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Giannis Antetokounmpo va « probablement » rester chez les Milwaukee Bucks en NBA

Giannis Antetokounmpo va « probablement » rester chez les Milwaukee Bucks en NBA

L'Équipe2 days ago
Invité dans un stream de l'influenceur IShowSpeed jeudi, le Grec Giannis Antetokounmpo a révélé qu'il allait « probablement » rester aux Milwaukee Bucks la saison prochaine.
Giannis Antetokounmpo a peut-être calmé les rumeurs de départ qui l'envoyaient loin de Milwaukee. Dans un stream au côté de l'influenceur américain IShowSpeed jeudi, le Grec de 30 ans a affirmé qu'il allait « probablement » rester dans la franchise du Wisconsin.
« On verra, on verra, a-t-il répété, le regard fuyant autour d'une grande table de jardin. Probablement... J'aime Milwaukee. » Avant de rapidement changer de sujet. En mai dernier, celui qui compte 12 saisons avec les Bucks, un titre NBA (2021) et neuf sélections au All-Star Game aurait laissé entendre, sans jamais le dire clairement en public, ne pas être contre un départ de Milwaukee. Il révèle, pendant ce même stream, avoir reçu des pressions pour rejoindre les New York Knicks : « Beaucoup de gens ont essayé de me convaincre, et essayent de me convaincre d'aller jouer là-bas ».
Il n'empêche que Milwaukee sort d'une saison compliquée (48 victoires, 34 défaites), conclue par une élimination prématurée au premier tour des play-offs face aux Indiana Pacers (1-4). Le « Greek Freak », double MVP (2019, 2020), a toutefois surnagé, avec une saison statistiquement de haut vol (33 points, 15,4 rebonds, 6,6 passes). En vue de la saison prochaine, les Bucks ont libéré Damian Lillard, blessé longue durée, et recruter l'intérieur Myles Turner, finaliste avec Indiana en juin.
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Comment Luis Enrique a vécu cette Coupe du monde des clubs avec le PSG
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Plus serein mais toujours aussi compétitif : l'entraîneur parisien traverse l'épreuve avec son état d'esprit habituel. Même lors de ces cinq semaines outre-Atlantique, ses méthodes n'ont guère changé. De la Californie au New Jersey, la scène s'est répétée à l'issue de chaque entraînement, encouragée par les températures tropicales. Torse et pieds nus, muscles luisants, casquette vissée sur la tête, Luis Enrique fait des va-et-vient le long des pelouses sur lesquelles ses joueurs terminent leurs exercices par une session de frappes au but. Pour un peu, l'entraîneur du PSG donnerait l'impression d'être un vacancier venu faire sa marche digestive sous le soleil américain. Le même cérémonial se déroule pourtant tout au long de la saison au Campus de Poissy. Le technicien espagnol est un adepte du earthing-grounding, une pratique visant à se reconnecter à la terre, comme il l'avait détaillé dans son documentaire : « Ça fait plus d'un an que je fais ça. J'avais des allergies chaque printemps, ça m'empêchait de faire du vélo. Depuis que je m'y suis mis, ç'a disparu. J'adore la connexion avec la nature. » Luis Enrique est tout sauf en vacances aux États-Unis. « Vous croyez qu'il leur a dit quoi aux joueurs depuis le début du tournoi ?, glisse un membre du club. Même s'il a évoqué la saison longue, la fatigue, les conditions de jeu spéciales, son objectif est clairement de remporter le titre ici. » Pour ce faire, la méthodologie en vigueur à Poissy a été transposée de l'autre côté de l'Atlantique, avec ses petits rituels, ses marottes. L'idée est de reproduire des conditions de travail similaires pour engendrer les mêmes effets. Cela va de la location d'une plateforme élévatrice pour analyser les entraînements à l'installation d'un écran géant en bord de terrain, en passant par les menus préparés à table. « Notre objectif principal était d'écrire l'histoire. Maintenant, il va falloir commencer le prochain chapitre, remporter d'autres trophées » Luis Enrique Pour autant, le coach s'est adapté à la perspective particulière de vivre pendant près de cinq semaines en vase clos, loin de l'Europe. Les matinées sont consacrées au travail, les après-midi laissés libres pour se changer les idées. L'Asturien de 55 ans a ressenti chez ses ouailles une certaine impatience de profiter des vacances, après une saison aussi riche et dense. Physiquement et mentalement. Il a d'ailleurs insisté en interne pour que tous les joueurs prennent bien leurs trois semaines de congé à l'issue du tournoi. Mais il a misé sur cet équilibre entre exigence et décontraction pour leur demander encore un effort. Il leur fait confiance pour ne pas se laisser aller à des abus lors des séquences extrasportives. Et, à l'entraînement, c'est même lui qui, parfois, calme le jeu. Comme avec Ousmane Dembélé, dont il a retardé le retour à la compétition malgré l'impatience du postulant au Ballon d'Or. En revanche, plus on se rapproche du match, plus il retrouve ses réflexes compétitifs et se montre tendu, exigeant. Le reste du temps, il apparaît plus relax, comme apaisé. En remportant la Ligue des champions, il a rempli la mission majeure pour laquelle il a signé au PSG en 2023. « Malgré tous les discours du style "Ce n'est plus l'objectif no 1, on va se donner le temps de la gagner", le connaissant, je suis absolument persuadé que, dès son premier jour à Paris, il s'est fixé le défi de leur apporter l'étoile », souffle un bon connaisseur du personnage. Quoi qu'il arrive, il a déjà « marqué l'histoire », comme il dit, et assuré sa place à jamais dans le grand livre du club et même du foot français. Ces semaines dans une ambiance familiale ont permis aussi de resserrer les liens au sein du groupe, dans la veine des quelques jours ensemble en janvier à Doha, au moment du Trophée des champions. Mais Luis Enrique n'entend pas s'arrêter là. « C'était notre premier objectif quand nous sommes arrivés à Paris la saison dernière, avouait-il vendredi au sujet de la C1. Ce n'était pas facile. Notre objectif principal était d'écrire l'histoire. Maintenant, il va falloir commencer le prochain chapitre, remporter d'autres trophées. » Et continuer de donner une identité marquée à son équipe, un élément qui lui est cher. Il s'exprime de plus en plus en français dans les conférences de presse Comme les joueurs, il a profité de quelques moments de relâche. Le temps d'aller faire un tour à la plage, en Californie, ou de partager un restaurant avec ses adjoints ou le conseiller sportif Luis Campos. Il ne partage pas forcément les mêmes centres d'intérêt que son staff, très jeune, et le plus proche reste le psychologue, Joaquin Valdes (48 ans). Entre un peu de lecture et des exercices physiques, son quotidien a en fait surtout ressemblé à ses journées à Poissy. Si beaucoup de joueurs ont vu des membres de leur entourage faire le déplacement, lui n'a vu sa femme arriver aux États-Unis qu'il y a quelques jours. Il a regardé des matches, beaucoup étudié les adversaires à la vidéo et à la data : une des spécificités de cette compétition était de découvrir des équipes rarement affrontées. Fait quelques briefs avec le président Nasser al-Khelaïfi et Campos. Seule (demi-) nouveauté : il s'est mis, dès sa première prise de parole aux USA, à faire ses conférences de presse en français, du moins pour les questions posées dans la langue de Molière. 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Deux semaines après leurs aînées, les Bleuettes U18 elles aussi battues par l'Espagne en demi-finales de l'Euro
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time6 hours ago

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Deux semaines après leurs aînées, les Bleuettes U18 elles aussi battues par l'Espagne en demi-finales de l'Euro

Le parcours de l'équipe de France féminine U18 s'est arrêté en demi-finales de l'Euro ce samedi. Comme leurs aînées fin juin, les Bleuettes ont été battues par l'Espagne (65-71), qui jouera le titre contre la Finlande. Il n'y aura pas de doublé doré pour l'équipe de France féminine U18, qui avait remporté l'Euro dans cette catégorie l'an dernier. Alors qu'elles avaient survolé leur huitième de finale contre le Portugal (86-39) puis leur quart contre l'Italie (72-34), les Bleuettes sont tombées ce samedi en demies face à l'Espagne (65-71) après une entame de match ratée. Contrairement à leurs « grandes soeurs » de l'équipe de France, elles aussi battues par l'Espagne en demi-finales de l'Eurobasket, il y a deux semaines, les coéquipières d'Emma Broliron (15 points, 5 passes) et Lana Bentoumi (5 points, 12 rebonds) ont été menées tout au long de la rencontre, après avoir encaissé un 9-0 d'entrée. Menées de 10 points à la pause, les Bleuettes sont revenues à un petit point au début du dernier quart-temps (54-55) avant d'être de nouveau distancées. Grande première pour la Finlande Alors que France et Espagne s'étaient affrontées en finale en 2024, l'affiche sera cette fois inédite puisque les Finlandaises se sont qualifiées aux dépens de la Belgique, sécurisant la première médaille de leur histoire dans le tournoi après une quatrième place en 2023. Les jeunes finlandaises poursuivent sur leur lancée après avoir décroché le titre U16 l'an dernier (victoire 49-47 en finale face à la France). Les Françaises, justement, joueront la médaille de bronze face à la Belgique.

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