
Prêts pour un réseau social québécois
Blâmer le Canada, vous êtes sérieux, là ?
Quel travail ingrat que celui d'employé de l'ambassade du Canada à Washington ! Le président des États-Unis est en guerre contre votre pays. Il est imprévisible. Et colérique. Et vous, en toutes circonstances, vous devez garder votre calme. Ne jamais dire un mot plus haut que l'autre. Demeurer courtois même quand on cherche à vous humilier.
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La Presse
an hour ago
- La Presse
« Une triste première », selon le gouvernement Legault
Le cabinet du ministre responsable de la Lutte contre le racisme, Christopher Skeete, a qualifié de « triste première » la considération d'un rapport adapté aux réalités des criminels racisés dans la détermination d'une peine. « Bien que nous respections pleinement l'indépendance judiciaire, ce jugement soulève des questions fondamentales sur l'égalité des citoyens devant la justice. Créer deux classes de citoyens, selon leur origine, est préoccupant », a réagi le cabinet du ministre de la Lutte contre le racisme, Christopher Skeete. La Presse rapportait mercredi matin que, pour la première fois de l'histoire judiciaire du Québec, une peine avait été déterminée en se basant sur un rapport d'évaluation de l'impact de l'origine ethnique ou culturelle (EIOEC) – une analyse présentencielle spécifique aux criminels racisés, qui met l'accent sur les barrières systémiques. Lisez l'article « Sentence réduite d'un an : Une première peine adaptée aux criminels racisés au Québec » Le 28 juillet, la juge Magali Lepage a rendu une décision sur sentence dans le dossier de Frank Paris, un homme noir qui avait notamment plaidé coupable à des chefs de trafic de cannabis et de haschich. Après la lecture de l'évaluation, la juge a décidé d'accepter la suggestion de la défense, soit 24 mois de détention, presque un an plus courte que celle de la poursuite. « Nous devons apprendre. Nous devons nous adapter », avait-elle écrit dans sa décision. « Le système doit demeurer juste et impartial » « Le système de justice québécois doit demeurer juste et impartial. L'idée que l'origine ethnique puisse influencer la sévérité d'une peine remet en question le principe fondamental d'égalité devant la loi », peut-on également lire dans la déclaration. On appelle aussi à « une réflexion collective sur les implications de cette décision ». Le cabinet du ministre de la Justice, Simon Jolin-Barrette, a pour sa part choisi de ne pas réagir puisqu'il s'agit d'un dossier judiciarisé. Le Parti libéral a fait de même, disant vouloir prendre le temps d'analyse le jugement avant de commenter. Au moment où ces lignes étaient écrites, le Parti québécois et Québec solidaire n'avaient pas encore réagi.


La Presse
2 hours ago
- La Presse
Les rebelles du M23 ont tué plus de 300 civils le mois dernier, selon l'ONU
Au début de l'année, le M23 s'est emparé de deux villes clés de l'est du pays avec l'aide des forces rwandaises voisines. La République démocratique du Congo est depuis longtemps en proie à un conflit meurtrier dans sa portion est, riche en minerais, qui implique plus de 100 groupes armés. (Dakar) Les rebelles ont tué au moins 319 personnes le mois dernier dans l'Est de la République démocratique du Congo (RDC), a déclaré mercredi le Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l'homme, décrivant ce bilan comme l'un des plus importants jamais recensés dans ce type d'attaques depuis la réapparition des rebelles du M23 en 2022. Associated Press Citant des témoignages de première main, le Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l'homme, Volker Türk, a affirmé dans un communiqué que les rebelles, soutenus par des membres des Forces de défense rwandaises, ont ciblé quatre villages du territoire de Rutshuru, dans la province du Nord-Kivu, entre le 9 et le 21 juillet. La poursuite des violences pourrait menacer les efforts menés par le Qatar pour amener la RDC et les rebelles à signer un accord de paix permanent d'ici le 18 août. L'une des conditions de l'accord est la protection des civils et le retour en toute sécurité des millions de personnes déplacées par le conflit. Le M23 et le gouvernement rwandais n'ont pas réagi dans l'immédiat. Au début de l'année, le M23 s'est emparé de deux villes clés de l'est du pays avec l'aide des forces rwandaises voisines. La République démocratique du Congo est depuis longtemps en proie à un conflit meurtrier dans sa portion est, riche en minerais, qui implique plus de 100 groupes armés. Le 19 juillet, les deux parties ont signé une déclaration de principes au Qatar pour mettre fin aux combats et s'engager à un accord de paix global qui comprendrait le rétablissement des autorités de l'État dans les principales villes de l'Est contrôlées par les insurgés. Le nouveau communiqué de l'ONU indique que des attaques meurtrières ont eu lieu dans les jours qui ont suivi cette signature. Selon le Haut-Commissariat, la majorité des victimes étaient des agriculteurs locaux, dont au moins 48 femmes et 19 enfants. « Je suis consterné par les attaques contre les civils perpétrées par le M23 et d'autres groupes armés dans l'est de la RDC, alors que les combats se poursuivent, malgré le cessez-le-feu récemment signé à Doha », a déclaré Volker Türk, appelant à la cessation immédiate des attaques contre les civils.


La Presse
2 hours ago
- La Presse
Opération à la suite d'un appel menaçant
L'appel est entré aux environs de 8 h 40, selon le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM). Une opération a eu lieu au palais de justice de Montréal mercredi matin à la suite d'un appel menaçant. Plusieurs personnes se sont massées autour de l'édifice, alors que l'accès y était interdit. L'appel est entré aux environs de 8 h 40, selon le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM). On ignore la nature des menaces proférées. « Présentement, nous sommes en mode validation d'informations. Les constables spéciaux font des vérifications. Le SPVM est sur place en support », avait expliqué l'agente Jeanne Drouin, porte-parole du corps policier. L'agente Drouin avait précisé que le palais de justice n'a pas été évacué, mais qu'il n'était pas impossible d'y entrer, le temps que l'opération suive son cours. Ainsi, des dizaines de personnes se sont retrouvées à l'extérieur autour de l'édifice, alors que des constables spéciaux surveillaient les divers accès.