logo
DIRECT – Gaza: Cinq journalistes d'Al Jazeera tués dans une frappe

DIRECT – Gaza: Cinq journalistes d'Al Jazeera tués dans une frappe

24 Heures11-08-2025
Accueil | Monde | Israël/Hamas |
L'armée israélienne a annoncé se préparer «à prendre le contrôle de la ville de Gaza». Un plan qui suscite de vives réactions. Notre direct. Etonam Ahianyo avec AFP, ATS Publié aujourd'hui à 08h02
Nos articles sur la guerre à Gaza
07h33
Al Jazeera a annoncé la mort de cinq de ses journalistes dimanche lors d'une frappe israélienne dans la bande de Gaza, dont un reporter bien connu de ses téléspectateurs que l'armée israélienne a reconnu avoir ciblé, le qualifiant de «terroriste».
Au moment où le gouvernement israélien se montre déterminé à mettre en oeuvre son nouveau plan d'opération dans le territoire palestinien dévasté et affamé par 22 mois de guerre, la chaîne basée au Qatar a fait état de «ce qui semble être une attaque ciblée israélienne» sur une tente utilisée par ses journalistes à Gaza-ville, devant l'hôpital al-Chifa.
Près de 200 journalistes ont été tués dans la guerre lancée en représailles à la sanglante attaque du Hamas du 7 octobre 2023, selon Reporters sans frontières.
AFP/SAID KHATIB
Elle a fait part du décès de ses correspondants Anas al-Sharif et Mohammed Qreiqeh, ainsi que des cameramen Ibrahim Zaher, Mohammed Noufal et Moamen Aliwa.
Leurs noms s'ajoutent à la liste des près de 200 journalistes, selon Reporters sans frontières, tués dans la guerre lancée en représailles à la sanglante attaque du mouvement palestinien Hamas du 7 octobre 2023. Anas al-Sharif, 28 ans, était l'un des visages les plus connus parmi les correspondants couvrant au quotidien le conflit à Gaza.
L'armée israélienne a confirmé l'avoir ciblé, le qualifiant de «terroriste» qui «se faisait passer pour un journaliste». Il «était le chef d'une cellule terroriste au sein de l'organisation terroriste Hamas et était responsable de la préparation d'attaques de roquettes contre des civils israéliens et les troupes» israéliennes, a-t-elle affirmé sur Telegram.
07h00
Vous pouvez retrouver notre précédent live sur la guerre à Gaza ici.
Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.
Orange background

Essayez nos fonctionnalités IA

Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :

Commentaires

Aucun commentaire pour le moment...

Articles connexes

Les visas de plus de 6000 étudiants étrangers révoqués aux Etats-Unis
Les visas de plus de 6000 étudiants étrangers révoqués aux Etats-Unis

24 Heures

timean hour ago

  • 24 Heures

Les visas de plus de 6000 étudiants étrangers révoqués aux Etats-Unis

Parmi les motifs invoqués par le gouvernement figurent des infractions à la loi ou la participation à des manifestations pro-palestiniennes. Publié aujourd'hui à 14h22 Le secrétaire d'Etat américain Marco Rubio a révoqué nombre de visas d'étudiants ayant mené des manifestations critiques à l'égard de l'offensive israélienne dans la bande de Gaza. AFP Les Etats-Unis ont révoqué les visas de plus de 6000 étudiants étrangers depuis le durcissement des règles imposées par l'administration Trump pour lutter notamment contre l'immigration illégale, a indiqué lundi un responsable américain. La raison principale a été «pour dépassement de la durée de séjour autorisée et violation de la loi», a indiqué ce responsable du département d'Etat sous couvert d'anonymat, soulignant que dans «la grande majorité des cas», il s'agissait «d'agression, de conduite en état d'ivresse, de cambriolage et de soutien au terrorisme». Environ «4000 de ces 6000 visas ont été révoqués parce que ces visiteurs ont enfreint la loi», a-t-il précisé. Étudiants militants visés Le secrétaire d'Etat américain Marco Rubio a aussi révoqué nombre de visas d'étudiants ayant mené des manifestations critiques à l'égard de l'offensive israélienne dans la bande de Gaza. En mars dernier, il déclarait révoquer quotidiennement des visas, affirmant à propos des étudiants étrangers militants: «Chaque fois que je trouve l'un de ces fous, je leur retire leur visa». Selon un décret pris dès le premier jour de sa présidence en janvier, Donald Trump avait appelé à un contrôle accru des personnes entrant aux Etats-Unis pour s'assurer qu'elles «n'aient pas d'attitudes hostiles envers ses citoyens, sa culture, son gouvernement, ses institutions ou ses principes fondateurs». Depuis lors, l'administration Trump s'est engagée dans une série de batailles contre les universités, annulant des milliers de visas et s'en prenant à des universités de renom suspectées d'aller à l'encontre des intérêts de politique étrangère des États-Unis. Visas étrangers aux Etats-Unis Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters AFP Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

DIRECT – Ukraine: Macron évoque Genève pour la rencontre Zelensky-Poutine
DIRECT – Ukraine: Macron évoque Genève pour la rencontre Zelensky-Poutine

24 Heures

time7 hours ago

  • 24 Heures

DIRECT – Ukraine: Macron évoque Genève pour la rencontre Zelensky-Poutine

Donald Trump a affirmé lundi avoir «commencé les préparatifs» d'une rencontre entre Volodymyr Zelensky et Vladimir Poutine. Notre direct. Sonia Imseng - avec ATS et AFP Publié: 18.08.2025, 08h34 Mis à jour il y a 17 minutes Nos derniers articles sur la guerre en Ukraine: 08h59 La rencontre entre Volodymyr Zelensky et Vladimir Poutine devrait avoir lieu en Europe, a indiqué le président français Emmanuel Macron. Il plaide pour qu'elle se tienne à Genève. Le président français Emmanuel Macron s'exprime après une vidéoconférence sur l'Ukraine depuis le Fort de Brégançon, le 13 août 2025. AFP «Plus qu'une hypothèse, c'est même la volonté collective», a déclaré Macron dans un entretien diffusé mardi sur LCI, interrogé sur la tenue en Europe de cette rencontre annoncée à l'issue de la réunion à Washington entre Donald Trump et plusieurs dirigeants européens. «Ce sera un pays neutre, et donc peut-être la Suisse, je plaide pour Genève, ou un autre pays. La dernière fois qu'il y a eu des discussions bilatérales, c'était à Istanbul», a-t-il rappelé. Sur la sécurité de l'Ukraine, le chef de l'État a annoncé l'organisation, avec le Royaume-Uni, d'une réunion dès ce mardi à midi de la «coalition des volontaires», «les 30 pays qui travaillent sur des garanties de sécurité pour les tenir au courant de ce qui a été décidé». 02h33 Le président finlandais Alexander Stubb a estimé lundi à Washington que son homologue russe n'était «pas digne de confiance», à l'issue d'une réunion à la Maison Blanche avec le président américain, le chef de l'Etat ukrainien et d'autres dirigeants européens. «Poutine est rarement digne de confiance. Il reste donc à voir s'il a le courage de venir à ce type de réunion. A-t-il le courage de venir à une réunion trilatérale, ou essaie-t-il encore une fois de gagner du temps ?», a dit Alexander Stubb devant la presse finlandaise. 02h27 Les alliés occidentaux de Kiev vont formaliser «d'ici dix jours» les garanties de sécurité pour l'Ukraine afin de prévenir toute nouvelle attaque russe sur ce pays en cas d'accord de paix avec Moscou, a déclaré lundi à Washington le président ukrainien Volodymyr Zelensky. «Les garanties de sécurité seront probablement décidées par nos partenaires et il y aura de plus en plus de détails, car tout sera couché sur papier et officialisé (…) d'ici une semaine à dix jours», a-t-il indiqué à l'issue de négociations à la Maison Blanche avec Donald Trump et des dirigeants européens. 01h56 Emmanuel Macron a affirmé lundi que la question des concessions territoriales éventuelles de l'Ukraine n'avait pas été abordée lors des discussions à la Maison Blanche avec les présidents américain Donald Trump et ukrainien Volodymyr Zelensky, ainsi que d'autres responsables européens. «Nous n'avons pas parlé de ce sujet du tout aujourd'hui», a déclaré le président français à des journalistes. «Et pour deux raisons. D'abord, la priorité c'est les garanties de sécurité et, ensuite, on a dit +c'est ce qui doit être discuté en bilatéral et en trilatéral+». Le président français a ajouté que l'une des garanties de sécurité qui devra accompagner tout accord de paix avec la Russie sera une armée ukrainienne «robuste» capable de dissuader toute nouvelle attaque. «J'ai pu revenir cet après-midi sur le contenu de ces garanties de sécurité qui sont une armée ukrainienne robuste, qui puisse résister à toute tentative d'attaque et qui la dissuade, et donc pas de limitations en nombre, en capacité, en armement», a-t-il déclaré. 01h56 Emmanuel Macron a appelé lundi à «augmenter les sanctions» contre la Russie si les négociations sur l'Ukraine venaient à échouer, à l'issue d'une réunion à la Maison Blanche avec le président américain Donald Trump, le chef de l'Etat ukrainien Volodymyr Zelensky et d'autres dirigeants européens. «Si ce processus était refusé, nous sommes aussi tous d'accord pour dire qu'il faudra augmenter les sanctions et, en tout cas, avoir une posture qui mette plus de pression sur la partie russe», a affirmé le président français à la presse à Washington. 01h55 Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a confirmé lundi qu'il était «prêt» à une rencontre bilatérale avec Vladimir Poutine pour mettre fin à l'invasion russe de son pays qui se poursuit depuis plus de trois ans. «Nous sommes prêts à une rencontre bilatérale avec Poutine et après cela nous nous attendons à une rencontre trilatérale» avec la participation de Donald Trump, a-t-il déclaré à la presse à la suite de ses discussions avec le président américain et des responsables européens à Washington. Le dossier d'éventuelles concessions territoriales exigées par la Russie à l'Ukraine «est une question que nous laisserons entre moi et Poutine», a-t-il ajouté. 01h22 Le chancelier allemand Friedrich Merz a estimé lundi à Washington que l'Ukraine ne devrait pas être contrainte de faire des concessions territoriales dans le cadre d'un éventuel accord de paix avec la Russie. «La demande russe visant à ce que Kiev renonce aux parties libres du Donbass correspond, pour parler franchement, à une proposition visant à ce que les Etats-Unis renoncent à la Floride», a déclaré Friedrich Merz. 01h21 Le chancelier allemand Friedrich Merz a déclaré lundi à Washington que le président russe Vladimir Poutine avait convenu, lors d'un entretien téléphonique avec son homologue américain Donald Trump, de rencontrer le dirigeant ukrainien Volodymyr Zelensky dans les deux semaines à venir. «Le président américain s'est entretenu avec le président russe et a convenu qu'une rencontre entre le président russe et le président ukrainien aurait lieu d'ici les deux prochaines semaines», a déclaré Friedrich Merz aux journalistes après les discussions à la Maison Blanche. 01h09 Vladimir Poutine et Donald Trump ont discuté par téléphone de «l'idée» de porter à un «plus haut niveau» les négociations directes entre la Russie et l'Ukraine, a indiqué le conseiller diplomatique du président russe Iouri Ouchakov, cité par l'agence Tass. «Vladimir Poutine et Donald Trump ont exprimé leur soutien à la poursuite de négociations directes entre les délégations de Russie et d'Ukraine. A cet égard, en particulier, l'idée a été discutée qu'il serait nécessaire d'étudier la possibilité de porter à un plus haut niveau la représentation de l'Ukraine et de la Russie», a-t-il déclaré. De telles négociations, à un niveau subalterne, n'ont jusqu'à présent porté que sur des échanges de prisonniers. 01h02 Le président russe Vladimir Poutine a indiqué lundi à son homologue américain Donald Trump qu'il était disposé à rencontrer le dirigeant ukrainien Volodymyr Zelensky, selon une source proche des discussions. Vladimir Poutine a fait part à Donald Trump, qu'il a rencontré vendredi en Alaska, de sa volonté de rencontrer Volodymyr Zelensky lors d'un appel téléphonique pendant une pause dans les discussions à Washington avec plusieurs dirigeants européens, a indiqué à des journalistes cette source sous couvert d'anonymat. 00h34 Donald Trump a évoqué lundi, au terme de réunions avec Volodymyr Zelensky et des dirigeants européens à la Maison Blanche, des garanties de sécurité qui seraient fournies à l'Ukraine par des puissances du Vieux continent, en «coordination» avec les Etats-Unis. «Nous avons parlé de garanties de sécurité pour l'Ukraine, qui seraient fournies par les divers pays européens, en coordination avec les Etats-Unis», a écrit le président américain sur son réseau Truth Social après avoir reçu le président ukrainien et des dirigeants européens, comme le chancelier allemand Friedrich Merz et le président français Emmanuel Macron. 00h30 Donald Trump a affirmé lundi avoir «commencé les préparatifs» d'une rencontre entre les présidents ukrainien Volodymyr Zelensky et russe Vladimir Poutine, après s'être entretenu dans la journée avec les deux dirigeants. «Une fois cette rencontre tenue, nous organiserons une (réunion) trilatérale, réunissant les deux présidents ainsi que moi-même», a ajouté sur sa plateforme Truth Social le président américain, précisant que le premier sommet entre Volodymyr Zelensky et Vladimir Poutine se déroulerait «dans un lieu à déterminer». Hier, 23h28 Donald Trump a interrompu lundi sa réunion à la Maison-Blanche avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky et plusieurs dirigeants européens pour s'entretenir au téléphone avec Vladimir Poutine, a signalé à l'AFP une source proche des discussions. Le président américain, qui estime pouvoir mettre fin à la guerre en Ukraine, avait indiqué auparavant qu'il discuterait rapidement avec son homologue russe. Hier, 21h49 Le président français Emmanuel Macron a demandé lundi lors d'une réunion au sommet à la Maison Blanche que les Européens soient associés aux discussions entre les Etats-Unis, la Russie et l'Ukraine une fois que Donald Trump aura réussi à mettre autour d'une même table Vladimir Poutine et Volodymyr Zelensky. Le président ukrainien Volodymyr Zelensky, le président américain Donald Trump et le président français Emmanuel Macron. AFP «L'idée d'une réunion trilatérale est très importante parce que c'est le seul moyen de régler (le problème, ndlr). Je pense que dans la foulée, nous aurons besoin d'une réunion quadrilatérale, parce que lorsqu'on parle de garanties de sécurité (pour l'Ukraine), nous parlons de la sécurité de tout le continent européen», a-t-il lancé devant Donald Trump, les principaux dirigeants européens et le secrétaire général de l'Otan Mark Rutte. Hier, 21h34 Le chancelier allemand Friedrich Merz a insisté lundi sur la nécessité d'un cessez-le-feu préalable aux négociations d'un accord de paix sur l'Ukraine, lors d'une rencontre à la Maison Blanche entre des dirigeants européens, le président ukrainien Volodymyr Zelensky et Donald Trump. Le président américain Donald Trump et le président ukrainien Volodymyr Zelensky posent pour une photo avec les dirigeants européens à l'issue d'une réunion dans le Bureau ovale de la Maison Blanche. Getty Images via AFP «Je ne peux pas imaginer que la prochaine réunion ait lieu sans un cessez-le-feu, travaillons en ce sens et essayons de mettre la pression sur la Russie», a dit M. Merz, peu après que le président américain a jugé qu'une telle mesure n'était pas nécessaire. Hier, 21h24 Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, s'est réjoui lundi devant Donald Trump qui le recevait à la Maison Blanche d'avoir eu avec lui «la meilleure» de leurs discussions pour tenter de trouver une issue à la guerre dans son pays. Le président ukrainien Volodymyr Zelensky et le président américain Donald Trump participent à une réunion dans le bureau ovale de la Maison Blanche à Washington. AFP «Je pense que nous avons eu une très bonne conversation avec le président Trump, c'était vraiment la meilleure – enfin, pardon, peut-être que la meilleure aura lieu à l'avenir – mais c'était vraiment bien, et nous avons parlé de choses extrêmement sensibles», a déclaré M. Zelensky, assis autour d'une table où étaient également M. Trump et les dirigeants de puissances européennes. Hier, 21h22 Donald Trump a reçu lundi les dirigeants européens et Volodymyr Zelensky pour une rencontre à la Maison Blanche au cours de laquelle il a déclaré que le président russe Vladimir Poutine était prêt accepter des garanties de sécurité pour l'Ukraine. «Le président Poutine est d'accord pour que la Russie accepte des garanties de sécurité pour l'Ukraine et c'est l'un des points centraux que nous devons prendre en compte et nous allons le prendre en compte à cette table», a déclaré Donald Trump au début de la réunion. Hier, 19h49 En concluant la rencontre entre Volodymyr Zelensky et Donald Trump devant les médias, le président américain a déclaré que son homologue russe, Vladimir Poutine, attend son appel pour organiser une réunion trilatérale. Cet appel aura lieu après sa réunion avec les dirigeants européens et Volodymyr Zelensky. Le président américain Donald Trump rencontre le président ukrainien Volodymyr Zelensky dans le Bureau ovale de la Maison Blanche. Getty Images via AFP «Nous allons avoir une réunion. Je pense que si tout se passe bien aujourd'hui, nous aurons une réunion à trois et je pense qu'il y aura de bonnes chances de mettre fin à la guerre lorsque nous le ferons», a déclaré le président américain dans le Bureau ovale. Hier, 19h45 Les Etats-Unis «seront impliqués» dans la sécurité future de l'Ukraine, a promis Donald Trump lors d'une rencontre lundi à la Maison Blanche avec le président ukrainien, Volodymyr Zelensky. Le président américain Donald Trump rencontre le président ukrainien Volodymyr Zelensky dans le Bureau ovale de la Maison Blanche. Getty Images via AFP «Ils sont la première ligne de défense parce qu'ils sont là-bas, que c'est l'Europe, mais nous allons aussi les aider. Nous serons impliqués», a déclaré devant la presse le président américain, en référence aux dirigeants européens qui accompagnent Volodymyr Zelensky à Washington. Hier, 19h39 Interrogé sur la possibilité d'un accord de cessez-le-feu, Donald Trump affirme qu'il est aussi envisageable de «trouver un accord en cours de combats», rappelant qu'il a déjà réussi à mettre fin à «six guerres» sans cessez-le-feu. Le président américain Donald Trump observe la scène lors d'une réunion avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky dans le bureau ovale de la Maison Blanche à Washington. AFP Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

Éditorial: antisémitisme, attention à ne pas brouiller les cartes
Éditorial: antisémitisme, attention à ne pas brouiller les cartes

24 Heures

time9 hours ago

  • 24 Heures

Éditorial: antisémitisme, attention à ne pas brouiller les cartes

Accueil | Opinion | Éditorial | Opinion Peut-on se dire antisioniste sans être taxé d'antisémitisme? Beaucoup, y compris des juifs, pensent que oui. Éditorial Publié aujourd'hui à 06h31 Accusée de soutenir Israël, la Cicad (Coordination intercommunautaire contre l'antisémitisme et la diffamation) s'en est défendue. Aujourd'hui, l'écrivain et mécène Metin Arditi , juif d'origine turque, s'écarte d'une certaine vision de cette organisation. Non, dit-il, l'antisionisme n'est pas de l'antisémitisme quand le sionisme se traduit par «le spectacle désolant que donne au monde le gouvernement Netanyahou». Et ce, même si certains cachent mal leur envie de raser Israël. Dans ce débat miné, des ambiguïtés dangereuses continuent de prospérer. Mais peut-on sérieusement découpler le sionisme d'origine - le principe d'un État refuge pour les juifs en terre d'Israël - des politiques par lesquelles il se traduit? Instrumentalisation Quand le gouvernement israélien lui-même instrumentalise l'antisémitisme pour, par exemple, tenter de faire taire les voix qui alertent contre un génocide à Gaza, l'essentielle lutte contre l'antisémitisme est dévoyée. Brouiller les cartes augmente ce phénomène. De même, quand Israël se pose comme bouclier des juifs, tout en effaçant méthodiquement un territoire et sa population avec des formules déshumanisantes au plus haut niveau de l'État, toujours plus de juifs dans le monde déclarent: «Pas en mon nom!» De même, des musulmans et leurs représentants n'ont pas laissé dire que des attentats djihadistes pouvaient être justifiés par leur religion. Et avant eux, la gauche communiste et socialiste avait dû prendre ses distances avec les actions terroristes de gauche (Brigades rouges, Rote Armee Fraktion, etc.). Aujourd'hui, face au massacre abominable de dizaines de milliers d'innocents par Israël à Gaza, les principales organisations juives peuvent-elles se taire sans donner l'impression d'un soutien? Sur la Cicad Rachad Armanios est journaliste à la rubrique genevoise depuis août 2022 et couvre en particulier la politique cantonale. Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

TÉLÉCHARGER L'APPLICATION

Commencez dès maintenant : Téléchargez l'application

Prêt à plonger dans un monde de contenu mondial aux saveurs locales? Téléchargez l'application Daily8 dès aujourd'hui sur votre app store préféré et commencez à explorer.
app-storeplay-store