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Les magasins Alnatura vont fermer leurs portes en Suisse

Les magasins Alnatura vont fermer leurs portes en Suisse

24 Heures08-07-2025
La chaîne de supermarchés bio, présente en Suisse alémanique et exploitée par Migros Zurich, va cesser son activité. Les collaborateurs pourront continuer à travailler pour le groupe.
Publié aujourd'hui à 11h54
Les quelque 260 collaborateurs des magasins Alnatura recevront des offres d'emploi de Migros Zurich (photo d'archive).
KEYSTONE/Michael Buholzer
Suite à la décision de Migros Zurich de se retirer de l'exploitation des magasins Alnatura , les supermarchés bio cesseront leurs activités en Suisse à fin 2025. Les quelque 260 collaborateurs concernés recevront des offres d'emploi de Migros Zurich.
D'un commun accord, le contrat de franchise entre Alnatura et Migros Zurich, en vigueur depuis 2012, ne sera pas renouvelé, indique Alnatura mardi dans un communiqué. Aucun nouveau partenaire n'a pu être trouvé, «malgré des recherches intensives».
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La future ligne Bâle-Malmö nécessitera 47 millions de francs de subventions d'ici à 2030. Derrière cette alternative à l'avion se cache un modèle économique peu rentable. Publié aujourd'hui à 12h05 Le voyage en train de nuit n'est pas rentable pour les CFF. CHRISTIAN BEUTLER/KEYSTONE En bref: Dès avril 2026, les vacanciers désirant se rendre en Scandinavie auront une nouvelle option de voyage. Les CFF lanceront un train de nuit reliant Bâle à Malmö. Cette alternative à l'avion ou à la voiture a été annoncée la semaine dernière par l'Office fédéral des transports (OFT). Le train circulera trois fois par semaine depuis la Suisse en direction du nord, avec un retour prévu la nuit suivante. Le prix du billet n'a pas encore été communiqué. Cependant, chaque voyage sera extrêmement coûteux et payé avec l'argent public, provenant des impôts des citoyens suisses. D'ici à 2030, la Confédération prévoit d'accorder 47 millions de francs de subventions pour la nouvelle liaison ferroviaire entre Bâle et Malmö. En moyenne, cela coûtera environ 9,2 millions de francs par an, ce qui représente 30'000 francs pour un seul trajet. Pourquoi l'exploitation d'une seule ligne de train coûte-t-elle si cher? Ceux qui tentent de trouver des réponses à cette question font face au silence. «Nous ne donnons aucune indication tarifaire sur les liaisons», affirme Sabrina Schellenberg, porte-parole des CFF. L'Office fédéral des transports (OFT) reste lui aussi muet. Malgré une demande d'aide détaillée soumise par les CFF, l'office refuse de la divulguer avant d'avoir consulté l'entreprise ferroviaire suisse. Les CFF admettent ouvertement que leurs trains de nuit ne sont pas rentables. «Dans les conditions actuelles, les trains de nuit ne sont pas rentables malgré leur grande popularité. Cela s'explique par des coûts élevés liés au personnel, au matériel roulant et au prix du sillon», précise l'attachée de presse. L'entreprise garde toutefois confidentiels les chiffres exacts de son activité. 35 à 45 euros par kilomètre parcouru en trains de nuit Ces dernières années, plusieurs études ont examiné la rentabilité des trains de nuit. La plus récente a été menée fin 2023 à la demande du Ministère fédéral des transports allemand (BMV). Il a également fait développer des modèles de calcul pour les trains de nuit qui traversent non seulement l'Allemagne, mais aussi la Suisse. Selon les résultats, six facteurs de coûts se révèlent décisifs. Le matériel roulant représente 45% des coûts, le personnel 14%, le nettoyage et le stationnement 14%, l'électricité 9%, le prix du sillon et l'entretien des gares 7%, et les frais administratifs généraux 11%. Pour un train de nuit reliant la Suisse à l'Allemagne, l'ensemble de ces facteurs entraîne des coûts de 35 à 45 euros par kilomètre parcouru sur les voies. Pour une ligne Bâle-Malmö , qui s'étendrait sur 1100 à 1300 kilomètres selon l'itinéraire choisi, cela représenterait un coût de 40'000 à 60'000 euros par trajet. La nouvelle liaison ferroviaire nocturne entre Bâle et Malmö est loin d'être rentable. Avec une subvention fédérale de 30'000 francs par trajet, elle ne parvient même pas à couvrir la moitié de ses coûts par ses propres recettes. Face à ces chiffres, les CFF refusent tout commentaire. Bâle-Malmö en train: plus cher qu'en avion D'après l'étude du Ministère fédéral des transports allemand, la principale raison qui explique le manque de rentabilité des trains de nuit est déterminante: l'absence d'évolutivité. Un lit ou une couchette dans un train de nuit ne peut être occupé qu'une seule fois par nuit, contrairement à un siège dans un train classique. De plus, un train de nuit peut transporter beaucoup moins de voyageurs qu'un train circulant en journée. En outre, les coûts de main-d'œuvre sont significativement plus importants pour les trains de nuit comparativement aux trains circulant en journée. L'exploitation des trains de nuit nécessite beaucoup de personnel. SABINA BOBST/TAMEDIA Grâce aux subventions, les CFF n'auraient besoin de générer «que» 20'000 francs de recettes par trajet vers Malmö pour couvrir leurs coûts. Avec 140 couchettes et 40 lits par train de nuit, le prix des billets sera vraisemblablement supérieur à celui de l'avion. Cette différence s'explique surtout par le fait que les trains de nuit circulent rarement à pleine capacité. Selon l'étude du BMV, les trains de nuit affichent généralement un taux d'occupation d'environ 70%. Le parlement maintient les subventions La loi CO₂ récemment révisée fournit la base légale pour les subventions des trains de nuit. Elle prévoit qu'un montant pouvant atteindre 30 millions de francs par an peut être dédié à la promotion des trains de nuit. Cet argent provient du trafic aérien, plus précisément des droits d'émission. Bien que la loi n'ait été votée par le parlement qu'au printemps 2024, le Conseil fédéral envisageait de mettre fin aux subventions pour les trains de nuit dès l'automne 2024. Le gouvernement a proposé au parlement de supprimer intégralement les 30 millions de francs du budget 2025. Le parlement n'a pas pleinement satisfait cette demande. Toutefois, il a drastiquement diminué le budget, le faisant passer de 30 à 10 millions de francs. Ces 10 millions doivent donc désormais être presque exclusivement consacrés à l'exploitation d'une unique ligne de train de nuit. L'argent devrait continuer à affluer jusqu'en 2030, comme l'a annoncé la ministre des Finances Karin Keller-Sutter (PLR/SG) fin juin, lors de la présentation d'une nouvelle voilure du programme d'allégement budgétaire 2027. Toutefois, il est vraisemblable que le parlement voudra reprendre la discussion sur les trains de nuit au plus tard lors des débats budgétaires de 2026, pendant la prochaine session d'hiver. Tandis que les Verts et le PS défendent les 30 millions de francs inscrits dans la loi CO₂, plusieurs élus de droite souhaitent éliminer cette subvention. Quoi qu'il en soit, les CFF ont déjà élaboré des plans de secours pour d'autres liaisons. «Nous avons déposé plusieurs demandes auprès de l'Office fédéral des transports», conclut Sabrina Schellenberg. Ces requêtes seront réexaminées ultérieurement, après validation du budget 2026. Traduit de l'allemand par Emmanuelle Stevan À propos des trains de nuit Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters Quentin Schlapbach est rédacteur à la rubrique Berne. Il a fait un apprentissage de commerce et a étudié à l'école suisse de journalisme MAZ à Lucerne. Plus d'infos @qscBZ Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

L'isolation des bâtiments, un rempart contre la pénurie d'électricité en hiver
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L'isolation thermique pourrait prévenir la pénurie d'électricité en hiver. Mais les experts s'inquiètent des plans du Conseil fédéral, qui prennent le chemin inverse. Publié aujourd'hui à 20h21 Cet hôtel de Zermatt a été totalement rénové en 2019 grâce au soutien du Programme bâtiments. Programme bâtiments/Gerry Nitsch En bref: En Suisse, la construction de parcs éoliens et de nouvelles installations solaires ainsi que l'essor de l'énergie hydraulique suscitent de vifs débats. Albert Rösti, le ministre de l'Énergie, souhaite même autoriser la construction de nouvelles centrales nucléaires dans le contre-projet à l'initiative «Stop au black-out». Un projet de loi est attendu à Berne après les vacances d'été. Dans ce contexte, l'amélioration de l'efficacité énergétique des bâtiments peut présenter un grand potentiel. Une étude de la Haute École de Lucerne a évalué dans quelle mesure la rénovation de l'enveloppe des bâtiments pourrait contribuer à résoudre le problème de pénurie d'électricité en hiver. L'étude a été financée par Flumroc, un fabricant suisse de matériaux isolants. Le constat est clair: si tous les chauffages fossiles des bâtiments d'habitation étaient remplacés par des pompes à chaleur et que les bâtiments étaient isolés, la demande en électricité pourrait diminuer de 5,3 térawattheures (TWh) par an. Ce chiffre correspond à peu près à la quantité d'électricité qui fait défaut en hiver, soit environ 10% de la consommation annuelle d'électricité. Des coupes dans les subventions «En moyenne, l'isolation thermique permet de réduire de moitié les besoins de chaleur des bâtiments d'habitation», explique Damian Gort, directeur de Flumroc. Les pompes à chaleur doivent alors fournir «beaucoup moins de puissance pour maintenir l'intérieur chaud». Cela est particulièrement important hiver, quand les besoins en électricité pour les pompes à chaleur sont les plus élevés et que l'offre est la plus tendue. Sans travaux d'isolation supplémentaires, les pompes à chaleur consommeraient 11,5 TWh d'électricité. En isolant les logements, cette consommation tomberait à 6,2 TWh. L'étude présente ainsi une alternative à la stratégie énergétique actuelle: au lieu d'investir des milliards dans la construction de nouvelles centrales, on pourrait économiser beaucoup d'électricité en isolant mieux les bâtiments. Le tout sans contraintes dans la vie quotidienne, sans atteintes au paysage, mais avec un effet significatif sur la sécurité de l'approvisionnement. «La discussion porte presque uniquement sur la quantité d'électricité qu'il faudrait produire en plus, ajoute Damien Gort. Mais la plus facile d'accès est celle que nous n'utilisons pas.» Cet hôtel de Zermatt est chauffé avec des pellets de bois. Grâce à une bonne isolation thermique, il consomme peu d'énergie. Programme bâtiments/Gerry Nitsch Mais les décisions politiques actuelles prennent le chemin inverse. À partir de 2027, le Conseil fédéral prévoit en effet de mettre un terme au Programme bâtiments, qui accorde des subventions pour l'assainissement énergétique des bâtiments. Les conséquences de la prochaine votation populaire du 28 septembre pourraient être encore plus lourdes. Si la valeur locative était supprimée, les déductions fiscales pour les rénovations disparaîtraient également. Selon les estimations du secteur, cela représenterait près de 200 millions de francs par année qui ne seraient plus investis dans les rénovations énergétiques. La rénovation des bâtiments n'est pas toujours rentable Philippe Thalmann est professeur à L'EPFL, où il mène des recherches en économie de l'environnement, notamment dans les domaines du climat, de la construction, de l'immobilier et du logement. Sans avoir examiné en détail les données de l'étude, il estime que les résultats sont «cohérents». Selon lui, ils confirment des constats déjà bien établis: «Pour exploiter pleinement le potentiel de réduction de la consommation d'énergie et des émissions de CO 2 , il faudrait remplacer les chaudières fossiles par des pompes à chaleur.» Mais comme la consommation d'électricité augmente précisément lorsque les pompes à chaleur sont utilisées, c'est-à-dire au moment où la production électrique est la plus faible, il faut faire un choix: augmenter la production d'électricité renouvelable ou réduire la consommation en rénovant les bâtiments. «La rénovation thermique des bâtiments est coûteuse, que ce soit en termes d'argent, d'énergie, d'énergie grise ou de main-d'œuvre», souligne Philippe Thalmann. De plus, il est difficile de rentabiliser la rénovation de l'enveloppe d'un bâtiment, étant donné que la consommation d'énergie a déjà fortement baissé grâce aux pompes à chaleur. Philippe Thalmann propose donc d'instaurer des tarifs d'électricité plus élevés en hiver afin d'encourager la rénovation thermique des bâtiments. Seuls les bâtiments les plus énergivores, classés dans les catégories F ou G, présentent un intérêt économique à être rénovés. «Pour les autres, l'électricité est probablement trop bon marché pour justifier une rénovation.» Selon lui, le Programme bâtiments est l'instrument le plus adapté en la matière. Toutefois, même si les déductions fiscales pour les rénovations sont une mesure de soutien, elles restent très peu ciblées. Compte tenu des ressources nécessaires, il est légitime de se demander s'il est vraiment pertinent de rénover en profondeur l'enveloppe thermique de tous les bâtiments équipés de pompes à chaleur. Selon Philippe Thalmann, la combinaison de mesures incitatives et de contraintes serait la mesure la plus efficace, en particulier pour les bâtiments anciens: «Les propriétaires de maisons classées en catégorie G, puis dans un deuxième temps celles classées F, devraient être contraints de remplacer leur système de chauffage et de rénover l'enveloppe du bâtiment, tout en bénéficiant d'un soutien ciblé», estime-t-il. La fin d'une incitation fiscale importante Pour Marcel Hänggi, de la Fondation suisse de l'énergie, le potentiel d'économie mis en lumière par l'étude de la Haute École de Lucerne n'a rien de surprenant. «Des études précédentes menées par la Confédération estimaient déjà le potentiel d'économie entre 25 et 40% de la consommation totale d'électricité», explique-t-il. Il juge d'autant plus incompréhensible que le Conseil fédéral tienne si peu compte de la question des économies d'électricité dans sa politique énergétique actuelle. À ses yeux, les coupes prévues par le Conseil fédéral dans les subventions du Programme bâtiments sont «une violation de la loi sur la protection du climat adoptée en 2023», car le montant des aides accordées dans le cadre de ce programme est inscrit dans la loi. Marcel Hänggi estime par ailleurs que l'argument avancé par la Confédération, qui mise sur un possible effet d'aubaine, n'a pas de fondement scientifique: «Bien sûr, on peut améliorer les programmes, mais une critique aussi générale ne tient pas.» La Fondation suisse de l'énergie porte également un regard critique sur le possible changement de système en matière de valeur locative, même si elle ne s'est pas encore prononcée sur la votation à venir. «Ce serait la fin d'une incitation fiscale importante en faveur des rénovations, ce qui est une erreur du point de vue de la politique énergétique.» En effet, le taux d'assainissement des bâtiments est actuellement bien trop bas pour atteindre la neutralité carbone d'ici à 2050. «Il devrait être trois fois plus élevé pour que la Suisse respecte ses objectifs climatiques.» Plus sur la transition énergétique en Suisse Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters Cyrill Pinto est journaliste chez Tamedia à Zurich. Originaire du Valais, il est spécialisé dans le crime organisé et les questions environnementales. Plus d'infos @cyrill_pinto Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

Les exportations suisses reculent au deuxième trimestre
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timea day ago

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Les exportations suisses reculent au deuxième trimestre

Les exportations de produits pharmaceutiques plongent de 9,6%, mais l'horlogerie et le secteur machines font face à une croissance soutenue. Publié aujourd'hui à 14h45 Le secteur des produits chimiques et pharmaceutiques a été la principale cause du repli au deuxième trimestre des exportations et importations en Suisse. KEYSTONE Le commerce extérieur de la Suisse a reculé au deuxième trimestre, tant au niveau des exportations que des importations, après le record du trimestre précédent. Le secteur des produits chimiques et pharmaceutiques a été la principale cause de ce repli. Entre avril et juin, la balance commerciale a bouclé sur un excédent de 13,4 milliards de francs, selon les chiffres dévoilés jeudi par l'Office fédéral de la douane et de la sécurité des frontières (OFDF). Les exportations désaisonnalisées se sont contractées de 5,3% (réel -1,4%) par rapport au premier trimestre à 70,1 milliards, pendant que les importations ont reculé de 7,1% (réel -4,5%) à 56,7 milliards de francs. Au 2e trimestre, c'est à nouveau le secteur des produits chimiques et pharmaceutiques qui a principalement contribué au recul des exportations. Après deux semestres de forte croissance, les exportations dans cette branche ont en effet reculé de 9,6%, dont plus d'un tiers est venu de la baisse des livraisons de médicaments. La bijouterie et joaillerie ainsi que le secteur textile, habillement et chaussures ont quant à eux également souffert. À l'inverse, l'horlogerie (+ 2,6%) ainsi que le secteur machines et électronique (+ 1,4%) ont vu leur chiffre d'affaires progresser en 2025 pour la deuxième fois consécutives, alors que les trimestres précédents étaient caractérisés par une tendance à la baisse. Importations en baisse Concernant les importations, les produits chimiques et pharmaceutiques ont, de loin, le plus pesé sur ce résultat, avec une chute de 14,2%. Les arrivages de produits énergétiques ont également enregistré une contraction marquée (-15,1%, en raison des prix), à l'image, dans une moindre mesure toutefois, des entrées de métaux et d'instruments de précision. Le recul cumulé de ces trois secteurs s'est chiffré à 676 millions de francs. Sur le seul mois de juin, les exportations désaisonnalisées ont progressé de 8,6% (réel + 6,1%) pour atteindre près de 23 milliards de francs. Les exportations de produits chimiques et pharmaceutiques ont été les principales raisons de cette croissance. Les importations ont pour leur part légèrement reculé de 1,5% (réel + 0,7%) pour s'établir à 18,7 milliards. La balance commerciale a bouclé en juin avec un excédent de 4,3 milliards de francs Exportations helvétiques Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters ATS Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

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