée n'est pas encore connue.
Lors de l'audience, l'unique survivant de ce déjeuner avait livré un récit accablant. D'après le récit du pasteur Ian Wilkinson, Erin Patterson avait pris soin de différencier son assiette, « beige orangée », de celles de ses convives qui étaient grises. « Erin a pris une assiette au bout de la table et l'a amenée à sa place », avait-il raconté à la barre. Avant son décès à l'hôpital, la femme du pasteur lui fait savoir qu'elle avait « remarqué la différence de couleur ».
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Le gouvernement australien doit présenter son plan pour la décarbonation de son économie, qui repose encore largement sur l'exploitation minière et le charbon. Le chef de l'ONU Climat, Simon Stiell, a exhorté lundi l'Australie à adopter des mesures plus ambitieuses en matière de climat, déclarant que le pays était confronté à un «moment décisif». Canberra doit publier ses objectifs d'émissions en septembre, dans le cadre de l'Accord de Paris sur le climat. Le gouvernement australien doit aussi présenter son plan pour la décarbonation de son économie, qui repose encore largement sur l'exploitation minière et le charbon. Publicité «Le moment est venu de soutenir un plan climatique qui ne se contente pas d'inscrire cette vision en politique, mais qui se traduit par des résultats concrets pour votre peuple», a déclaré M. Stiell, dans un discours prononcé à Sydney. «Il ne s'agit pas seulement (d'un) prochain jalon politique, mais d'un moment décisif», a-t-il ajouté. La COP 2026 L'Australie s'est déjà engagée à réduire ses émissions de gaz à effet de serre de 43% avant la fin de la décennie, et à atteindre l'objectif zéro émission nette d'ici à 2050. Le pays investit dans le solaire ou encore l'éolien, cherchant à devenir ainsi une superpuissance dans le domaine des énergies renouvelables. Il reste néanmoins l'un des plus grands exportateurs de charbon au monde, et continue de subventionner largement les secteurs des combustibles fossiles. Canberra s'est portée candidate à l'organisation de la COP en 2026, aux côtés de plusieurs voisins insulaires du Pacifique menacés par l'élévation du niveau de la mer. Le président de l'Autorité australienne sur le changement climatique, Matt Kean, a déclaré que le pays avait une «chance inouïe de faire une différence positive». «Les enjeux ne pourraient être plus élevés, mais nous avons relevé des défis majeurs par le passé et nous pouvons le faire à nouveau si nous restons lucides et inébranlables.»

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La Fédération française de kayak se bat en justice contre des propriétaires privés qui, à l'instar de la famille Balkany sur l'Epte, bloquent l'accès aux fleuves aux pratiquants de canoë. Adieu la soif de liberté et d'aventure... C'est un drôle d'oiseau qui navigue sur les eaux. T-shirt élimé, slip de bain bleu sur son kayak jaune et rouge, Pascal Vallet, qui aurait l'âge de partir à la retraite, a le verbe et la tirade faciles. Cet ancien banquier reconverti, volontiers réfractaire à l'autorité, a investi les bords de l'Eure au début des années 2000, sans toutes les autorisations ni déclarations nécessaires, ce qui lui a valu quelques ennuis administratifs et judiciaires, qu'il dit aujourd'hui avoir réglés. Sa base est magnifique : deux hectares paisibles le long du fleuve, au nord de Dreux (Eure-et-Loir). L'aventure à une heure trente de Paris, de la navigation en amont et en aval, guidée par les libellules rasant l'eau et le flot tranquille de l'Eure. La balade serait celle de Philibert Humm, dans son drôlissime Roman fleuve, un livre dans lequel l'écrivain et journaliste raconte son périple sur la Seine, avec deux amis, à bord d'un mauvais rafiot à rame et à voile, de Paris à la mer. Sauf que l'éden de Pascal Vallet s'est soudain transformé en guerre ouverte, à l'été 2021, lorsque le propriétaire d'un moulin, deux kilomètres en amont, a fermé ses berges à coups de barbelés et de palettes. Adieu la soif de liberté... Pascal Vallet a d'abord rouspété, cherché en vain un terrain d'entente avec François Lévy, un des propriétaires du moulin des Osmeaux, au coeur de la Beauce, qui fournit en farine des centaines de boulangeries, avant de se brouiller définitivement avec lui et de tenter de retirer lui-même le barrage sur la berge. Les échanges ont ensuite dérapé, l'exploitant de base de kayak exigeant le retrait des barbelés, promettant au patron du moulin la loi du Talion, et lui reprochant par écrit d'être un « adepte de Stalingrad ». Une plainte s'est ensuivie pour violation de propriété privée et divers délits, « Monsieur Levy relev [ant] le côté antisémite de l'allusion alors que Monsieur Vallet déclare que son association s'appelle canoé pour tous et qu'il n'y a aucune arrière-pensée » , explique à L'Équipe le procureur de la République de Chartres, Frédéric Chevallier. L'histoire n'est pas allée bien loin : Pascal Vallet a reçu « une convocation devant le délégué du procureur pour une mesure alternative aux poursuites (médiation pénale) pour les faits de dégradations contraventionnelles » , poursuit le magistrat. L'affaire a en revanche pris un autre tour devant le tribunal administratif, lorsque la Fédération française de canoë-kayak et de sports de pagaie (FFCK) a décidé de prendre les choses en main, craignant que « l'affaire du moulin des Osmeaux », comme il convient de l'appeler, ne fasse jurisprudence... Car des contentieux, comme ceux-là, il y en a 5 ou 10 par an en France, ce qui n'est pas négligeable. Antoine Dubost, chargé à la Fédération des thématiques de l'accès à l'eau et de la protection des milieux aquatiques, explique : « On travaille sur la libre circulation qui découle quand même d'une liberté constitutionnelle. L'eau est un bien commun, il y a des droits d'usage, mais jamais de propriété. On examine ces questions-là depuis plus de soixante ans. » « L'eau est un bien commun, il y a des droits d'usage, mais jamais de propriété » Antoine Dubost, salarié de la fédération française de kayak La loi de 1992 a régi les activités nautiques, puis, après elle, la loi sur l'eau et les milieux aquatiques (LEMA) de 2006 a renforcé les dispositions existantes. Mais les questions sont souvent complexes : il faut ménager la faune et la flore, les pêcheurs, les barrages hydroélectriques des moulins, les agriculteurs qui ferment parfois les accès pour empêcher leurs bêtes de prendre le large, les propriétaires privés ou tenanciers d'auberges qui peuvent posséder les berges mais pas le fleuve, et qui ne voient pas toujours d'un bon oeil un défilé d'embarcations - même sans moteurs - devant chez eux. La législation prévoit tout un tas de mesures : il faut soit donner un accès aux berges pour permettre un portage, soit prévoir dans les ouvrages des passes à bateaux. Comme sur le littoral, où les propriétaires ont en théorie l'obligation de ménager un passage lorsque leur jardin borde l'eau. Sur l'Epte, le somptueux moulin de Cossy, demeure des Balkany, barre l'accès à la Seine Le plus souvent, les conflits se résolvent en bonne intelligence, mais pas partout. Sur l'Epte, qui se déverse dans la Seine, certains obstacles semblent insurmontables. Depuis la guinguette de Giverny (Eure), où l'on mange agréablement une salade de saison au pied d'un petit canal qui se déverse dans les jardins de Monet, l'horizon se referme sur les herbes hautes d'un champ. L'atmosphère y est celui du film de Bruno Podalydès, Comme un avion, qui narre l'histoire d'un cadre désabusé et nostalgique de sa jeunesse, partant flâner en kayak pour oublier le rythme de la ville. Mais ici, impossible de rejoindre la Seine par cet affluent : le somptueux moulin de Cossy, demeure de la famille Balkany à Giverny, barre le chemin (Patrick et Isabelle Balkany ont perdu l'usufruit de leur moulin sur décision de la Cour de cassation). Et gare à ceux qui voudraient s'y aventurer ! Il y a quelques années, des représentants de la Fédération ont audité la navigabilité de l'Epte : le gardien des Balkany les a chassés du domaine et les a priés de faire demi-tour. Il y a aussi ces propriétaires d'ouvrages hydrauliques qui ne veulent pas de panneau devant leur résidence pour des raisons esthétiques, alors même que les passes peuvent être dangereuses. Ou ces maires qui, craignant les « conflits d'usage », préfèrent limiter drastiquement les canoës sur le fleuve. « Il faut aussi comprendre les propriétaires, explique Christophe, le patron de Rando'Epte. Ils achètent une maison au bord de l'eau, sont tranquilles, en maillot de bain, et voient passer des gens en kayak. Ils achètent sans être au courant des lois (...) C'est à nous aussi de veiller à ce que les kayaks n'embarquent pas partout. » « Quand on est passionnés, on voudrait que tous les fleuves, la moindre rivière soient praticables en canoë » Julien Gaspard, ancien responsable du site de kayak des JO de Paris, à Vaires-sur-Marne « Quand on est passionnés, on voudrait que tous les fleuves, la moindre rivière soient praticables en canoë. Mais parfois, ça peut abîmer l'endroit. Cela arrive de faire face à des propriétaires bornés. Il faut comprendre que tout le monde a besoin de l'eau. On trouve des compromis grâce au dialogue » , explique Julien Gaspard, ancien salarié de la Fédération de kayak, responsable de l'aménagement du site de Vaires-sur-Marne (Seine-et-Marne) pendant les JO et aujourd'hui expatrié au Québec, le paradis des pagayeurs. Ailleurs, en France, certains litiges s'enlisent. Les propriétaires du moulin de Grenier, sur la Dronne, en Dordogne, sont en conflit avec le département et le syndicat des loueurs d'embarcation depuis... 15 ans. Après de multiples décisions rendues par des tribunaux et deux arrêts de cassation, la situation n'a guère évolué. Le propriétaire a fermé ses berges et argue du trop faible tirant d'eau en été (environ 10 cm) pour que des céistes puissent passer sans faire de dégâts. La Cour de cassation lui a donné raison en 2022. « On n'a jamais plus de 10 cm d'eau en été. Quand il y a plus, c'est de fin octobre à fin mars. Autrement dit, l'hiver, quand la Dronne n'est pas navigable » , s'était plaint dans Sud Ouest Richard Azéma, ex-exploitant de la base de canoë de Brantôme. Craignant que cet arrêt ne fasse jurisprudence sur d'autres cours d'eau, la FFCK s'est intéressée au dossier et a mis ses juristes sur le coup. Constats d'huissier à l'appui, les plaignants ont saisi la justice administrative, reprochant au moulin de créer les conditions de l'assèchement en laissant volontairement ses vannes ouvertes et en ayant modifié le barrage et sa chute, afin d'absorber plus d'eau que la loi ne l'y autorise. La cour d'appel de Bordeaux, en novembre 2024, a imposé au pharmacien propriétaire du moulin de mettre son ouvrage aux normes. « Les travaux n'ont pas encore eu lieu, assure Damien Mareau, le nouveau gestionnaire de la base de Brantôme. Mais nous refaisons passer nos clients sur le barrage. Je limite le nombre de bateaux pour ne pas que ce soit la foire en bas et pour éviter les nuisances au niveau des propriétaires. » Dans les Pyrénées-Atlantiques, 40 ans de procédure contre un barrage électrique Ailleurs, dans les Pyrénées-Atlantiques, des associations et des particuliers ferraillaient depuis... 40 ans contre les exploitants de la centrale hydroélectrique d'Auterrive située sur le gave d'Oloron. L'ex-président du club de canoë d'Orthez a tout essayé devant les tribunaux et en 2021, la justice a fini par annuler l'arrêté qui autorisait la centrale à prélever 17,8m³ d'eau par seconde dans le gave d'Oloron. En 2023, après avoir organisé une consultation publique, la préfecture a à nouveau autorisé l'activité, sous réserve de procéder à certains aménagements. Retour sur l'Eure, aux côtés de Pascal Vallet, le loueur de canoës. Après une petite demi-heure de rame, le moulin se dessine, grand bâtiment imposant sur l'Eure et à ses pieds, son barrage. Impossible de le contourner, la végétation a envahi les berges, barrées par des palettes. Le 6 mai dernier, pourtant soutenu par la Fédération de kayak, Pascal Vallet a échoué à obtenir, devant le tribunal administratif, un droit de passage. Selon le jugement, le moulin des Osmeaux est exploité en vertu d'une ordonnance royale datant de 1848. Alors que les céistes pouvaient jusqu'à il y a peu naviguer et emprunter les berges pour contourner le barrage, les propriétaires du moulin ont décidé d'interdire une première fois l'accès en 2009, en raison de détériorations alléguées sur leur propriété privée et de déchets (des cadavres de bière principalement) non jetés. Pendant toute la décennie 2010, et malgré cette interdiction de passer édictée par les propriétaires du moulin, les kayakistes seront tout de même tolérés jusqu'à ce que des jeunes décident de sauter dans l'eau depuis le mur du vannage, une pratique très dangereuse. En 2021, François Levy, le propriétaire, a donc décidé de fermer totalement l'accès. Alors que la fédération pointait du doigt la dangerosité du site, en l'absence de signalisation, les magistrats se sont rangés à l'avis de la préfecture, selon laquelle elle n'avait pas à ordonner au patron du moulin « de permettre aux usagers du cours d'eau de traverser ses propriétés afin qu'ils puissent contourner l'ouvrage de vannage ». Interrogée, la préfecture n'a pas souhaité répondre à nos questions quant à ce litige. Contacté, François Lévy affirme quant à lui ne pas avoir de problème avec les pratiquants de canoë-kayak, mais en avoir un avec Pascal Vallet, un « monsieur qui se permettait de venir chez [lui] et de tout détériorer ». La Fédération française de canoë-kayak craint aujourd'hui que le jugement du tribunal administratif d'Orléans ne fasse tache d'huile et représente un danger pour le principe de libre navigation des engins non motorisés sur les fleuves français. Afin de jauger par lui-même de la nécessité ou non de faire appel, un représentant de la fédération s'est déplacé tout début juillet, et a constaté un ouvrage « hyperdangereux » avec absence de signalisation, ce qui constitue un « facteur aggravant » , assure-t-il. À peine avait-il posé les pieds sur la berge, pour mieux examiner le barrage, que les gendarmes sont venus à sa rencontre. Le propriétaire du moulin venait de les appeler pour, leur a-t-il dit, une violation de sa propriété.

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