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Qui sont les gens de cœur derrière votre verre de lait ?

Qui sont les gens de cœur derrière votre verre de lait ?

La Presse17 hours ago
Qui sont les gens de cœur derrière votre verre de lait ?
Derrière chaque verre de lait, il y a une histoire : celle de producteurs et de productrices qui ont plus de choses en commun avec vous que vous l'imaginez. Jour après jour, ils et elles s'investissent avec passion pour vous offrir un lait de qualité, produit ici, dans le respect du bien-être animal, de l'environnement et des gens « à l'autre bout de la pinte ».
Qu'est-ce qu'un XTRA?
XTRA est une section qui regroupe des contenus promotionnels produits par ou pour des annonceurs. Les journalistes et photographes de La Presse n'ont pas collaboré à ce contenu promotionnel.
Mobilisés pour les générations de demain
Ferme Érilis, Centre-du-Québec
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À Victoriaville, Éric Houle et Lise Normand incarnent l'engagement des producteurs de lait pour une agriculture durable et responsable. La Ferme Érilis fait partie des 12 pionniers qui ont uni leurs forces au sein de la première coopérative de biométhanisation agricole au Québec. Cet ambitieux projet permet de transformer le lisier produit sur la ferme en gaz naturel et en fertilisant. Avec une relève familiale déjà bien impliquée à leurs côtés, Éric et Lise constatent chaque jour l'importance de prendre soin de la terre et des animaux pour les générations futures.
L'implication sociale, une valeur familiale
Ferme Mylixy, Estrie
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Pour Amélie Brien, l'engagement communautaire coule de source. C'est une valeur transmise par ses parents qu'elle perpétue aujourd'hui à titre de copropriétaire de la ferme familiale Mylixy, située à Racine. Responsable des troupeaux, la jeune productrice laitière connaît le métier : elle en maîtrise les rouages, mais surtout, elle veut le faire évoluer. Amélie aspire à être un vecteur de changement pour la communauté agricole, et plus particulièrement pour les femmes qui y prennent leur place. Néanmoins, si elle veut améliorer les pratiques, c'est aussi pour les consommateurs ; des gens comme elle, fait-elle valoir.
Des vaches qui font partie de la famille
Ferme Vaudal, Montérégie
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Sur la Ferme Vaudal, Véronique Boyer et Jérémie Mercier placent le bien-être animal au cœur de leur travail. De mai à octobre, la quarantaine de vaches sur lesquelles ils veillent profitent des verts pâturages. Cette pratique favorise autant la santé physique que mentale des animaux, selon ce qu'observe la productrice laitière, dont le cœur a longtemps balancé entre l'agriculture et la médecine vétérinaire. À ses côtés, Jérémie, lui, a la conviction que les vaches expriment leurs besoins, mais « juste pas en français ». La petite taille du troupeau permet au couple d'accorder plus de temps, d'attention et de soins à chaque bête ; une approche humaine, empreinte de respect et d'écoute.
Des années de travail avant la première traite
Ferme M&M, Gaspésie
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À la différence de bien des histoires de relève agricole, Marie-Eve Cyr et Maxime Plante n'ont pas repris la ferme familiale ; ils ont plutôt bâti leur entreprise de toutes pièces. Déterminés, ils ont frappé à toutes les portes pour réaliser leur rêve de lancer leur production laitière sur la péninsule gaspésienne. L'aplomb de ces aspirants producteurs, alors dans la vingtaine, a su convaincre les bons partenaires d'embarquer dans l'aventure. Le secret de leur réussite ? « Avoir une tête de cochon ! » lance en riant Maxime, qui est fier de contribuer à la vitalité de sa région.
De leur ferme à votre table
Ferme Lizière, Bas Saint-Laurent
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À la Ferme Lizière, le cahier des charges de régie biologique n'est qu'un point de départ. Ce qui guide réellement Alain Lemieux dans son travail, c'est la simplicité : celle des interventions mesurées, du sol qu'on laisse se régénérer naturellement, du respect du vivant. Fier de produire un lait biologique, Alain insiste toutefois sur les normes de production qui comptent ici parmi les plus élevées au monde : bio ou non, le lait du Québec est un produit de qualité. « Seul le chemin pour y arriver est différent », dit-il.
Un savoir-faire transmis de génération en génération
Ferme Pittet, Mauricie
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Faire fonctionner une ferme laitière de 600 têtes — la plus grande en Mauricie —, ça ne se fait pas seul ! Pour Jérémie Pittet, propriétaire de troisième génération de la Ferme Pittet, le moteur de l'entreprise, c'est l'équipe qu'il appelle sa famille agrandie. Sur les terres comme dans les étables, employés, travailleurs saisonniers et même retraités se relaient pour veiller au grain. Certains d'entre eux, qui font partie de la « famille » depuis trois décennies, ont vu le producteur laitier grandir sur la ferme, puis suivre les traces de ses prédécesseurs.
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Sensibiliser les ados aux menstruations
Sensibiliser les ados aux menstruations

La Presse

time29 minutes ago

  • La Presse

Sensibiliser les ados aux menstruations

Il y a quatre ans, une élève de Roxanne Dubé-Rémillard s'est crue au seuil de la mort. « Elle avait demandé à sa petite sœur d'aller annoncer à leur mère qu'elle mourait. » L'élève était loin d'être en danger de mort : elle avait simplement ses premières règles. Sa mère lui en avait toujours caché l'existence. « C'est vraiment un traumatisme que cette personne a vécu. » Pour éduquer les adolescents aux menstruations, briser les tabous autour du sujet et éviter qu'une telle histoire se répète, l'initiative La Semaine Rouge encourage les écoles à mener une semaine de sensibilisation menstruelle. À l'école secondaire Saint-Jean-Baptiste à Longueuil, où la plupart des élèves sont issus de l'immigration, le premier évènement du genre a suscité de l'étonnement, de la gêne, mais elle a aussi favorisé des échanges. Table de démonstration de produits menstruels à l'entrée de l'école, jeu-questionnaire sur les règles dans la cafétéria, babillard sur la précarité menstruelle dans le couloir principal… Le but avoué de Roxanne Dubé-Rémillard, qui a piloté l'évènement en novembre dernier, était de « prendre de la place » dans l'espace scolaire pour parler de menstruations. PHOTO ÉDOUARD DESROCHES, LA PRESSE À l'initiative de Roxanne Dubé-Rémillard la Semaine Rouge s'est tenue à l'école où elle travaille. « Parce que c'était la première fois, il y a eu une grosse réaction », témoigne la professeure, qui a vu des élèves incrédules devant les différentes affiches. Les activités organisées s'adressaient à tous, filles comme garçons. Le message : les menstruations concernent tout le monde, et on devrait pouvoir en parler sans gêne. « J'ai l'impression que le tabou sur ce sujet a été brisé au niveau de l'école, mais aussi pour moi », témoigne Mojgan Mir Sadeghi Varzaneh, une élève d'origine iranienne de quatrième secondaire. « C'est plus normal pour moi-même d'en parler qu'avant La Semaine Rouge. » Une occasion d'échanger La visite d'une infirmière le midi a permis d'informer les élèves sur les menstruations et de répondre à leurs questions. Ce rôle de vulgarisation est jugé crucial par bien des élèves, dans cette école où près de la moitié d'entre eux sont nés à l'extérieur du pays. « Dans la famille de certaines personnes, c'est un sujet tabou », témoigne Exaucee Mutombo Nsenga, originaire du Congo. « Si tes parents ne t'ont pas encore expliqué [ce que sont les menstruations] lors de tes premières règles, tu penses que c'est quelque chose que tu as fait, que c'est de ta faute. C'est trop de stress. » PHOTO ÉDOUARD DESROCHES, LA PRESSE Mojgan Mir Sadeghi Varzaneh et Exaucee Mutombo Nsenga fréquentent l'école Saint-Jean-Baptiste. En milieu de semaine, des trousses menstruelles gratuites ont été distribuées. Dans ce milieu défavorisé où l'école fournit le petit déjeuner aux élèves, Roxanne Dubé-Rémillard est convaincue que le coût des produits sanitaires est un enjeu pour de nombreuses familles. Ce fut l'occasion de discuter de précarité menstruelle – soit la difficulté d'accéder à des produits menstruels faute de moyens – avec des élèves qui la vivent dans le secret. La semaine se voulait aussi un moment d'échange, notamment lors de la projection d'un film sur les menstruations dans différentes cultures. Plusieurs élèves nous ont dit que la tradition dans leur pays, c'est que la grand-mère donne une tape dans le visage des jeunes filles après leurs premières règles. 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À l'époque, les initiatives de la RQASF autour des menstruations recevaient un accueil mitigé des associations féministes et de santé des femmes. « On craignait que mettre ce sujet de l'avant soit pris comme un signe de faiblesse par rapport aux hommes, » témoigne sa directrice générale, Élise Brunot. PHOTO ÉDOUARD DESROCHES, LA PRESSE Des produits menstruels sont distribués gratuitement sur une table dans le gymnase, accompagnés d'affiches pour La Semaine rouge d'information sur les menstruations. Mais les choses ont évolué ces dernières années. « Les groupes s'emparent du sujet aujourd'hui, notamment autour de l'aspect de la précarité menstruelle. » Malgré le succès de la première Semaine Rouge à l'école Saint-Jean-Baptiste, la gêne autour du sujet demeure présente. « La Semaine Rouge enrichit les personnes culturellement, mais risque aussi de ramener des propos négatifs. 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timean hour ago

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Des recherches sont en cours pour trouver un homme de 69 ans qui purgeait une peine pour un meurtre prémédité au pénitencier fédéral Archambault, à Sainte-Anne-des-Plaines, dans les Laurentides. La Presse Canadienne Lori Bill Germa fait l'objet d'un mandat d'arrestation. Le personnel de l'unité à sécurité minimale de l'Établissement Archambault a constaté qu'il manquait à l'appel lors du dénombrement des détenus samedi soir, vers 22 heures. Le Service correctionnel du Canada (SCC) a immédiatement signalé sa disparition à la Sûreté du Québec, qui a lancé un mandat d'arrestation. Lori Bill Germa mesure 178 cm (5 pi 10 po) et pèse 75,3 kg (166 lb). Il a le teint pâle, les yeux bruns et est chauve. Le sexagénaire porte des tatouages d'une épée avec le nom « Carol » au bras droit, ainsi que deux hippocampes et deux dragons. Autre signe distinctif, il a une cicatrice sur la jambe gauche. Quiconque possède des renseignements sur les allées et venues de Lori Bill Germa est prié de communiquer avec la police. Une enquête interne a été ouverte par le Service correctionnel du Canada (SCC).

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