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Le Figaro

12 hours ago

• Le Figaro

Entre romantique et gothique, Monica Bellucci et Tim Burton débordent d'amour sur le tapis noir du Festival du film de Giffoni

Vendredi 25 juillet, le réalisateur était l'invité spécial du festival italien à l'occasion de la sortie de la saison 2 de Mercredi sur Netflix. Couple aussi fascinant que surprenant, Monica Bellucci et Tim Burton étaient à nouveau réunis devant les photographes, vendredi 25 juillet. Le réalisateur était invité pour l'avant-dernier jour de la 55e édition du Festival du film de Giffoni, pour la saison 2 de Mercredi, dont la première partie sera diffusée sur Netflix le 6 août prochain, et la seconde le 3 septembre. Mais hors de question pour le réalisateur gothique de venir seul à l'événement. C'est donc tout naturellement que sa compagne, Monica Bellucci, s'est glissée à ses côtés pour assister au festival qui se déroule dans le pays où elle est née. Monica Bellucci et Tim Burton sur le tapis noir du Festival du film de Giffoni. (Giffoni Valle Piana, le 25 juillet 2025.) IPA/ABACA Telle Morticia Adams, qui est interprétée par Catherine Zeta-Jones dans la série, la mère de Deva (20 ans) et Léonie Cassel (15 ans), s'est avancée sur le tapis, habituellement bleu, teinté de noire pour l'occasion vêtue d'une longue robe assortie. De son côté, Tim Burton est lui aussi vêtue d'un costume entièrement noir, au milieu d'un décor d'Halloween façon famille Adams. Les amoureux, qui portent tous les deux des lunettes de soleil, ont échangé un baiser discret devant les photographes et ont ensuite traversé le tapis noir main dans la main, rapporte le journal italien, Il Messagero . À lire aussi Monica Bellucci : «On peut vivre un cycle d'épanouissement à 60 ans, et se sentir vivante et jeune comme jamais» Tim Burton et Monica Bellucci en amoureux lors de la 55e édition du Festival du film de Giffoni. (Giffoni Valle Piana, le 25 juillet 2025.) Ivan Romano / Getty Images Publicité «Mon couple en premier» Cela faisait quelque temps que Tim Burton et Monica Bellucci n'étaient pas apparus ensemble. La raison ? Il semblerait que les deux artistes préfèrent profiter de leur histoire d'amour, plutôt que de parler boulot. C'est notamment ce que confiait Monica Bellucci dans les colonnes de Marie Claire fin juin. «Aujourd'hui, c'est la priorité. Mon couple en premier, le travail ensuite», avait déclaré l'actrice qui n'hésite pas à faire l'éloge de son compagnon lorsqu'elle en a l'occasion. En juin dernier, elle s'était notamment confiée sur sa vision de l'amour à 60 ans, dans la version italienne de Vanity Fair . «L'amour est quelques fois difficile à expliquer. Ce qui a changé pour moi avec le temps, c'est que maintenant deux âmes adultes se parlent avec leurs expériences et ont une autre façon de se confronter», a déclaré l'ex-femme de Vincent Cassel. Une recette qui semble fonctionner puisque depuis leur officialisation en 2023, les deux amants ne se lâchent plus.

Le Parisien

13 hours ago

• Le Parisien

« Gran Torino » ce dimanche soir sur TF 1 : mais que devient Clint Eastwood ?

César du meilleur film étranger, vu lors de sa sortie par près de 3,5 millions de spectateurs en France, « Gran Torino », sorti en 2009 et rediffusé ce dimanche soir sur TF1 (à 21h15), constitue l'un des meilleurs films de la fin de carrière de Clint Eastwood. L'acteur, qui se dirige ici lui-même, y incarne Walt, un retraité veuf, qui vit seul avec son chien dans un quartier difficile de Detroit, gangrené par la criminalité. Bougon et raciste, il apprécie peu ses voisins, issus de la communauté asiatique, et couve des yeux sa seule fierté, une superbe Ford Gran Torino… L'Américain, à déjà 77 ans, un âge auquel nombre de ses confrères ont déjà raccroché, prouvait à l'époque qu'il en avait encore sous le pied, et des deux côtés de la caméra. Mais qu'en est-il une décennie et demie plus tard, alors qu'il s'approche doucement de son siècle sur Terre (il a fêté ses 95 ans le 31 mai) ? Tout d'abord, il ne faut pas oublier qu'Eastwood a livré, en octobre dernier, son 40e film en tant que metteur en scène, l'excellent « Juré n° 2 », un thriller judiciaire de haute volée, avec Nicholas Hoult et Toni Collette dans les rôles principaux. Cette œuvre, dans laquelle il ne joue pas, qui n'est quasiment pas sortie en salles aux États-Unis, au profit d'une diffusion en streaming, et pour laquelle il n'a assuré aucune promotion, a été présentée comme sa dernière. Mais nombreux sont ceux qui, à Hollywood, n'y croient pas. Comme Toni Collette, qui racontait lors du tournage de « Juré n° 2 », qu'Eastwood avait lu beaucoup de scénarios durant la pandémie, une manière de dire que l'homme restait très actif. Même sentiment chez Todd Komarnicki, scénariste de « Sully » (2016), qui confiait récemment au Daily Express britannique : « Je ne peux pas l'imaginer prendre sa retraite. Je pense qu'il est plus probable qu'il meure sur un plateau de tournage à 102 ans, plutôt qu'il ne prenne sa retraite ! » Des photos publiées en mars 2024 ont pourtant inquiété. On y voyait Eastwood amaigri, les cheveux longs et une barbe hirsute, lors d'un événement public dans sa ville de Carmel, en Californie. Mais depuis, l'un de ses 8 enfants reconnus, Scott, a rassuré sur l'état de santé de son père, affirmant que « c'est un survivant, un soldat ». La dernière biographie en date qui lui est consacrée, « Clint », signée du réalisateur Shawn Levy (« La Nuit au musée », « Deadpool et Wolverine »), ne donne apparemment pas plus de détails sur l'éventuel avenir professionnel de l'ex-inspecteur Harry. Mais ce dernier, que l'on sait cinéphile, rêve peut-être de faire aussi bien que Manoel de Oliveira. Ce metteur en scène portugais, qui fut le premier réalisateur centenaire de l'histoire encore en activité, livra son dernier film à 104 ans, deux ans avant de mourir…

Le Figaro

19 hours ago

• Le Figaro

Benedict Cumberbatch dénonce le « gaspillage » qui règne à Hollywood

« Vous n'avez pas besoin de donner de bouteilles en plastique à l'équipe... Nous sommes aux XXIe siècle », dénonce l'acteur britannique. En pleine promotion du long-métrage Les Roses, adaptation du roman La Guerre des Roses de l'écrivain américain Warren Adler, l'acteur Benedict Cumberbatch est revenu sur la « face sombre » de Hollywood. Invité le 22 juillet du podcast Ruthie's Table 4, l'acteur connu pour son rôle de Doctor Strange, a qualifié l'industrie cinématographique « d'extrêmement gaspilleuse ». Pour incarner son personnage de superhéros, Benedict Cumberbatch était contraint de consommer cinq repas par jour et grignoter des aliments riches en protéines comme des œufs durs, du fromage, du beurre d'amande et des craquelins : « Même si vous vous sentez fort, confiant et endurant, je trouve ça horrible de manger au-delà de son appétit [...] Je me dis, mais qu'est-ce que je fais ? Je pourrais nourrir une famille avec la quantité que je mange ». Publicité L'acteur a ensuite pointé du doigt l'empreinte carbone causée par la production de films : « Quand vous pensez aux constructions de décors non recyclés, aux transports, à la nourriture, aux logements mais aussi à la quantité d'électricité pour créer une lumière diurne et constante dans un studio. C'est beaucoup d'énergie ». Des efforts restent à faire sur les plateaux Si Benedict Cumberbatch reconnaît qu'il existe une « hypocrisie » de la part des acteurs et des studios lorsqu'ils s'expriment sur l'écologie, l'acteur incite à sa propre échelle au respect de l'environnement : « Les gens peuvent rapporter leurs propres gourdes d'eau [sur les plateaux de tournages] et boire au robinet si c'est une bonne source. Vous n'avez pas besoin de donner de bouteilles en plastique à l'équipe... Nous sommes aux XXIe siècle ». Après la sortie de la comédie dramatique Les Roses le 27 août, Benedict Cumberbatch enfilera à nouveau son costume de Doctor Strange dans Avengers Dooms dont la projection est prévue pour 2026.