
L'année de M. Fantastique
Au ciné
Materialists
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Dans le deuxième film de Celine Song (Past Lives), Pedro Pascal incarne « un homme parfait en tous points de vue ». C'est dans ces mots que la collègue Manon Dumais décrit le personnage de Harry dans sa critique de Materialists. À la vue des témoignages de ses collègues acteurs, le constat semble être le même pour l'homme. Emma Stone, Robert Downey Jr., Florence Pugh, Vanessa Kirby, Dakota Johnson, Paul Mescal, Chris Evans et d'autres ont mentionné à diverses occasions à quel point Pedro Pascal est gentil, talentueux et honnête. Sa sœur transgenre, Lux, a aussi exprimé sa reconnaissance pour le soutien de son frère. Parmi ses prises de position sociopolitiques, Pedro Pascal a condamné publiquement le génocide à Gaza puis est l'un des signataires d'une lettre ouverte critiquant le « silence » de l'industrie du cinéma par rapport aux actions d'Israël.
En salle et en VSD dès le 22 juillet
Eddington
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Le nouveau film d'Ari Aster (Beau Is Afraid, Midsommar) met en vedette Joaquin Phoenix dans le rôle d'un shérif du Nouveau-Mexique qui souhaite détrôner le maire de la petite ville fictive d'Eddington, Ted Garcia, interprété par Pedro Pascal. L'histoire se déroule en mai 2020, au début de la pandémie de COVID-19. Si leur première mésentente concerne le port du masque, leur discorde s'enflamme rapidement, alimentée par le climat de tension aux États-Unis. Bien qu'il s'illustre dans un rôle de politicien imparfait, mais volontaire, Pedro Pascal n'est à l'écran que quelquefois sur les deux heures trente du drame satirique. Plus tôt cette année, on l'a aussi vu brièvement dans Freaky Tales, d'Anna Boden et Ryan Fleck (Captain Marvel, Half Nelson). Son personnage d'homme de main avec un bon fond est toutefois le liant du film qui raconte quatre histoires interconnectées dans le Oakland de 1987.
En salle
The Fantastic Four – First Steps
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Pedro Pascal intègre l'Univers cinématographique Marvel (MCU) dans le rôle de Reed Richard, alias Mister Fantastic, personnage créé en 1961 par Stan Lee et Jack Kirby. Il est le leader des Quatre Fantastiques, qui comprennent sa femme Sue Storm (Vanessa Kirby), le frère de celle-ci, Johnny (Joseph Quinn), et le meilleur ami de Reed, Ben Grimm (Ebon Moss-Bachrach). Ce n'est pas la première fois que le quatuor fait l'objet d'un film, mais c'est la première fois que son aventure se déroule à l'époque de sa création. Le réalisateur Matt Shakam (Monarch – Legacy of Monsters, WandaVision) situe l'action dans un New York rétrofuturiste, qui est également dans un univers parallèle à celui des autres œuvres du MCU. On reverra Pedro Pascal sous les traits du génial et élastique superhéros dans les deux prochains Avengers, Doomsday et Secret Wars, prévus en décembre 2026 et 2027, respectivement.
Au cinéma le 25 juillet
À la télé
Narcos (2015-2017)
PHOTO FOURNIE PAR NETFLIX
Pedro Pascal dans la peau de l'agent du DEA Javier Peña
Acteur professionnel depuis la fin des années 1990, Pedro Pascal a occupé quantité de rôles mineurs à la télévision avant de devenir une star du petit et du grand écran ; il a notamment participé à des épisodes de Buffy the Vampire Slayer, Law & Order et The Good Wife. Sa performance dans la peau du charismatique prince Oberyn Martell dans la quatrième saison de Game of Thrones, en 2014, l'a finalement révélé au grand public. L'année suivante, il a décroché l'un des rôles principaux de la série Narcos, qui relate l'ascension du narcotrafiquant colombien Pablo Escobar. Pendant trois saisons, Pedro Pascal a interprété l'agent du DEA Javier Peña, qui a réellement traqué le célèbre criminel. La dynamique avec son partenaire campé par Boyd Holbrook est particulièrement captivante.
Sur Netflix
The Mandalorian (2019-2023)
PHOTO FOURNIE PAR LUCASFILM
Grogu et, sous l'armure de Din Djarin, Pedro Pascal
Même sous le casque du chasseur de primes Din Djarin, Pedro Pascal a permis à la première série en prises de vue réelles de l'univers Star Wars de remporter un franc succès. Certes, son adorable compagnon Grogu, mieux connu sous le nom de « Baby Yoda », a immédiatement conquis les téléspectateurs, mais l'acteur mérite une partie du crédit pour avoir si bien rendu leur relation, alors qu'on ne voit pas son visage et qu'il interagit avec une marionnette. Au fil des trois saisons – et de quelques épisodes de The Book of Boba Fett –, l'impassible Mandalorien s'est adouci et est devenu une figure paternelle pour le jeune Grogu. Les deux referont équipe le 22 mai prochain dans le film The Mandalorian and Grogu, réalisé par le créateur de la série, Jon Favreau (Iron Man, The Lion King).
Sur Disney+
The Last of Us (2023-2025)
PHOTO FOURNIE PAR HBO
Bella Ramsey (Ellie) et Pedro Pascal (Joel)
Bien que l'environnement soit fort différent, il y a des similitudes entre les personnages de Pedro Pascal dans The Mandalorian et The Last of Us. Solitaires en raison de ce que le passé leur a pris, ils rejettent au départ toute forme d'attachement, mais s'ouvrent de nouveau grâce à l'espoir et l'innocence que la jeunesse porte en elle. Dans la série inspirée du célèbre jeu vidéo du studio Naughty Dog, Joel Miller est un homme endurci qui survit depuis 20 ans dans un monde postapocalyptique infesté de zombies. Sa rencontre avec Ellie et leur long périple redonne graduellement un sens à sa vie. Bella Ramsey, qui incarne la jeune femme, s'identifie comme non binaire et a été la cible de propos haineux sur les réseaux sociaux. Pedro Pascal est venu à sa défense à maintes reprises. En dépit du destin de leurs personnages, les deux assurent que leur amitié est éternelle.
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Articles connexes


La Presse
6 hours ago
- La Presse
Ces jeunes qui ignorent la culture québécoise
Selon les chiffres de l'Enquête québécoise sur les loisirs culturels et le divertissement, seulement 8 % des jeunes Québécois de 15 à 29 ans regardent du contenu télévisuel québécois. Les résultats de l'Enquête québécoise sur les loisirs culturels et le divertissement préparée par l'Observatoire de la culture et des communications sont déprimants. En gros, on peut y lire que les jeunes de 15 à 29 ans ne sont guère intéressés par la télévision, le cinéma, la littérature et la musique fabriqués au Québec. Ils préfèrent le Made in USA ou le Made in English tout court. Plus de 80 % de ces jeunes choisissent de regarder surtout des films non québécois. Et ce, alors que ce groupe est le plus important à fréquenter les salles de cinéma (89 % des 15 à 29 ans aiment fréquenter les salles obscures). Lisez « Enquête diffusée par l'ISQ : Les contenus télévisuels québécois peinent à s'imposer chez les jeunes » Près de 65 % de ces jeunes préfèrent regarder du contenu télévisuel non québécois, que ce soit à la télévision linéaire, en service de diffusion en continu ou sur des plateformes numériques. À ce sujet, l'enquête précise que 90 % des 15 à 29 ans vivent au sein d'un ménage abonné à des plateformes non québécoises. Du côté de la musique, c'est carrément la catastrophe : moins de 4 % des 15 à 29 ans écoutent « surtout » de la musique d'artistes québécois. De manière plus générale, les chansons en français (provenant d'autres pays francophones) ne réussissent pas à séduire davantage ce groupe. Le rapport ne manque pas de souligner les écarts générationnels dans le domaine de la musique. On apprend que 24 % des 60 à 74 ans et 47 % des 75 ans et plus préfèrent la musique francophone. La littérature affiche le score le plus honorable avec 14,5 % des 15 à 29 ans qui lisent « surtout » des auteurs québécois. Face à cela, je serai lucide, mais tout de même encourageant. Ces données ne me surprennent pas une miette. Ça fait des années que les rapports se multiplient pour dire la même chose. Au cœur de cette situation, il y a évidemment l'influence des réseaux sociaux. Le rapport nous dit que 98 % des 15 à 29 les ont fréquentés au cours des 12 mois précédant l'enquête. Dans ces espaces ludiques, les barrières, notamment linguistiques, tombent. L'anglais triomphe. Combien de fois ai-je entendu au cours des cinq dernières années des parents francophones me dire que leurs enfants ont été initiés à l'anglais de cette façon et qu'ils maîtrisent maintenant mieux cette langue que le français à l'écrit. Prenez ce phénomène et jumelez-le au désintérêt pour la culture québécoise observé (c'est le rapport qui le note à plusieurs reprises) chez les personnes qui ne sont pas nées au Québec. Nous avons là un sacré défi. Bien sûr que cette érosion de l'intérêt pour la culture québécoise est absolument inquiétante. Mais je refuse de blâmer cette génération qui a grandi avec un téléphone intelligent dans la paume de la main. Si, jeune adulte, je me suis abreuvé de culture québécoise sous toutes ses formes, je n'ai aucun mérite. Il y avait un contexte social et politique qui favorisait ça. Aujourd'hui, les jeunes évoluent dans un univers numérique qui leur fait croire que le monde est à leur portée. Nous ne sommes pas les seuls à vivre ce phénomène. Ce qui nous différencie d'autres sociétés, c'est la très grande vulnérabilité de notre culture. C'est pour cela que nous ne pouvons regarder ça passivement. Au cours des dernières années, les jeunes sont devenus à la fois consommateurs et producteurs de culture. Est-ce qu'on comprend suffisamment ce concept ? Le « on » est pour les décideurs du monde de la culture. Faisons-nous correctement les choses et travaillons-nous encore trop souvent selon de vieux modèles ? Je crois que oui. Et la raison est fort simple : le modèle classique de consommation de culture plaît (encore pour le moment) à une population plus âgée qui est indispensable à l'obtention de cotes d'écoute et, incidemment, d'annonceurs et de subventions. Le problème, c'est que nous n'avons pas les moyens de nous offrir un système à plusieurs vitesses qui pourrait pourchasser plusieurs lièvres à la fois. Ça requiert trop de ressources, trop de moyens. Grâce à son confortable budget, Radio-Canada réussit à créer des satellites numériques de toutes sortes pour diversifier son public. Mais pour les médias privés, c'est une autre paire de manches. Je ne vous apprendrai rien en vous disant qu'en matière d'argent public, les pointes de la tarte s'amenuisent à vue d'œil. Cela dit, je suis rassuré par la prise de conscience qui existe. Tant au fédéral qu'au provincial, il y a une volonté d'agir sur tous les fronts. À Québec, tous les partis s'entendent pour dire qu'il faut défendre et protéger la culture québécoise et le travail de ses créateurs. On parle de découvrabilité. C'est une arme qui va aider, mais qui ne réglera pas tout. On parle aussi d'une modernisation des programmes dans le secteur de l'audiovisuel. Le rapport doit être déposé très bientôt. On a hâte de voir ce qu'il contiendra. Ce qu'il faut éviter, c'est un trou. Si la génération actuelle des 15 à 29 ans s'éloigne définitivement de la culture québécoise, il ne sera plus possible de rattraper cela avec celle qui suivra. Il y a un gros travail de transmission générationnelle à faire. Ça tombe bien, c'est exactement ce qui va se produire vendredi soir, à Québec, lors du spectacle L'été de mes chansons de la SuperFrancoFête, où une cinquantaine d'artistes vont raconter 50 ans de chansons. Ariane Roy, Lou-Adriane Cassidy, Lydia Képinski, Les Louanges, Pierre Kwenders, Hubert Lenoir et plusieurs autres vont entourer cinq figures qui vont incarner à leur façon une décennie musicale, de 1975 à aujourd'hui : Michel Rivard, Mara Tremblay, Damien Robitaille, Ariane Moffatt et Pierre Lapointe. Ces gens vont chanter sur une grande scène installée à l'Agora du Port de Québec et le spectacle atterrira en direct sur votre téléphone, votre tablette ou votre ordinateur. Je sais que dans le public, il y aura beaucoup de jeunes, comme ce fut le cas l'été dernier. Le secret d'une victoire est souvent dans le choix du champ de bataille. Consultez le site de l'enquête Consultez la page du spectacle L'été de mes chansons


La Presse
5 days ago
- La Presse
Rendez-moi ma peau !
Plus de 20 ans après avoir échangé leurs corps, une mère et sa fille revivent la même expérience avec la fille et la belle-fille de la seconde. Suite de la troisième adaptation de Freaky Friday (Un vendredi dingue, dingue, dingue en version française), roman de Mary Rodgers, Freakier Friday (Un vendredi encore plus dingue) doit beaucoup au cabotinage inspiré de Jamie Lee Curtis ainsi qu'à la belle complicité qu'elle partage avec Lindsay Lohan, qui effectue un retour triomphant dans l'écurie Disney. Avec un enthousiasme contagieux, toutes deux reprennent les rôles qu'elles tenaient 22 ans plus tôt sous la direction de Mark Waters. Une fois de plus, il y aura un échange de corps à quelques jours d'un mariage. Mais cette fois, les choses seront doublement compliquées. Sur le point d'épouser le célèbre chef cuisinier Eric Reyes (Manny Jacinto), Anna Coleman (Lindsay Lohan), musicienne reconvertie en productrice, se lève un vendredi matin en constatant qu'elle a échangé de corps avec sa fille Harper (Julia Butters), qu'elle a élevée seule – avec l'aide de sa mère Tess (Jamie Lee Curtis), brillante psychologue. Pour sa part, Tess se retrouve dans celui de Lily (Sophia Hammons), fille d'Eric et ennemie jurée de Harper. Alors qu'Anna et Tess tentent de retrouver la voyante (Vanessa Bayer) responsable de ce changement, Harper et Lily tentent de retrouver Jake (Chad Michael Murray), ex-flamme d'Anna, afin de faire échouer le mariage. Pavé mur à mur de bonnes intentions, le scénario de Jordan Weiss et Elyse Hollander reprend non seulement les grandes lignes de Freaky Friday, mais il inverse celles de The Parent Trap, où deux jumelles séparées à la naissance échangeaient leur place pour rabibocher leurs parents. Rappelons que Lindsay Lohan incarnait les fillettes dans la version de 1998, tandis qu'Elaine Hendrix, qu'on retrouve ici dans un rôle secondaire, jouait la méchante belle-mère. Bref, on ne saurait dire que Freakier Friday brille par son originalité. Et pourtant, cette réalisation de Nisha Ganatra (Chutney Popcorn, Late Night) s'avère absolument irrésistible. Au cours des amusantes péripéties du quatuor, truffées de clins d'œil au volet précédent, fusent les blagues à propos des rides, de la peau flasque, des articulations rouillées, des cheveux gris… Dans la bouche de Curtis et Lohan, qui supplantent sans effort leurs pâlottes jeunes partenaires, ces répliques font mouche. Si l'on devine d'emblée comment le tout se conclura, cela n'empêche pas Freakier Friday d'offrir quelques scènes plutôt émouvantes entre les trois générations. N'y manque que l'apparition de Jodie Foster, vedette de la version de 1976, pour satisfaire pleinement les fans de la première heure. En salle


La Presse
5 days ago
- La Presse
Déchéance et renaissance d'une ex-enfant vedette
En 2022, Lindsay Lohan renouait avec le cinéma grâce à Netflix et à sa comédie romantique Falling for Christmas. Ce vendredi, avec la sortie de Freakier Friday, elle revient au grand écran dans un rôle principal pour la première fois en près de 20 ans. L'actrice de 39 ans connaît une renaissance, à laquelle certains ont même donné un nom : la Lohanaissance. Retour sur les hauts et les bas de sa carrière. Enfant vedette IMAGE TIRÉE DU SITE D'IMDB The Parent Trap Lindsay Lohan a 10 ans lorsqu'elle auditionne pour jouer dans The Parent Trap, qui sortira deux ans plus tard, en 1998. C'est sa toute première audition pour un long métrage, et pourtant, le regretté producteur Charles Shyer voit rapidement en elle la fillette qui donnera vie aux sœurs Hallie et Annie. « Celle-ci sera impossible à battre », aurait-il dit à la réalisatrice Nancy Meyers à peine quelques secondes après le début de l'audition, a rapporté The Hollywood Reporter, en 2012. Inspirée d'un roman d'Erich Kästner sorti en 1949, l'histoire, qui suit deux jumelles identiques séparées à la naissance se rencontrant par hasard dans un camp de vacances, a fait l'objet de quelques adaptations au fil des années. La version de 1998 a toutefois marqué l'imaginaire de toute une génération et l'interprétation de Lindsay Lohan y est certainement pour beaucoup. On se souvient encore de notre étonnement lorsque, enfant, on a appris que les deux fillettes n'étaient en fait qu'une seule actrice ! Même un haut placé chez Disney a été dupé, a raconté Lindsay Lohan, dans une entrevue à l'émission Watch What Happens Live With Andy Cohen, en novembre dernier. Sur le tapis rouge de la première, il lui aurait demandé : « Où est ta jumelle ? » Au sommet PHOTO MICHAEL GIBSON, FOURNIE PAR PARAMOUNT PICTURES Lacey Chabert, Rachel McAdams, Lindsay Lohan et Amanda Seyfried dans Mean Girls Au début des années 2000, les projets se succèdent pour Lindsay Lohan. L'actrice, bientôt adulte, est la tête d'affiche de plusieurs longs métrages : Freaky Friday (2003), Mean Girls (2004), Confessions of a Teenage Drama Queen (2004), Herbie : Fully Loaded (2005), Just My Luck (2006)… Le film pour adolescents Mean Girls, dans lequel elle joue aux côtés de Rachel McAdams, a particulièrement laissé sa marque dans la culture populaire. Il a été transposé en comédie musicale en 2017 et une nouvelle version du long métrage, dans laquelle Lindsay Lohan fait une apparition surprise, est sortie en salle l'an dernier. Certains célèbrent même la journée « Mean Girls », le 3 octobre. Pourquoi ce jour du calendrier ? Car il est nommé dans une scène où le personnage de Lindsay Lohan se rapproche – tranquillement – du garçon pour qui elle a le béguin. À la une des tabloïds PHOTO ARCHIVES AGENCE FRANCE-PRESSE Lindsay Lohan se rendant en cour en 2011 « J'en ai marre d'être suivie. Je suis fatiguée que les gens mentent à mon sujet », chante Lindsay Lohan sur Rumors, extrait de son album Speak, sorti en 2004 – car oui, l'actrice a aussi mené une brève carrière musicale. La popularité grandissante de la jeune femme attire les paparazzis, qui traquent ses moindres faits et gestes. Elle fait la une des tabloïds à de nombreuses reprises, notamment en raison d'arrestations en lien avec sa consommation d'alcool et de drogues. Ses démêlés avec la justice sont racontés en détail dans les journaux de l'époque. Sa vie amoureuse fait également couler beaucoup d'encre. Les magazines à potins suivent avec intérêt la querelle l'opposant à l'actrice Hilary Duff, qui aurait débuté en raison d'une idylle avec le chanteur aujourd'hui disparu Aaron Carter. Dans une récente entrevue accordée au quotidien britannique The Times, elle est revenue sur cette période où elle se sentait constamment traquée par les tabloïds. « Je ne veux jamais que ma famille soit chassée par les paparazzis comme je l'ai été. […] Ç'a été des moments terrifiants dans ma vie – j'ai développé un syndrome de stress post-traumatique extrême à cause de ces évènements. » Extrait de Rumors Video Player is loading. Play Video Play Skip Backward Skip Forward Mute Current Time 0:00 / Duration 0:00 Loaded : 0% 0:00 Stream Type LIVE Seek to live, currently behind live LIVE Remaining Time - 0:00 Picture-in-Picture Fullscreen This is a modal window. Beginning of dialog window. Escape will cancel and close the window. 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Je peux avoir une vie privée », a-t-elle confié à l'émission Entertainment Tonight, en 2017. Là-bas, elle fait la rencontre du financier Bader Shammas, avec qui elle se marie en 2022. L'année suivante, elle donne naissance à un garçon. Sa vie professionnelle prend également un nouveau tournant. Elle signe un contrat avec Netflix et apparaît dans trois comédies romantiques : Falling for Christmas (2022), Our Little Secret (2024) et Irish Wish (2024). « J'ai toujours voulu faire des films du genre – des films qui rendent les gens heureux et qui sont rassembleurs », a-t-elle affirmé au sujet de ces projets dans une grande entrevue accordée au magazine Elle, en mai dernier. Comment a-t-elle réussi à décrocher ce contrat avec Netflix ? « J'ai manifesté mon intérêt. Pendant la COVID, je disais : je veux travailler avec Netflix. Je l'écrivais dans mon journal, je le disais à voix haute. Et c'est ce qui est arrivé », a-t-elle raconté dans cette même entrevue. Retour au grand écran PHOTO GLEN WILSON, FOURNIE PAR DISNEY Jamie Lee Curtis et Lindsay Lohan dans Freakier Friday Cet été, Lindsay Lohan est de retour au grand écran dans Freakier Friday, suite de Freaky Friday. Aux côtés de son amie Jamie Lee Curtis, qui joue de nouveau sa mère, elle reprend le rôle d'Anna. À l'instar de son interprète, l'adolescente rebelle est devenue mère. Dans le scénario, on retrouve plusieurs éléments du film de 2003 : des personnages qui changent de corps, des relations familiales conflictuelles, un mariage menacé… De nombreux clins d'œil qui plairont sûrement aux milléniaux nostalgiques, mais qui pourraient être perçus comme un manque d'originalité. Anna, et par le fait même Lindsay Lohan, renoue aussi avec la musique dans le film avec une nouvelle performance du groupe – fictif – Pink Slip. Quel est le prochain projet de l'actrice ? Elle jouera dans la série télévisée Count my Lies, adaptation d'un roman de Sophie Stava en développement. « Ce sera bien de faire quelque chose de différent », a-t-elle confié au magazine Elle sur ce rôle plus dramatique que ce qu'elle a joué par le passé. Freakier Friday, en salle