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DIRECT – Gaza: Israël «autorisera» les Gazaouis à émigrer à l'étranger, affirme Netanyahu

DIRECT – Gaza: Israël «autorisera» les Gazaouis à émigrer à l'étranger, affirme Netanyahu

24 Heuresa day ago
Hier, 15h48
L'Union européenne et 24 pays, dont la Suisse, ont dénoncé mardi une situation de «famine» à Gaza. Ils ont appelé à agir de manière «urgente» pour y mettre fin.
Des Palestiniens, principalement des enfants, se pressent pour recevoir un repas chaud dans une cuisine caritative du quartier de Mawasi, à Khan Younès, dans le sud de la bande de Gaza, le 22 juillet 2025.
AFP
«La détresse humanitaire à Gaza a atteint un niveau inimaginable. Une famine se déroule sous nos yeux», écrivent l'UE et 24 pays dans un communiqué commun. Ces États exhortent Israël à «autoriser tous les convois d'aide humanitaire des ONG internationales et à lever les obstacles qui empêchent les humanitaires d'intervenir».
«La Suisse s'est jointe à d'autres Etats dans une déclaration exprimant sa profonde préoccupation face aux nouvelles restrictions d'enregistrement imposées aux ONG, qui pourraient contraindre des acteurs humanitaires essentiels à quitter les Territoires palestiniens occupés, aggravant ainsi la crise à Gaza», écrit le Département fédéral des affaires étrangères (DFAE) sur X.
La déclaration appelle à un accès sûr et à grande échelle de l'aide humanitaire, à la protection des civils et des travailleurs humanitaires, à un cessez-le-feu durable et à la libération de tous les otages, ajoute-t-il.
À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. L'UE est divisée
Cette déclaration a été signée par les ministres des affaires étrangères des pays suivants: Australie, Belgique, Canada, Chypre, Danemark, Estonie, Finlande, France, Grèce, Islande, Irlande, Japon, Lituanie, Luxemburg, Malte, Pays-Bas, Norvège, Portugal, Slovaquie, Slovénie, Espagne, Suède, Suisse et Royaume-Uni.
On y trouve 17 États membres de l'UE, dont la France, mais pas l'Allemagne. Les Vingt-Sept se sont montrés particulièrement divisés sur l'attitude à adopter vis-à-vis d'Israël depuis le début de sa guerre à Gaza contre le Hamas, en réplique à l'attaque sans précédent menée le 7 octobre 2023 sur le sol israélien par ce mouvement islamiste palestinien.
Plusieurs pays, dont l'Allemagne, ont longtemps insisté sur le droit d'Israël à se défendre, dans le respect du droit international, tandis que d'autres, comme l'Espagne, dénoncent un «génocide» à l'encontre des Palestiniens de Gaza. Berlin a toutefois amorcé un changement de cap majeur vendredi, en annonçant suspendre les exportations d'armes qu'Israël pourrait utiliser à Gaza.
Au sein même de la Commission, les lignes commencent elles aussi à bouger. Dans une interview donnée à Politico, sa vice-présidente Teresa Ribera a estimé que la situation à Gaza «ressemblait beaucoup» à un «génocide».
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L'Hongrin, un atout pour le tourisme des Alpes vaudoises
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time35 minutes ago

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L'Hongrin, un atout pour le tourisme des Alpes vaudoises

Moins réputé que certains barrages valaisans, l'ouvrage vaudois permet de randonner, pêcher, rouler, camper ou simplement flâner à ses abords, dans un panorama de rêve. Découverte. Publié aujourd'hui à 10h26 Avec sa double voûte, le barrage de l'Hongrin offre une silhouette en «cœur». Dans son écrin de nature et les montagnes environnantes, sa silhouette n'en est que plus photogénique. Chantal Dervey En bref: Quand vous posez la question à l'Office du tourisme des Mosses, le barrage de l'Hongrin n'est pas à proprement parler une attraction touristique. Pourtant, au fil des lacets, que ce soit, à distance, par la route du sud du lac ou par celle, cabossée de, 6 km qui mène à l'ouvrage, vous trouverez une aire d'arrêt à chaque fois que la vue se dégage totalement sur la double voûte en béton. Ses courbes aux allures de «cœur» ont de quoi ravir les amateurs de selfies et de réseaux sociaux, sans compter le panorama à couper le souffle, avec son plan d'eau, ses fermes et leurs vaches en pâture, la forêt et les sommets environnants. Un bonheur pour les randonneurs. Après être descendu de quelque 500 marches à l'intérieur du barrage, on prend mieux la mesure du monstre de béton et de la puissance qui s'en dégage. Le directeur des Forces motrices Hongrin-Léman, , savoure. Chantal Dervey Une fois posté au sommet des murs du barrage, le contrechamp est tout aussi photogénique, avec cette impression de force supplémentaire que dégage l'ouvrage du haut de ses deux pans de 95 et 123 mètres, retenant 52 millions de m³ d'eau à 1255 mètres d'altitude, à la frontière de Château-d'Œx et Ormont-Dessous. Les privilégiés ressentiront ce même sentiment d'immensité écrasante en descendant les quelque 500 marches intérieures pour se rendre au pied du monstre construit en 1970, non sans passer devant un segment de sa conduite géante. Les murs du barrage abritent des kilomètres de galeries. Chantal Dervey «Un atout» Selon Nicolas Rouge, responsable des Forces motrices Hongrin-Léman ( FMHL ), «quand on veut construire un barrage aujourd'hui, on rencontre beaucoup d'oppositions, mais avec le temps, les gens y voient davantage un atout multiusage, notamment pour le tourisme, la pêche, des lieux de pique-nique, du paddle, etc.» Certains homologues valaisans sont toutefois plus prisés. Ils ont parfois même fait le pas d'accueillir des activités ludiques, on pense notamment à la tyrolienne de la Grande Dixence. Possible à l'Hongrin? «Nous n'avons reçu aucune sollicitation de ce genre», répond Nicolas Rouge. Le barrage de l'Hongrin et le lac du même nom sont de belles motivations pour s'attaquer à l'une des belles randonnées prévues dans la bucolique vallée vers les sommets environnants. Chantal Dervey Le directeur préfère insister sur les avantages énergétiques du barrage vaudois: les 700 millions de kilowattheures annuels (l'équivalent de la consommation de 150'000 ménages), les 8 kilomètres de galeries jusqu'au Léman et aux usines de Veytaux , les 900 mètres de chute pour produire le courant. «Et une spécificité: la possibilité de pomper l'eau du Léman et de la remonter à l'Hongrin pour la stocker selon les besoins, ce qui en fait une véritable batterie.» Une nature sauvage Mais laissons de côté les aspects techniques. Dès que vous quittez la route cantonale à La Lécherette, vous pénétrez dans un sanctuaire de nature qui fait vite oublier que l'on se trouve en zone militaire . En optant pour la droite depuis la caserne, vers le barrage, vous faites le choix de la tranquillité, en laissant sur le versant sud du lac la circulation plus fournie venant de Corbeyrier et des Agittes. Javier Agraso vient régulièrement depuis Delémont pour profiter de l'Hongrin, sur son vélo ou à bord de son van. Chantal Dervey Javier Agraso l'a bien compris. L'Espagnol, qui vit à Delémont (JU), stoppe son vélo et s'en explique: «Je viens faire découvrir la région à des amis. On est partis de Montbovon, passés par le barrage (ndlr: qu'on atteint via un tunnel dans la montagne) et on va en direction du Pillon. Ici, j'adore, il y a peu de trafic, on peut causer en roulant.» En temps normal, le Jurassien vient plutôt avec son van et sa tente de toit. «J'adore me réveiller dans une nature sauvage, avec quasi personne, même si certaines belles journées peuvent être plus chargées», ajoute le planificateur de métier de 34 ans. Un havre pour les pêcheurs Le lac de l'Hongrin offre aussi de beaux spots aux pêcheurs de montagne . Deux intrépides sont carrément descendus au pied du barrage, dans la caillasse et une pente ardue. Louis Dubath préfère les berges plus vertes et à l'abri des regards, comme l'embouchure du Petit Hongrin. L'étudiant de la Haute École de gestion d'Yverdon, 24 ans, habitant de La Tour-de-Peilz, est un habitué, même si d'autres lacs de montagne ont davantage ses faveurs. «Ceux où il faut marcher et suer. Ici, on peut venir en voiture, alors forcément, il y a davantage de monde. Entre pêcheurs, on est toujours courtois, mais on aime bien être seuls.» Louis Dubath est un adepte de la pêche en montagne et vient parfois lancer sa ligne dans le lac de l'Hongrin aux abords duquel il trouve «le silence et la part de mystère» qu'il aime tant. Chantal Dervey Il trouve tout de même à l'Hongrin «le silence et la part de mystère» qu'il aime tant. Au bout de sa canne, il sort des perches, truites arc-en-ciel et fario, et même des brochets. «Avec le réchauffement climatique, de nouvelles espèces se sont développées, introduites ou non», ajoute le Boéland. Au sujet des barrages, son discours se fait un peu plus engagé: «Ils ont du bon et du moins bon. Les lacs créent des biotopes magnifiques, de l'énergie verte, mais font aussi des dégâts écologiques, avec un mur là où il n'y en a pas, et des vidanges.» En effet, les puissants mouvements d'eau qui s'opèrent lorsque le barrage est vidangé peuvent s'avérer destructeurs pour les frayères, et mortifères pour les poissons. Un «raton laveur» en observation Eric Cherix aussi aime poser ses gaules au bord du lac, notamment sur la petite presqu'île dite du «tronc à Costa». «Ça vient du nom du gars qui avait laissé sa bouteille près d'un tronc et qui avait dû aller la chercher dans le lac après une montée des eaux», se marre le sympathique retraité. Peu de gens connaissent la zone de l'Hongrin aussi bien que lui. Eric Cherix, alias «Raton laveur», y a ses habitudes depuis une quarantaine d'années. Chantal Dervey Pour les connaisseurs, Eric fait partie intégrante de l'écosystème de l'Hongrin, lui qui le fréquente depuis une quarantaine d'années. Il y réside une partie de l'année depuis qu'il ne travaille plus à la Voirie de Montreux. «Appelez-moi «Raton laveur», c'est le nom sous lequel beaucoup me connaissent», lance-t-il alors qu'il chemine vers la ferme de la famille Favre pour refaire le plein de lait avec son bidon. La passion des débuts n'a pas faibli, si ce n'est qu'il a troqué la tente des débuts contre un van. Personne ne connaît l'Hongrin et son barrage mieux que lui. «Il y a une dizaine d'années, le lac s'était retrouvé complètement vide, raconte-t-il encore, c'était impressionnant. Y a des chalets là au fond, même une chapelle!» Les FMHL comptent d'ailleurs sur lui pour garder un œil sur le barrage, étant donné que leurs employés n'y sont pas en permanence. Un plaisir pour Eric Cherix, qui s'ajoute à un autre: «Ils s'arrêtent parfois au bus pour boire l'apéro.» Une route cabossée de 6 km, mais tout à fait praticable en voiture, permet d'atteindre le sommet des murs du barrage de l'Hongrin. Chantal Dervey L'Hongrin, du barrage au Léman, du lac à Veytaux Newsletter «La semaine vaudoise» Retrouvez l'essentiel de l'actualité du canton de Vaud, chaque vendredi dans votre boîte mail. Autres newsletters Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

DIRECT – Gaza: l'armée israélienne a «approuvé» le nouveau plan des opérations pour Gaza
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C'est vous qui le dites 14 août: Suisse-USA, économies dans les petits hôpitaux, quartier dense
C'est vous qui le dites 14 août: Suisse-USA, économies dans les petits hôpitaux, quartier dense

24 Heures

time3 hours ago

  • 24 Heures

C'est vous qui le dites 14 août: Suisse-USA, économies dans les petits hôpitaux, quartier dense

Opinion Retrouvez ici votre courrier des lecteurs du 14 août. 24 heures / lecteurs Publié aujourd'hui à 07h36 Facile de donner des leçons Quelques heures après l'annonce du clash des 39% auront suffi pour que certains partis politiques critiquent sévèrement le Conseil fédéral dans la gestion de ce dossier. L'UDC a notamment argumenté que la priorité avait été donnée à nos relations avec l'Europe au détriment des États-Unis. Pourtant les personnes compétentes en la matière semblent d'avis que les relations politiques et économiques avec ce pays étaient tout à fait normales jusqu'à début 2025. D'ailleurs, avant l'annonce des 39%, l'optimisme était de rigueur tant du côté suisse que du côté d'experts américains très au courant des relations entre nos deux pays. Les diplomates américains, qui ont négocié avec la Suisse, avaient compris les arguments du Conseil fédéral pour fixer une taxe raisonnable. Mais il est évident qu'ils n'ont pas été suivis par leur président, qui a pris sa propre décision basée sur ce qu'il est capable de comprendre. De plus, il n'avait malheureusement pas le temps d'écouter les arguments de notre présidente, au demeurant fort sympathique d'après lui. Il est donc facile de mettre l'échec des négociations sur le compte du Conseil fédéral et de son équipe de négociateurs. Mais tant que cet individu sera à la tête de ce pays, toute négociation selon les règles habituelles sera illusoire, voire impossible. Par conséquent, les donneurs de leçons feraient bien de mettre leurs critiques en sourdine, d'être plutôt constructifs et de trouver rapidement des solutions pour assurer l'avenir économique de notre pays. François Bonjour, Chexbres Santé La politique dictée par des comptables La conseillère d'État Rebecca Ruiz apporte son plein soutien aux décisions irresponsables de ses équipes touchant tant la Fondation Rive-Neuve que les Pôles Santé de la vallée de Joux et du Pays-d'Enhaut. Relisant l'article du 23 juillet, je pense d'ailleurs qu'il est désormais de la responsabilité des malades de l'être ou de ne pas l'être, de consulter ou de ne pas consulter, afin d'équilibrer impérativement le budget de la santé. C'est une première! La politique, au sens noble du terme, est dictée par les comptables! Demain, ils supprimeront la première année primaire dont les coûts grèvent le budget de l'école. Demanderont-ils aux malfaiteurs d'être moins entreprenants pour alléger celui de la police? Il ne faut pas confondre arithmétique et politique, ni s'abriter derrière les chiffres pour supprimer trois hôpitaux. Durant deux ans, les délégués de l'État ont accompagné, conseillé voire contraint le Pôle Santé du Pays-d'Enhaut, ceci pour qu'en pleines vacances, une lettre circulaire annonce brutalement son démembrement. Et personne pour prendre en compte les surcoûts en temps et argent assumés par les habitants de ces régions décentrées; ils n'ont pas le bus ou le métro à deux pas pour aller faire leurs minutes de radiothérapie! Il est temps d'établir une économétrie de la santé qui prenne en compte simultanément bénéfices et coûts. Il est temps surtout de souligner que les politiques sont là pour la population qui les élit et non pour les experts qu'ils désignent. Dr Eric Rochat, Saint-Légier Yverdon-les-Bains Densifiez, qu'ils disaient. Pour être dense, il est dense, le quartier de Clendy-Dessous, à Yverdon («24 heures» du 26 juillet)! Neuf rangées de bâtiments corsetés entre deux voies de chemin de fer, l'arrière des maisons de la rue de Clendy et une route. Aucun arbre (impossible au-dessus du parking) et audacieusement, ironiquement, pompeusement baptisé «Les Jardins de Clendy»! Juste un peu d'herbe et quelques buissons. Les jardins, c'était avant: des vergers, des jardins potagers, quelques petites maisons, de l'espace et même une petite forêt très appréciée des promeneurs. Les arbres abattus doivent être remplacés, c'est le règlement. Où sont-ils? À la place, beaucoup de béton. Pas très écologique! Par quel tour de passe-passe ce projet a-t-il pu être accepté? Il y aura souvent des déménagements! Jacqueline Pillard, Yverdon-les-Bains Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

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