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Meta bondit en Bourse avec 18,34 milliards de dollars de profits au deuxième trimestre

Meta bondit en Bourse avec 18,34 milliards de dollars de profits au deuxième trimestre

Le Figaro2 days ago
L'action de l'empire des réseaux sociaux, qui investit des dizaines de milliards de dollars dans l'intelligence artificielle (IA), grimpait de plus de 10% lors des échanges électroniques après la clôture de la Bourse de New York.
Meta (Facebook, Instagram) a largement dépassé les attentes au deuxième trimestre, avec 47,5 milliards de dollars de chiffre d'affaires, en croissance de 22% sur un an, dont le groupe américain a dégagé 18,34 milliards de dollars de bénéfice net (+36%), grâce notamment à la hausse des prix publicitaires, a-t-il publié mercredi.
L'action de l'empire des réseaux sociaux, qui investit des dizaines de milliards de dollars dans l'intelligence artificielle (IA), grimpait de plus de 10% lors des échanges électroniques après la clôture de la Bourse de New York.
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Matières premières : le cuivre américain chute, l'or rebondit, le café troublé
Matières premières : le cuivre américain chute, l'or rebondit, le café troublé

Le Figaro

time11 hours ago

  • Le Figaro

Matières premières : le cuivre américain chute, l'or rebondit, le café troublé

Le cours du cuivre a plongé à New York cette semaine, après l'annonce que seule l'importation de produits semi-finis et non l'importation de cuivre raffiné serait soumise à des droits de douane de 50% aux États-Unis. Anticipant l'arrivée de surtaxes douanières de 50% sur les importations du métal rouge, les acheteurs américains avaient «bien approvisionné leurs réserves de cuivre» depuis des mois affirme Barbara Lambrecht, analyste chez Commerzbank. «Les importations américaines de cuivre raffiné ont augmenté de près de 130% en glissement annuel entre janvier et mai» et «dans le même temps, les stocks de cuivre dans les entrepôts Comex ont atteint leur plus haut niveau en 21 ans», souligne Ewa Manthey, analyste chez ING. La nouvelle a donc été «une grande surprise» sur le marché, explique Barbara Lambrecht. Après l'annonce, le prix du cuivre au Comex de New York a chuté de près de 20%, faisant disparaître presque entièrement l'écart de 30% entre le prix entre du métal rouge échangé sur le Comex et celui négocié sur la Bourse des métaux de Londres (LME). Publicité Avec des réserves aussi importantes de métal rouge sur le marché américain, «les achats à court terme, même sans surtaxes, pourraient être quelque peu inférieurs à la normale», estime l'analyste, ce qui peut expliquer la légère baisse des prix à Londres. Vendredi, vers 15H55 GMT (17H55 à Paris), sur le LME, une tonne de cuivre coûtait 9635,00 dollars vendredi, contre 9769,50 dollars sept jours plus tôt à la clôture. L'or revigoré Initialement délaissé au profit du dollar face à l'optimisme sur la résistance des États-Unis à la guerre commerciale, l'or est brusquement remonté en réaction à des données décevantes sur l'emploi américain vendredi. L'or a été initialement «plombé par la réduction des paris sur une baisse des taux d'intérêts de la Réserve fédérale cette année», note Han Tan de filiale du groupe Exinity, dans une note. Les investisseurs se sont d'abord fiés à la publication cette semaine d'une croissance américaine plus dynamique qu'escompté, d'un rebond de l'inflation en juin, et de bons chiffres sur l'emploi mercredi. Mais vendredi, le rapport du Ministère du Travail américain a signalé une progression du chômage et surtout une forte baisse des créations d'emplois en juillet, avec une importante révision à la baisse sur les mois précédents. De quoi renforcer les anticipations de baisses de taux en septembre. Le dollar est lourdement tombé en conséquence, propulsant en retour les autres valeurs refuge comme l'or ou le yen japonais. «Les entreprises anticipant une compression de leurs marges par la hausse des droits de douane ont probablement hésité à embaucher afin de maîtriser leurs coûts», analyste Fawad Razaqzada, analyste chez City Index. La situation inquiète les analystes d'autant que les surtaxes douanières prévues par un décret signé jeudi par Donald Trump ne rentreront en vigueur que le 7 août : elles risquent de renchérir les importations américaines et d'entraîner des représailles contre Washington. Vendredi, l'once d'or (31,1 g) s'échangeait à 3349,27 dollars, contre 3337,30 dollars sept jours plus tôt à la clôture. Chaud-froid sur le café Les cours du café évoluent en ordre dispersé, l'arabica en baisse et le robusta en petite hausse, dans un marché qui tente de naviguer à travers l'incertitude des droits de douane de Donald Trump, notamment concernant le Brésil. Le président américain a promis des taxes très importantes (50%) sur les importations en provenance du Brésil, premier producteur de café et notamment de la variété arabica. Publicité Si certains produits brésiliens devraient être exemptés, le doute plane sur le café. Le ministre des Finances, Fernando Haddad, a évoqué un entretien prévu avec le secrétaire au Trésor américain Scott Bessent, sans indication de date. Près d'un tiers du café importé aux États-Unis vient du Brésil, donc «l'imposition de ces droits de douane perturberait gravement le marché mondial», affirme Mark Bowman, analyste chez ADM Investors Services. La demande d'arabica pourrait baisser au profit notamment de la variété robusta dont le principal producteur, le Vietnam, a signé un accord commercial avec Washington début juillet. Sur l'ICE Futures US de New York, la livre d'arabica pour livraison en septembre valait 290,80 cents, contre 297,55 cents vendredi dernier. Sur le Liffe de Londres vendredi, la tonne de robusta pour livraison en septembre s'échange à 3.411 dollars, contre 3.228 dollars sept jours plus tôt à la clôture.

États-Unis : les taux obligataires chutent après des créations d'emplois faibles
États-Unis : les taux obligataires chutent après des créations d'emplois faibles

Le Figaro

time13 hours ago

  • Le Figaro

États-Unis : les taux obligataires chutent après des créations d'emplois faibles

Les taux obligataires américains ont nettement reculé vendredi, après la publication de créations d'emplois atones aux États-Unis et un taux de chômage en progression au mois de juillet. Vers 13H45 GMT, le rendement des emprunts d'État américains à 10 ans se détendait fortement à 4,24%, contre 4,37% à la clôture jeudi. Le deux ans, plus sensible à la conjoncture monétaire, reculait à 3,74%, contre 3,95%. En cause: la santé du marché de l'emploi américain s'est dégradée en juillet, avec un taux de chômage en progression à 4,2%, contre 4,1% en juin. Les créations d'emplois se sont, elles, établies à 73.000 le mois précédent, selon le rapport mensuel du ministère du Travail, soit moins qu'attendu par les analystes. Surtout, les créations d'emplois pendant les mois de mai et de juin ont été fortement révisées à la baisse. Les chiffres corrigés (19.000 en mai et 14.000 en juin) s'affichent ainsi au plus bas depuis la pandémie de Covid-19. Publicité La détérioration du marché du travail découle d'une «incertitude politique persistante, de l'impact des droits de douane et du tassement des flux migratoires» souhaité par le gouvernement, avait pointé, avant la publication, Gregory Daco, économiste chez EY, dans une note. «Le rapport sur l'emploi de juillet montre que la Fed (banque centrale américaine, NDLR) est en retard sur les baisses de taux», note Patrick O'Hare, de Deux responsables de la Fed ont d'ailleurs regretté vendredi, dans des communiqués, la décision de maintenir les taux inchangés lors de la dernière réunion de politique monétaire, estimant qu'une baisse trop tardive risque de peser sur l'activité économique et l'emploi.

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